Le Couvent de la bête sacrée

Le Couvent de la bête sacrée (聖獣学園, Seijū gakuen) est un film japonais de nonnesploitation, du sous-genre de pinku eiga produit par Toei Company, réalisé par Norifumi Suzuki et sorti en 1974.

Le Couvent de la bête sacrée
Titre original 聖獣学園
Seijū gakuen
Réalisation Norifumi Suzuki
Scénario Masahiro Kakefuda
Norifumi Suzuki
Acteurs principaux
Sociétés de production Tōei
Pays d’origine Japon
Genre pinku eiga
Durée 91 minutes
Sortie 1974


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

À la recherche de ses origines, une jeune Japonaise entre comme nonne au couvent du Sacré-Cœur dont elle possède une croix, signe que sa mère y était religieuse. Elle découvre un monde hédoniste où archevêque pécheur, mère supérieure lesbienne et autres nonnes doivent se fouetter cruellement en expiation de leurs fautes. Elle apprend que son père est l'archevêque et que pour la punir de ce péché de chair, sa mère a été martyrisée à mort et qu'elle est morte en la mettant au monde.

Fiche technique

Distribution

  • Yumi Takigawa : Maya Takigawa
  • Emiko Yamauchi : Matsuko Ishida
  • Yayoi Watanabe : Hisako Kitano
  • Ryōko Ima : Natarii Guriin (Natalie Green)
  • Harumi Tajima : Tamao Oka
  • Natsuko Yashiro : Kaoru Onotsuka (comme Yûko Oribe)
  • Marie Antoinette : Janetto (Janet)
  • Emi Jō : Yōko Watanabe (comme Emi Shiro)
  • Rie Saotome : Emi Takanami
  • Sanae Ōhori : Mie Mitsuko
  • Kyouko Negishi : Michiko Shinohara
  • Yumi Kimura : Keiko Kitano
  • Yōko Mihara : Sadako Matsumara
  • Akiko Mori : Aya Ogasahara
  • Fumio Watanabe : Priest Kakinuma
  • Hayato Tani : Kenta Aoki
  • Ryōko Ema
  • Kiyome Takemura
  • Komimasa Tanaka

Notes et références

Liens externes

  • Portail du cinéma japonais
  • Portail LGBT
  • Portail de la sexualité et de la sexologie
  • Portail des années 1970
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.