Le Noyer-en-Ouche

Le Noyer-en-Ouche est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Le Noyer-en-Ouche

L'église Notre-Dame et le centre du village.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Didier Lavril
2020-2026
Code postal 27410
Code commune 27444
Démographie
Gentilé Noyerois
Population
municipale
228 hab. (2018 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 21″ nord, 0° 46′ 24″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 183 m
Superficie 10,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bernay
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Noyer-en-Ouche
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Le Noyer-en-Ouche
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Le Noyer-en-Ouche
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Le Noyer-en-Ouche

    Géographie

    Localisation

    Le Noyer-en-Ouche est une commune du Centre du département de l'Eure. Elle appartient à la région naturelle du pays d'Ouche[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 725 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[10] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 32 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Noyer-en-Ouche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), forêts (23,4 %), prairies (12,4 %), cultures permanentes (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le village est attesté sous la forme latinisée de Nuccario au XIIe siècle[24]. Ce nom est une latinisation médiévale savante du lieu nommé [nuɛje] par la population, issu du vieux français, mentionné pour la première fois vers 1150 sous la forme noiers (au pluriel).

    Le toponyme est sans doute peu ancien et évoque un arbre remarquable. Les noyers étaient beaucoup plus fréquents autrefois en Normandie qu'ils ne le sont de nos jours[25].

    Après s'être appelée « Noyer » tout court, la commune a pris le nom de Noyer-près-Beaumont à la Révolution.

    Le pays d'Ouche est un pays normand qui comprend le nord-est du département de l'Orne et le sud-ouest de celui de l'Eure.

    Les anciennes paroisses du Châtelier-Saint-Pierre et de Châtel-la-lune ont été rattachées au Noyer-en-Ouche en 1792.

    • Le Châtelier-Saint-Pierre (Chasteler 1215) évoque un endroit fortifié, homonyme des nombreux Catelier / Câtelier de type normand au nord de la ligne Joret. Ce nom n'a bien évidemment aucun rapport avec des fortifications romaines, inexistantes dans les campagnes normandes.
    • Châtel-la-Lune (Castrum Lune, XIIe) évoque un château, forme du normand méridional équivalent de Catel (cf. Radicatel) ou Câtel au nord de la ligne Joret. Le sens du mot « lune » en toponymie est obscur[26], mais pourrait venir du terme demi-lune : Dans l’architecture militaire, construction retranchée, placée devant la courtine d’un front bastionné ou d'une motte féodale. Elle est généralement formée de deux faces en angle aigu[27].

    Il existe aussi treize hameaux : le Village, la Godinière (anciennement la Gaudinière, d'une famille Gaudin, avec suffixe -ière, caractéristique des formations médiévales tardives dans le sud de la Normandie notamment), le Long-Bois, Bois-Chevreuil, le Milan, le Hamel, la Jouannière (chez les Jouanne), la Brunetière (chez les Brunet), le Fouesnard, la Hermeraye, Quatre-Houx, la Noë et Grammont.

    Le nom du Milan est obscur. En l'absence de formes anciennes, il est difficile de le déterminer. On peut cependant le rapprocher de Guettelan, lieu-dit au Fidelaire (à 9 km), où l'on note la même terminaison -lan, que Jean Renaud considère comme étant le vieux norrois land « terrain »[28], bien qu'on ne dispose également d'aucune forme ancienne. Le mot land étant commun aux langues germaniques, il est impossible de déterminer de quelle langue il s'agit précisément.

    Le Hamel représente le mot normand d'origine anglo-saxonne hām, diminutif en -el d'un ancien terme ham « village » et qui a donné le français hameau.

    Le Fouesnard peut être interprété de manière conjecturelle, en l'absence de formes anciennes et d'homonymes, comme un composé fou-esnard, c'est-à-dire fou hêtre, forme ancienne du nom de cet arbre utilisée en Normandie, parallèlement à son dérivé futel (cf. le Futel) et foutel. Le second élément -esnard est peut-être le nom de personne d'origine germanique Esnard (germ. Eginhard. cf. Éginard) que l'on retrouve par exemple dans Champenard dans l'Eure ou Mesnil-Esnard en Seine-Maritime. Ce genre d'association d'un nom d'arbre avec un nom de personne se retrouve ailleurs. Fauguernon (Calvados) présente peut-être un parallèle.

    Le nom de Quatre-Houx (Catehou 1174, Cathoux s. d.) semble le plus ancien, on est tenté d'y reconnaître un nom en -hou, fréquent en Cotentin, mais plus rare en Haute-Normandie, où l'on dénombre cependant le Conihout (Conihou fin XIIe) à Jumièges et plusieurs le Hou[29]. Il s'agit probablement de l'appellatif vieil anglais hōh signifiant « talon », puis « promontoire en forme de talon, escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « légère élévation »[30],[31],[25]. Le premier élément semble s'expliquer par le nom de personne norrois Kati que l'on rencontre dans Flancourt-Catelon (Catelunti XIIe siècle) ou Catteville (Manche Catevilla vers 1090) aussi nom de plusieurs hameaux en Seine-Maritime[25].

    La Noë s'explique par le vieux français noë, noue qui signifie « terre grasse et humide », terme issu du gallo-roman NAUDA, d'origine gauloise *(s)nauda « terrain marécageux »[32]. On retrouve ce mot dans la Noë-de-la-Barre, ancienne paroisse rattachée à la Barre-en-Ouche en 1792[33].

    Histoire

    Le Châtel-la-Lune était au XIIe siècle un château fort, placé au bord de la terre qui appartenait à Robert Ier de Meulan. Il existait encore en 1526, mais a été ruiné depuis. Robert de Meulan donna vers 1180 le moulin de Châtel-la-Lune au prieuré de la Sainte-Trinité[34] de Beaumont. En 1320, on comptait 80 feux dans la paroisse.

    Son ancienne église paroissiale, placée sous le patronage de la Trinité de Beaumont puis de l'Abbé du Bec, était dédiée à saint Jacques et saint Christophe. Elle a été construite par Roger de Beaumont peu avant 1168. Elle a subi d'importants travaux aux XVIe et XVIIe siècles. Elle fut démolie en 1847.

    Les amas considérables de laitier, que l'on voit encore au Châtel-la-Lune, prouvent l'existence et l'importance de ses anciennes forges ; mais d'autres documents démontrent qu'au milieu de cette petite agglomération d'habitants, se trouvait le centre d'une fabrication de poteries dont les échantillons anciens sont aujourd'hui aussi rares que recherchés[35]. Les potiers de Châtel-la-Lune ont fabriqué des épis de faîtage, des pots, des soupières. Le musée des beaux-arts de Bernay possède quelques belles céramiques de Châtel-la-Lune. Une soupière serait conservée au Musée de Conches[réf. nécessaire].

    En 1178, Robert II, comte de Meulan y fonda sous l'invocation de Saint Étienne, le prieuré de Grandmont-lès-Beaumont pour des religieux qui s'occupaient du défrichement et de la culture des terres[36]. Vers 1670, il y avait cinq ou six moines au prieuré de Grandmont et le prieuré de La Bellière (Orne) en était une annexe. Il fut détruit à la Révolution.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1914 1925 Charles Sainturette    
    mars 2001 2014 Olivier Dorgère    
    mars 2014 2020 Lydie Pottier DVD Fonctionnaire
    2020 En cours Didier Lavril    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2018, la commune comptait 228 habitants[Note 6], en augmentation de 0,88 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    162488601548596628605564551
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    525546510482450425421386376
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    355357327268275264286293285
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    286232234147177200187185217
    2017 2018 - - - - - - -
    228228-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune du Noyer-en-Ouche compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • l'église Notre-Dame (XVIe (?), XVIIIe et XIXe siècles)[41]. À l'intérieur, se trouvent des toiles du XVIIe siècle de Michel Hubert Descours[42], des statues du XVIe siècle. À l'extérieur, se dresse un vieil if funéraire[réf. nécessaire] ;
    • l'église Saint-Pierre (XVe, XVIe et XVIIe siècles) au lieu-dit le Châtellier Saint-Pierre[43]. Le chœur de l'église date du XVe siècle, les percements ont été remaniés au XVIe siècle et le mur ouest a été reconstruit au XVIIe siècle ;
    • le presbytère (XVIIIe) au lieu-dit le Châtel-la-Lune[44] ;
    • le prieuré de grandmontains dit Saint-Étienne (XIIe (détruit), XVIIe et XIXe siècles) au lieu-dit Grammont[45]. Aujourd'hui, il reste une cave voûtée en berceau plein cintre, renforcé par deux arcs doubleaux. Sur le mur en face de l'escalier se trouve le départ d'une fenêtre coupée au départ de l'arc ; cette fenêtre est bouchée. Il reste en outre, le pignon Ouest de l'église sur une hauteur d'environ un mètre. Une fort belle entrée du XVIIe siècle subsiste ainsi qu'un pigeonnier, mais leur état est critique ;
    • un édifice fortifié des XIIe, XVIIe et XVIIIe siècles au lieu-dit la Jouannière[46]. Du XIIe siècle, ne subsistent que les douves. Quant au manoir et aux bâtiments agricoles, ils datent des XVIIe et XVIIIe siècles ;
    • trois manoirs : un des XVIIe et XVIIIe siècles au lieu-dit la Noé[47], un autre des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Châtellier Saint-Pierre[48] et un dernier des XVIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Bois Chevreuil[49] ;
    • trois maisons : une du XVIIIe siècle au lieu-dit le Milan[50] et deux du XIXe siècle[51],[52] ;
    • une maison de forestier du XIXe siècle au lieu-dit Grammont[53].

    Sont également inscrits à cet inventaire trois édifices qui étaient situés au lieu-dit le Châtel-la-Lune et qui sont aujourd'hui détruits : un château fort des XIIe et XVIe siècles[54], le prieuré de bénédictins Saint-Christophe du XIIe siècle[55] et l'église Saint-Christophe-Saint-Jacques des XIIe et XVIe siècles[56].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Le Noyer-en-Ouche et Menneval », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Le Noyer-en-Ouche et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire (préface Marcel Baudot), Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 154.
    25. François de Beaurepaire, op. cit.
    26. François de Beaurepaire, op. cit. p. 91.
    27. Eugène Viollet-Le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle, 1856.
    28. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP éditions 2009. p. 58.
    29. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 46.
    30. Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929 (rééd. Champion, Paris, 1979), p. 184, § 748.
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 552a.
    32. Site de l'arbre celtique : (s)nauda
    33. François de Beaurepaire, op. cit.. p. 151.
    34. « Ancienne abbaye », notice no PA00099324, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Notes sur la poterie de Châtel-le-Lune par M. l'abbé Porée, H. Delesques, 1897.
    36. Cette fondation fut confirmée par une charte du Roi Richard 1er Cœur de Lion donnée à Tours le 13 novembre 1189.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA00019508, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Peintre né en 1707 à Bernay (Eure), mort en 1775 à Bernay.
    43. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00019501, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Presbytère », notice no IA00019712, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Prieuré de grandmontains dit Saint-Etienne, Manoir », notice no IA00019506, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Édifice fortifié », notice no IA00019504, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Manoir », notice no IA00019503, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Manoir », notice no IA00019502, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Manoir », notice no IA00019498, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Maison », notice no IA00019507, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « Maison », notice no IA00019499, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Maison », notice no IA00019500, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Maison de forestier », notice no IA00019505, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « Château fort », notice no IA00019511, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Prieuré de Bénédictins Saint-Christophe », notice no IA00019510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Église paroissiale Saint-Christophe, Saint-Jacques », notice no IA00019509, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Liens externes

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