Le Crocq

Le Crocq est une commune française située dans le département de l'Oise et la région des Hauts-de-France.

Le Crocq

L'église Saint-Louis.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Jean-Pierre Grévin
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60182
Démographie
Gentilé Crocquois ou Crocquants
Population
municipale
180 hab. (2018 )
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 40″ nord, 2° 10′ 50″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 187 m
Superficie 3,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Le Crocq
Géolocalisation sur la carte : Oise
Le Crocq
Géolocalisation sur la carte : France
Le Crocq
Géolocalisation sur la carte : France
Le Crocq

    Ses habitants sont appelés les Crocquants ou les Croquois.

    Géographie

    Le Crocq est un village rural de Picardie situé dans le Plateau picard, dans la partie nord-ouest du département à mi-chemin environ de Amiens et de Beauvais, sur la route départementale N° 11, la plus courte reliant ces deux villes. Il est aisément accessible par la sortie 16 de l'autoroute A16.

    L'aspect du village est typique des villages dits villages bosquet, c'est-à-dire : une route principale (nord-sud) qui le traverse, presque en ligne droite ; chaque maison se prolonge par un jardin potager, quelquefois un verger et une basse-cour ; un chemin piéton herbeux, dit Tour-de-Ville, est utilisé pour se promener, pour faire circuler les animaux des fermes afin de les conduire aux prés ; des mares centrales (il y n'en a plus qu'une actuellement) qui étaient utilisées pour faire boire le bétail, de réserves d'eau en cas d'incendie ; des calvaires.

    Son territoire s'étend sur 310 hectares dont l'altitude varie de 145 à 187 mètres.

    Communes limitrophes du Crocq
    Cormeilles
    Domeliers Hardivillers
    Oursel-maison

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 750 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 19 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Crocq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,3 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (8,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom du village est attesté sous la forme Kroc en 1220[21].

    Albert Dauzat considère qu'il s'agit du nom de personne germanique Croccus, Crocco pris absolument, formule toponymique fréquente, justifiée par l'absence d'article défini dans les formes anciennes[22].

    Ernest Nègre y voit directement le terme français croc qui désignerait un « village en forme de crochet »[23].

    Une autre hypothèse consiste à rapprocher ce nom des nombreux (le) Crocq, -croc(q) de Normandie, dont les formes les plus anciennes (antérieurement au XIIIe siècle) sont notées Crot, -crot. François de Beaurepaire fait remonter cet élément au vieil anglais croft « pièce de terre »[24] et il n'est pas exclu d'y voir la même explication pour le Crocq. Le -c graphique final est motivé par l'attraction du terme français croc, issu du vieux bas francique *krok.

    Histoire

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    La voie romaine Amiens - Beauvais passe près du village, parallèlement et à l'ouest de l'autoroute Beauvais - Amiens

    C'était un hameau rattaché à la paroisse voisine de Cormeilles jusqu'au , il redevint indépendant de 1801 à 1832 avec la qualification de chef-lieu au lieu de hameau de Cormeilles .

    La dénomination d'écart était alors attribuée aux bâtisses isolées comme les moulins ou les fermes isolées, il y avait d'ailleurs un moulin à vent situé entre Le Crocq et Cormeilles.

    Le territoire était alors couvert d'un bois que l'on nommait la forêt de Cormeilles .

    Le Crocq était une seigneurie de Louis (1172-1205) comte de Blois, puis de Chartres et de Clermont par son mariage en 1184 avec Catherine, comtesse de Clermont-en-Beauvaisis. Cet homme juste fut par ailleurs le premier à abolir le servage sur ses terres, par une charte du  :
    « Moi, Louis, comte de Blois, fais savoir que les hommes n’ont plus à payer la taille. Il sera permis aux bourgeois d’élire douze d’entre eux pour diriger la ville. Si un habitant veut vendre ce qu’il possède, qu’il le vende, s’il veut s’éloigner de la ville, qu’il parte librement. Nul ne fera la corvée"[25] ».

    Il fit don en 1202 de sa seigneurie à l'abbaye de Froidmont avant de partir pour la quatrième croisade où il devint duc de Nicée (Iznik en Turquie), il mourut en 1205 à la bataille d'Andrinople (Erdine en Turquie).

    En 1244, l'abbaye Notre-Dame de Breteuil acheta une partie du bois et une certaine quantité de terres dont elle fit la ferme de la Quennotaye.

    La commune, instituée lors de la Révolution française, fut absorbée depuis les années 1790-1794 jusqu'à 1832 par celle de Cormeilles[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crèvecœur-le-Grand[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[28], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[29].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[30], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    (maire en 1981)[32]   Gilbert Dobrenelle    
    mars 1995 novembre 2005[33] Guy Lefay   Démissionnaire
    13 janvier 2006[34] En cours
    (au 30 août 2014)
    Jean-Pierre Grévin   Retraité
    Réélu pour le mandat 2014-2020[35]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 180 habitants[Note 7], en diminution de 4,76 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    387407404401401384372318277
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    272263254260257209225202163
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    16815714013615213010893122
    1999 2005 2010 2015 2018 - - - -
    156163185183180----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,7 %, 15 à 29 ans = 20,7 %, 30 à 44 ans = 32,9 %, 45 à 59 ans = 11 %, plus de 60 ans = 14,6 %) ;
    • 49,7 % de femmes (0 à 14 ans = 21 %, 15 à 29 ans = 19,8 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 17,3 %, plus de 60 ans = 19,7 %).
    Pyramide des âges à Le Crocq en 2007 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,2 
    2,4 
    75 à 89 ans
    4,9 
    12,2 
    60 à 74 ans
    13,6 
    11,0 
    45 à 59 ans
    17,3 
    32,9 
    30 à 44 ans
    22,2 
    20,7 
    15 à 29 ans
    19,8 
    20,7 
    0 à 14 ans
    21,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Équipements collectifs

    L'école est en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec Cormeilles et Villers-Vicomte.

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Louis.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Louis, de la fin du XVIIIe siècle, abritant un tableau du XVIIe siècle, l'Apothéose de Saint-Louis[41].

    Héraldique

    Blason
    Tiercé en pairle renversé: au 1er de gueules à la gerbe de blé d'or, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or, au 3e d'argent au chêne au naturel[42].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Crocq et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Crocq et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 229b.
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    23. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 34.
    24. Charte de Châteaudun, 1197
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    27. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    28. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    29. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    30. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    31. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614&pageCourante=01046
    32. O. B., « Le conseil municipal en pleine débâcle », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    33. C. F., « Le nouveau maire élu », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 15 (ISSN 1144-5092).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Évolution et structure de la population à Le Crocq en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. « L'apothéose de Saint-Louis », notice no PM60000692, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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