Le Coudray-Saint-Germer

Le Coudray-Saint-Germer est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Le Coudray-Saint-Germer

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Bray
Maire
Mandat
Gilbert Gérard Maurice Bervoët
2020-2026
Code postal 60850
Code commune 60164
Démographie
Population
municipale
883 hab. (2018 )
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 45″ nord, 1° 50′ 16″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 231 m
Superficie 13,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Le Coudray-Saint-Germer
Géolocalisation sur la carte : Oise
Le Coudray-Saint-Germer
Géolocalisation sur la carte : France
Le Coudray-Saint-Germer
Géolocalisation sur la carte : France
Le Coudray-Saint-Germer

    Géographie

    Le Coudray-Saint-Germer est située à l'extrémité occidentale de l'Oise, à proximité de l'Eure et de la Seine-Maritime, entre Gournay-en-Bray et Auneuil. La commune se trouve à 230 m d'altitude sur le plateau de Thelle. C'est un chef-lieu de canton depuis leurs créations en 1795 jusqu'à leurs suppressions en 2015. Trois hameaux en dépendent : les Routis au pied de la forêt de Thelle, le Tronquet et l'Aunay.

    Les Routis (nommés Ruates en 1190) comptaient 150 habitants en 1840. Ce hameau est composé d'une vingtaine de maisons disposées de manière à former deux rues et une place. Au sud des Routis, existait un hameau nommé Monplaisir qui comptait une trentaine d'habitants au milieu du XIXe siècle et encore plus au sud se trouvait la Verrie. Le Tronquet et l'Aunay comptaient chacun une vingtaine d'habitants à cette époque.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 857 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Coudray-Saint-Germer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), forêts (45,2 %), prairies (3,2 %), zones urbanisées (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Le Coudray-en-Thelle[21].

    Histoire

    • Le Coudray-Saint-Germer n'était qu'un lieu inculte jusqu'au XIIe siècle. Louis le Jeune fit don en 1153, à l'abbaye de Saint-Germer, pour y construire une métairie, des terrains et des bois du Coudray (plantations de noisetiers, d'où vient son nom d'origine = noisetier, coudrier, Coudray). La commune s'est appelée Coldretum en 1178, Le Couldray en 1550, Le Couldray-en-Thelle depuis la Révolution et Le Coudray-Saint-Germer en 1840.
    • Le village se développa et devient prospère, pour nécessiter la fondation d'une église et la création d'une paroisse, puis les moines y édifièrent un siècle plus tard un château fort.
    • En 1383, le roi de France, Charles VII, avait accordé à Jean de Silly, l'autorisation de construire une forteresse au Coudray pour que les moines s'y réfugient en cas d'invasion. Depuis, à chaque alerte, le prieur et les moines s'y rendaient en emportant avec eux les reliques les plus précieuses. À peine s'y trouvaient-ils installés en 1400, qu'ils furent assiégés par les émissaires du duc de Bourgogne Jean de Crèvecœur, seigneur d'Ons-en-Bray, et Hector de Saveuse.

    Faits prisonniers, ils durent payer une forte rançon. Les Bourguignons s'emparèrent de tous les papiers du château en s'en allant et incendièrent le village. Aujourd'hui, il ne reste que les fondations du château fort, et l'église fut reconstruite en 1502 sur les quelques vestiges.

    Héraldique

    Blason
    Tranché de gueules et d'azur ; à la bande d'argent brochant sur la partition ; à la tour d'or brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1858 1883 Louis Caron   Médecin
    1883 1908 Théophile Rotté   Agriculteur
    1908 1919 Onésime Petit   Greffier de justice de paix
    1919 1929 Louis Monthuy   Agriculteur
    1929 1944 Léon Colbeau   Agriculteur
    1944 1945 Pierre Gayet   Épicier-cafetier
    1945 1945 Edward Compiègne SFIO Menuisier
    Décédé au bout de deux mois de mandat
    1945 1965 Vienne Robert   Agriculteur
    1965 1975 Paul Dubois   Entrepreneur de travaux
    1976 1978 Robert Largillière   Agriculteur
    1978 1981 Jean Jouve PS Formateur professionnel des Postes
    1981 1981 Daniel Cocard   Artisan
    maire durant trois jours
    1981 1986 Jean Jouve PS Formateur professionnel des Postes, conseiller régional
    1986 mars 2001 Jean-Pierre Desmesliers   Président de la communauté de communes du pays de Bray
    mars 2001 2020 Roland Guillaux DLF Réélu pour le mandat 2014-2020[23]
    2020 En cours Gilbert Gérard Maurice Bervoët    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 883 habitants[Note 7], en diminution de 5,36 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    471459543518501471461469486
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    457454475437405425420423431
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    419408365308361368319351315
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    308338415721747899888886884
    2013 2018 - - - - - - -
    933883-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,8 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 26,4 %, 15 à 29 ans = 19,2 %, 30 à 44 ans = 22,1 %, 45 à 59 ans = 18,5 %, plus de 60 ans = 13,9 %) ;
    • 52,8 % de femmes (0 à 14 ans = 26,3 %, 15 à 29 ans = 16,5 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 16,1 %, plus de 60 ans = 20,6 %).
    Pyramide des âges à Le Coudray-Saint-Germer en 2007 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,3 
    4,8 
    75 à 89 ans
    9,2 
    8,6 
    60 à 74 ans
    10,1 
    18,5 
    45 à 59 ans
    16,1 
    22,1 
    30 à 44 ans
    20,6 
    19,2 
    15 à 29 ans
    16,5 
    26,4 
    0 à 14 ans
    26,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame

    L'église fut bâtie en 1215, détruite en 1400 et reconstruite en 1502. Son chœur de forme polygonale est constitué de silex noirs et de craie blanche en damier. Le clocher du XIXe siècle est en brique rouge, il culmine à 230 m, ce qui en fait l'un des plus hauts points du département. L'église possède un magnifique chœur du XVIe siècle et est décorée de superbes vitraux. Elle renferme aussi des objets d'art classés. La châsse Saint-Babolein, exceptionnel travail d'orfèvrerie romane et gothique composée lors de différentes périodes du XIe au XIIIe siècles. Elle est classée chef-d'œuvre de l'art religieux par les Monuments historiques le , et elle figure dans l'inventaire des trésors des églises de France depuis 1965, à la suite d'une exposition et d'une restauration au musée des arts décoratifs de Paris cette exposition itinérante parcourra le monde entier. Des sujets de cette châsse furent l'objet d'un prêt pour une exposition au Louvre il y peu de temps. Revenus rénovés, ils ont réintégré leur place. En 2011, la municipalité a pu rénover le transept droit qui était alors uniquement recouvert de plâtre et qui désormais se voit couvert d'un bois travaillé à l'identique que celui du chœur et du transept gauche.

    Chapelle Sainte-Anne

    Laurent de Pillière obtient le , de l'évêque de Beauvais, la permission de bâtir une chapelle dans son manoir du Tronquet ; elle est dédiée à sainte Anne et existe encore.

    Fleurissement

    • Village fleuri : trois fleurs renouvelées en 2007 par le Conseil national des villes et villages fleuris de France[29].* Le village a gardé dans sa grande rue principale son architecture type du pays de Bray, ses maisons sont construites souvent perpendiculaires de chaque côté de la rue. C'est également un village très fleuri. Sa 1re fleur fut accordée en 1970, prix du premier village fleuri de l'Oise et de la Picardie. Ses habitants n'ont eu que le souci d'embellir leur commune par la restauration de l'habitat, le fleurissement des façades et des balcons.
    • Depuis plusieurs années ce village est récompensé par le département et la région Picardie et a obtenu le label 3 Fleurs.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Coudray-Saint-Germer et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Coudray-Saint-Germer et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. « Les maires de Coudray-Saint-Germer (Le) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    23. « Coudray-Saint-Germer », Cartes de France (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Évolution et structure de la population à Le Coudray-Saint-Germer en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .
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