Lanvallay

Lanvallay [lɑ̃valɛ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Lanvallay

Quartier de Lanvallay au bord de la Rance,
face à Dinan.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Bruno Ricard
2020-2026
Code postal 22100
Code commune 22118
Démographie
Gentilé Côtissois
Population
municipale
4 191 hab. (2018 )
Densité 287 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 21″ nord, 2° 01′ 37″ ouest
Altitude 76 m
Min. 7 m
Max. 87 m
Superficie 14,61 km2
Unité urbaine Dinan
(banlieue)
Aire d'attraction Dinan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lanvallay
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Lanvallay
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Lanvallay
Géolocalisation sur la carte : France
Lanvallay
Géolocalisation sur la carte : France
Lanvallay
Liens
Site web Site officiel de la mairie de Lanvallay

    Ses habitants se nomment les Côtissois et les Côtissoises. Ils étaient 3 735 au recensement de 2010[1].

    Géographie

    Lanvallay est une commune des Côtes-d'Armor, situé en Bretagne à l'ouest de la France.

    Communes limitrophes de Lanvallay
    Taden Saint-Hélen
    Dinan
    Saint-Carné Calorguen Les Champs-Géraux

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 746 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 714,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et à 14 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lanvallay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinan, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[18] et 27 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,6 %), terres arables (30,7 %), zones urbanisées (14,7 %), forêts (11 %), prairies (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales[Note 7] (1,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photographies aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Origine du gentilé

    La source du terme Côtissois, pour désigner les habitants de Lanvallay, n'est pas connue avec certitude. L'explication la plus crédible est que ce nom viendrait de la digitale, qui poussait sur les bords de Rance, et qui en gallo se nomme cotia ou cotissa[25]. Ce surnom, donné par les Dinannais, apparaît dès 1884[25].

    Selon Yves Castel (un historien local), le dimanche, les Dinanais allaient se promener sur les bords de la Rance, notamment sur les prairies de Lanvallay, où les fleurs de digitale poussent en abondance, de mi-juin à mi-juillet. En gallo on appelle cette fleur la côtiâ ou la cotissouâ,d'où le surnom de Cotiâs ou Côtissouâs d'Lanvallâ attribués par les citadins aux habitants de Lanvallay, qui se dit Lanvallâ en gallo. Francisé au cours du XIXe siècle, ce sobriquet est devenu Côtissois en français écrit. Ce nom est devenu le gentilé officiel des habitants de la commune en 1961[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Lanvalei à la fin du XIIe siècle[27], Lanvalay en 1154[28], Lanvallei en 1167[28], Lanvalae en 1201, Parrochia de Lanvalay en 1219, Lanvalae en 1240, Parrochia de Lanvalaio en 1262, Lanvalet en 1262[27], Lanvalay et Lanvaley en 1271[28], Parrochia de Lanvallayo en 1295, Lanvalais vers 1330, Lanvalay à la fin du XIVe siècle[27], Lanvaley en 1420[28], Lanvalay en 1453 et en 1516[28] et Lanvallay dès 1790[27].

    Lanvallay se trouve dans la zone de diffusion de la toponymie brittonique.

    Lanvallay semble être un nom en Lan- « territoire, le plus souvent consacré à un saint »[29] (breton lann « ajonc », mais autrefois aussi « lande » et « monastère », même mot que le français lande, d'origine gauloise.

    Le second élément doit être, comme c'est le plus souvent le cas, un nom de personnage ou de saint. Ici il s'agit probablement de Saint Balay († en 524), vieux breton Balae (variante Bachla) ou Valay ou Balley ou Biabailus, seigneur de Rosmadec en Bretagne, disciple de saint Guénolé, moine à Landévennec, puis ermite sur la montagne de Penflour, près de Châteaulin et Ploermellac ; patron de Ploubalay fêté le 12 juillet[30].

    Il a donné son nom à plusieurs villes ou villages des alentours :

    Histoire

    L'Antiquité

    Deux voies romaines traversaient la commune, l'une empruntait le gué de Taden entre l'Asile des Pêcheurs (Taden) et l'embouchure du ruisseau du Pont Josselin pour rejoindre Saint-Piat (voie Corseul-Avranches), la deuxième aurait traversé la Rance au niveau du pont de Léhon (voie Corseul-Le Mans)[31].

    Les fouilles préventives effectuées en 2012 à l'emplacement de la ZAC de Coetquen (site de production des Gavottes en 2018) ont révélé l'existence d'une occupation humaine datant de la période de la Tène ainsi que la présence d'une riche villa gallo-romaine[31].

    La paroisse de Lanvallay faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de saint Méen.

    XVIIIe siècle

    En 1790, de paroissial, le territoire est érigé en commune.

    XIXe siècle

    • 1807 : la commune de Tressaint lui est rattachée.
    • 1828 : Tressaint lui est détachée.

    Les guerres du XXe siècle

    Le monument aux morts porte les noms de 59 soldats morts pour la patrie[32] :

    L'Administration communale

    •  : les communes de Tressaint et de Saint-Solen lui sont rattachées pour former le Grand Lanvallay.

    Légende

    La légende raconte que saint Valay (ou Balay), disciple de saint Guénolé à l'abbaye de Landévennec, s'était établi là où se trouve aujourd'hui la ville de Dinan. Poursuivi par des femmes furieuses, il franchit d'un bond la Rance et s'installa sur la rive droite, fondant ainsi Lanvallay[33].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur, à sept losanges accolées d'argent, posées 3, 3, 1.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Julien François Delépine   Recteur
    1837  ? Boisnard    
    1860  ? Bouesnard    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 mars 1983 Adolphe Castel DVD  
    mars 1983 juin 1995 Joseph Brasset    
    juin 1995 mars 2014 Jean-Yves Delarocheaulion DVD Directeur de banque retraité
    mars 2014 en cours Bruno Ricard DVG Ingénieur hydrologue
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 4 191 habitants[Note 8], en augmentation de 7,38 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8228618381 0421 1931 1401 1211 2701 301
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2531 2051 2981 2501 3371 3341 3611 1901 248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2651 2831 2991 1621 1591 1461 1911 1651 132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2941 5992 9013 3073 3103 0683 2683 8304 153
    2018 - - - - - - - -
    4 191--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    Fondé en 1976, le prieuré Sainte-Anne, situé avenue de Beauvais, est le premier des prieurés de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X créés en France. Sa chapelle du Sacré-Cœur est ornée de vitraux représentant les sept saints fondateurs de la Bretagne ; y sont célébrées les messes selon la forme tridentine du rite romain.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Méen de Lanvallay.
    • Église Saint-Méen.
    • Château de Landeboulou, construit au XVIIIe siècle.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Insee - Populations légales 2010 - 22118-Lanvallay ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lanvallay et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Lanvallay et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. « Présentation de Lanvallay », sur www.mairie-lanvallay.com (consulté le ).
    26. Corentin Le Doujet, « Les tribus bretonnes », Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, .
    27. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Lanvallay ».
    28. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 383a
    30. Nominis : Saint Balay
    31. HAMON Anne-Louise, LANVALLAY (22). ZAC de Coëtquen. Occupations rurales protohistorique et antique. rapport de diagnostic (RAP02765.pdf), Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 84 p. (lire en ligne).
    32. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    33. Octave-Louis Aubert, Légendes traditionnelles de la Bretagne, Éditions Octave-Louis Aubert, 1931, p. 34.
    34. Site personnel recensant une liste de maires français
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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