Le Tremblay-sur-Mauldre

Le Tremblay-sur-Mauldre est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Tremblay et Mauldre (homonymie).

Le Tremblay-sur-Mauldre

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire Françoise Chancel
Code postal 78490
Code commune 78623
Démographie
Gentilé Tremblaysiens
Population
municipale
940 hab. (2018 )
Densité 151 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 41″ nord, 1° 52′ 37″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 175 m
Superficie 6,23 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Le Tremblay-sur-Mauldre
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Le Tremblay-sur-Mauldre
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Le Tremblay-sur-Mauldre
Liens
Site web letremblaysurmauldre.fr

    Géographie

    Situation

    Le territoire de la commune du Tremblay-sur-Mauldre, en pente vers le nord-est, s'étend sur le versant ouest de la vallée de la Mauldre au nord du massif forestier de Rambouillet, la rivière formant la limite est de la commune.

    Ce territoire est majoritairement rural, à 80 %, avec des parties boisées vers le sud. Il englobe dans sa partie nord une partie du parc du château de Pontchartrain. L'habitat est groupé dans le bourg qui jouxte le château du Tremblay.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Le Tremblay-sur-Mauldre
    Neauphle-le-Vieux Jouars-Pontchartrain
    Bazoches-sur-Guyonne Saint-Rémy-l'Honoré

    Hydrographie

    Réseau routier

    Les anciens panneaux directionnels.

    La commune est desservie par la route départementale 34 d'orientation nord-sud et la route départementale 13 d'orientation est-ouest. La commune est traversée dans sa partie nord par la route nationale 12, voie express à 2x2 voies, sans échangeur local ainsi que par la route départementale 23 dite route de Bazoches à Montfort.

    Desserte ferroviaire

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain qui est situé à km de la commune.

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 5, P et V de la société de transport Hourtoule, par les lignes 49 et 79 de l'établissement Transdev de Rambouillet et par la ligne 61 de l'établissement Transdev de Houdan.

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 81,44 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11,65 % d'espaces ouverts artificialisés et 6,91 % d'espaces construits artificialisés[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Tremblay-sur-Mauldre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

    Toponymie

    En 1351 : Trambleium, Trambleyum [11]. Avant la révolution française : Tremblay ou Tremblay près Montfort[12].

    Tremblay: De *trembletu-, ancienne forme masculine désignant un endroit planté de trembles, aujourd’hui une tremblaie, du latin tremulus[13]. Le nom populus tremula est le nom savant du peuplier commun, couramment appelé "tremble" en raison du tremblement de ses feuilles au moindre souffle de vent.

    La Mauldre est une petite rivière de 35,4 km de long[14], affluent de rive gauche de la Seine, qui coule dans le département des Yvelines.

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Le territoire du Tremblay-sur-Mauldre est tout d'abord connu par la présence de la ferme d'Ythe, autour de laquelle un site archéologique a été découvert et fouillé, notamment lors de la déviation de la RN12 au niveau de Jouars-Pontchartrain.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Les maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2020 Joseph Le Foll    
    2020 En cours Françoise Chancel[15]    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2018, la commune comptait 940 habitants[Note 3], en augmentation de 0,43 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    425388369404425408406402435
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    424413385359360352344330293
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    312282318305297289272283339
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    355353476625668813956958917
    2018 - - - - - - - -
    940--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (56 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 56 % d’hommes (0 à 14 ans = 14,3 %, 15 à 29 ans = 35,9 %, 30 à 44 ans = 21 %, 45 à 59 ans = 15,3 %, plus de 60 ans = 13,6 %) ;
    • 44 % de femmes (0 à 14 ans = 17,9 %, 15 à 29 ans = 18,1 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 23,4 %, plus de 60 ans = 19,2 %).
    Pyramide des âges au Tremblay-sur-Mauldre en 2007 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,2 
    2,8 
    75 à 89 ans
    3,7 
    10,8 
    60 à 74 ans
    15,3 
    15,3 
    45 à 59 ans
    23,4 
    21,0 
    30 à 44 ans
    21,3 
    35,9 
    15 à 29 ans
    18,1 
    14,3 
    0 à 14 ans
    17,9 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,3 
    75 à 89 ans
    6,6 
    11,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,1 
    30 à 44 ans
    21,5 
    19,9 
    15 à 29 ans
    18,9 
    21,9 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Enseignement

    Enseignement primaire : la commune possède une école élémentaire[22] publique (La Fermette).

    Enseignement secondaire : il existe dans la commune trois établissements de d'enseignement et de formation professionnelle privés :

    • le « centre horticole d'enseignement et de promotion » (CHEP) qui prépare les élèves aux diplômes du baccalauréat et du BTS dans les métiers du paysage et de l'environnement. Cet établissement, fondé en 1945, est un lycée d'horticulture, géré par une association régie par la loi de 1901, et fonctionne sous contrat avec le ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation[23].
    • « un centre de formation d'apprentis des métiers du transport et de la logistique » (CFATL) qui dispense des formations en alternance (apprentissage et professionnalisation), du niveau CAP au baccalauréat. Ce centre est géré par le groupe AFT-IFTIM créé par les fédérations professionnelles des secteurs du transport et de la logistique[24].
    • le « centre de formation d'apprentis de la navigation intérieure (CFANI)» qui dispense des formations par la voie de l'apprentissage du niveau CAP au baccalauréat dans le domaine de la navigation fluviale.
    Ces trois établissements accueillaient 273 élèves internes en 1999, soit 25 % de la population totale de la commune[25].

    Sports

    • La commune dispose d'un terrain destiné au Football ainsi qu'une équipe. On peut également y trouver un club de Tennis disposant de deux terrains juxtaposant le stade.
    • Le domaine du château comprend l'un des terrains de golf les plus prisés du département des Yvelines, proposant un 9 trous compact et un 18 trous cheminant à travers la forêt du Tremblay-sur-Mauldre.

    Économie

    Le château du Tremblay.
    • Commune résidentielle
    • Agriculture
    • Tourisme (golf)

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Leu-et-Saint-Gilles.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Gilles et Saint-Leu, datant, à l'origine, du XIIIe siècle, et dont la nef a été reconstruite au XIXe siècle.
    • Le château du Tremblay-sur-Mauldre, construit dans la première moitié du XVIIe siècle par François Mansart pour la famille Le Clerc du Tremblay, qui possédait la seigneurie du Tremblay depuis le XVe siècle. À cette famille appartenait alors François Le Clerc du Tremblay, moine capucin plus connu comme "Le Père Joseph", le plus proche conseiller du Cardinal de Richelieu qui souhaitait en faire son successeur, mais lui survécut. Des Le Clerc du Tremblay, le château du Tremblay s'est transmis par successions aux familles d'Angennes, de Saint Georges de Vérac, puis de Rougé. Cette dernière famille le vend en 1910 au comte et à la comtesse Robert de Vogüé, née Lucie Sommier, qui le font restaurer. Les travaux effectués alors se situent dans la ligne de ceux menés quelques années auparavant, sur une échelle beaucoup plus vaste, par les parents de la comtesse, Monsieur et Madame Alfred Sommier, à Vaux le Vicomte. Les façades du château du Tremblay sont reprises ; les chaînages, aux encadrement des ouvertures, sont restitués ; le parc à l'anglaise est redessiné à la française. Après la mort de la comtesse Robert de Vogüe, en 1946, le château devient en 1947 la propriété de la ville de Neuilly sur Seine, qui l'affecte à ses œuvres sociales. Dans les années 1980, le domaine redevient propriété privée pour être aménagé en golf. Depuis 2010, c'est un centre de séminaires, hôtel et club de golf, dans le cadre de la société Chateauform [26]. Les façades et toitures du château et des dépendances sont classées monument historique depuis un arrêté du . Le parc, les intérieurs du château et des communs sont inscrits aux Monuments historiques depuis un arrêté du [27]. La paternité de sa conception a été restituée récemment à l'architecte François Mansart [28].

    Culture et tourisme

    • La Saint-Gilles, fête communale du Tremblay-sur-Mauldre, a lieu tous les ans le premier week-end de septembre. À cette occasion, un bal populaire est organisé, généralement suivi d'un feu d'artifice ainsi que d'une retraite au flambeau à laquelle participent les habitants du village. Des manèges et attractions à destination des enfants sont installés. Le jour suivant se tient une brocante dont la taille augmente chaque année.

    Personnalités liées à la commune

    La « maison des champs » (à droite), où Cendrars écrivit L'Or.
    • François Leclerc du Tremblay, le Père Joseph , ou encore L'éminence grise
    • Olivier de Saint-Georges, marquis de Vérac (1768-1858), officier et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles, Pair de France, Gouverneur de Versailles, mort au château du Tremblay.
    • Ambroise Vollard (1866-1939), grand marchand de tableaux et galeriste, a eu une résidence au Tremblay. Il est mort dans un accident de voiture à proximité de Versailles.
    • Francis Picabia (1879-1953), peintre et écrivain français, a vécu au Tremblay de 1922 à 1924.
    • Pablo Picasso (1881-1973), peintre espagnol, a résidé au Tremblay en 1936 dans une vieille ferme, proposée par Ambroise Vollard, où il avait installé son atelier et où il réalisa une série de tableaux[29].
    • Blaise Cendrars (1887-1961), né Frédéric Louis Sauser, poète, romancier et journaliste suisse, naturalisé français en 1916, a eu une résidence, sa « petite maison des champs », au Tremblay à partir de 1920-1921, maison qui lui a été offerte par la comédienne Raymone Duchâteau, sa compagne. En octobre 1939, il fait paraître dans le magazine Elle un reportage sur les conséquences du début de la guerre sur la vie quotidienne au Tremblay. Puis il s'engage comme correspondant de guerre dans l'armée anglaise, abandonnant Paris et Le Tremblay-sur-Mauldre où sa « maison des champs » sera pillée par les Allemands. Il se retire à Aix-en-Provence pour ne plus jamais revenir au Tremblay[30]. La municipalité a fait transférer ses cendres au cimetière du Tremblay le . Elle a donné son nom à un espace polyvalent inaugurée en 2005, l'espace Blaise-Cendrars.
    • Salah Stétié (1929-2020), écrivain, poète et diplomate libanais d'expression française, a habité de 1992 à sa mort au numéro 42 de la rue du Pavé.
    • Omar Sy a épousé Hélène Sy à Tremblay-sur-Mauldre en 2007[31].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le Tremblay-sur-Mauldre », sur Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie) (consulté en ).
    2. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. LONGNON (Aug.), Pouillé de la Province de Sens (1904), Trambleyum, p. 160A; Trambleium, p. 213G.
    12. Pouillé du diocèse de Chartres, ou Recueil des abbayes, chapelles,...(1738), p. 70.
    13. Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997.
    14. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Mauldre (H30-0400) » (consulté le Date invalide (05 0ctobre 2020)).
    15. Conseil Municipal du 23 Mai 2020
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. « Évolution et structure de la population à Le Tremblay-sur-Mauldre en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    21. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    22. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    23. « L'école du savoir vert ! », Centre Horticole d'Enseignement et de Promotion – CHEP (consulté le ).
    24. « CFATL (Centre de Formation d'Apprentis des Métiers Transport et Logistique) Tremblay-sur-Mauldre », AFT-IFTIM (consulté le ).
    25. « Données socio-économiques », Mairie du Tremblay-sur-Mauldre (consulté le ).
    26. « le domaine du tremblay », sur chateauform (consulté le ).
    27. « Monuments historiques », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
    28. Etienne Faisant, « François Mansart, archiotecte de la transformation du château du Tremblay sur Mauldre », Revue de l'Art, , p. 57-64 (ISBN 9782708014558).
    29. Collectif, Patrimoine des Yvelines, t. 2, Paris, Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), p. 616.
    30. Blaise Cendrars & « L'homme foudroyé » (1989), p. 5.
    31. « La love story d'Hélène et Omar Sy », sur Cosmopolitan.fr (consulté le ).
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