Lamarche (Vosges)

Lamarche est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Lamarche.

Lamarche

L'hôtel de ville de Lamarche.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes des Vosges côté Sud Ouest
Maire
Mandat
Daniel Vagné
2020-2026
Code postal 88320
Code commune 88258
Démographie
Gentilé Lamarchois, Lamarchoises
Population
municipale
864 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 09″ nord, 5° 46′ 57″ est
Altitude 355 m
Min. 339 m
Max. 500 m
Superficie 33,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vittel - Contrexéville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Darney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Lamarche
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Lamarche
Géolocalisation sur la carte : France
Lamarche
Géolocalisation sur la carte : France
Lamarche
Liens
Site web www.lamarche88.com

    Ses habitants sont appelés les Lamarchois.

    Géographie

    Localisation

    À l'extrême sud-ouest du département des Vosges et de la Lorraine, Lamarche doit son nom à sa situation à la frontière de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté, dans une zone qui était déjà la limite entre trois peuples gaulois[1] : les Leuques du côté vosgien, les Lingons du côté de la Haute-Marne et les Séquanes en Franche-Comté. Lamarche est située à 16 km de Bourbonne-les-Bains, 17 km de Monthureux-sur-Saône, 20 km de Contrexéville, 23 km de Bourmont, 25 km de Montigny-le-Roi, 32 km de Jussey et 37 km de Neufchâteau.

    Le lieudit Aureil-Maison est sur le tracé du sentier de grande randonnée GR 7.

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    La ville est entourée de mamelons escarpés : le mont des Fourches (500 m) à l'est, le mont Saint-Étienne (477 m) au nord, la côte de Mont (452 m) au sud. À l'ouest, c'est la forêt de Morimond qui forme une barrière traversée seulement par la D 429 en direction de Fresnoy-en-Bassigny.

    Hydrographie

    Au lieu-dit Rappéchamp se trouve la limite du partage des eaux entre Mer du Nord et Méditerranée : les eaux s'écoulant au nord de la ferme alimentent la Meuse tandis que celles coulant au sud alimentent la Saône puis le Rhône.

    Voies de communication et transports

    Lamarche est sur la ligne ferroviaire à double voie de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt inaugurée en 1881. Du fait du mauvais entretien et d'une fréquentation faible, le service voyageurs a été interrompu le . Toutefois, il a partiellement repris le grâce à la création d'une liaison Paris Contrexéville Vittel[2], fonctionnant les vendredis, dimanches et jours fériés, de début avril à début novembre[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Lamarche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), prairies (32,3 %), terres arables (9,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (2,2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Anciennes mentions : Marchia (1217 et 1238), La Marche (1301), De Marchiis (1402), La Marche en Barrois (1751), Marchisia (1768), La Marche (1793 et 1801)[11],[12].

    La première attestation de la localité est sous le nom de Marchia en 1217, d'une racine germanique marka, « frontière », repris en latin médiéval sous la forme marca ou marchala, de même sens.

    Histoire

    Lamarche s'est développée au carrefour de deux grandes voies antiques, la voie de Langres à Strasbourg par le Donon, et la voie venant de Besançon qui rattrapait à Nijon le grand axe Lyon - Toul - Metz - Trèves. Située aux marches de la Lorraine et du Barrois, elle fut le siège d'un bailliage du comté de Bar puis une prévôté du duché de Lorraine. Le bourg fut fortifié et protégé par un château qui fut vraisemblablement détruit lors de la guerre de Trente Ans.

    En 1424, la défense de Lamarche est organisée. Philippe de Norroy est fait gouverneur de Bassigny par René d'Anjou, duc de Bar car le bailliage est particulièrement exposé aux incursions des routiers anglo-bourguignons en lutte contre Robert de Baudricourt, vassal du dauphin Charles VII. Le , Jean de Vergy aidé d'une garnison anglaise forte de trois cents chevaux, part de la ville Montigny-le-Roi pour se porter au devant de la citadelle de Lamarche. Du 15 au , Philippe de Norroy, aidé de Huart de Mandres bailli de Bassigny, réunit à Lamarche près de 140 hommes d'armes en vue de défendre le pays. Vaincues les troupes ennemies battent en retraite mais ravagent les villages alentour dont Serocourt.

    En 1425, les garnisons de Lamarche furent à nouveau renforcées afin de faire face à un nouvel assaut du sire de Vergy. À cet effet, Philippe de Norroy reçoit une somme de 100 livres pour solder des gens de guerre au service du duc.

    La Marche a été chef-lieu de district sous la Révolution.

    De ce riche passé[évasif], le bourg conserve une église ancienne, de nombreux édifices civils de belle facture, ainsi qu'une belle chapelle romane dans l'écart d'Aureil-Maison[13].

    1843[14] : premier cimetière éloigné de l'église, situé à côté du château de la Trinité. On y trouve notamment une chapelle funéraire de la famille de Bourgogne et de la famille de Maussabré, anciens propriétaires du château aux XIXe et XXe siècles.

    1927[15] : second cimetière éloigné de l'église, inauguré par le maire Camille Picard, en face du premier cimetière.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1908 1940 Camille Picard[16] Rad. Député (1910-1919, 1924-1928, 1932-1936)
    Conseiller général du canton de Lamarche (1912-1919, 1925-1940)
    1940 mars 1945 Henri Laurent Sans étiquette Industriel
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 1989 Jean-Pierre Antoine Gauche Principal-adjoint de collège
    mars 1989 mars 2001 Gérard Voilquin Droite Chirurgien-dentiste
    mars 2001 En cours
    (au 09 août 2020)
    Daniel Vagné Sans étiquette Artisan-boulanger-patissier

    Comptes de la commune

    En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[17] :

    • total des produits de fonctionnement : 570 000 , soit 536  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 624 000 , soit 604  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 387 000 , soit 364  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 555 000 , soit 522  par habitant.
    • endettement : 20 000 , soit 19  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taux d’imposition Taxe d’habitation : 212,06 %
    • taxe foncière sur propriétés bâties : 9,12 %
    • taxe foncière sur propriétés non bâties : 13,57 %
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,75 %
    • cotisation foncière des entreprises : 11,70 %

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2018, la commune comptait 864 habitants[Note 3], en diminution de 12,11 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    1 6741 5541 6121 4801 6251 7411 8412 0291 804
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 8321 7191 7541 7831 6931 6641 6511 6251 481
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4501 4121 1611 1791 1121 1511 1371 1341 209
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    1 2011 3331 3381 2581 1591 0841 0731 062983
    2018 - - - - - - - -
    864--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    • Église Notre-Dame de l'Assomption de Lamarche, classée aux Monuments historiques en 1997, datant du XIIIe siècle. Orgue de 1842 de Nicolas-Antoine Lété[21],[22],[23],[24], transformé en 1896 par Henri Didier[25].
    • Hôpital local maison de retraite, avec sa chapelle Saint-Charles-Borromée (4 rue de Bellune).
    • Les cimetières communaux : le premier de 1843 et le second de 1927 (rue du faubourg de France).
    • Cimetière israélite[26] de 1849 (rue de la Romaine). Il fait partie du patrimoine juif de Lorraine.
    • Chapelle Notre-Dame d'Aureil-Maison du XIIe siècle (au hameau d'Aureil-Maison)[27],[28], inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [29].
    • Calvaires :
      • Calvaire du chemin de la Maillarde, socle en pierre et croix en bois.
      • Calvaire de la croix de mission
    • Ruines de la chapelle du parc ancien couvent des Trinitaires.

    Édifices publics

    • Hôtel de ville (entre les 18 et 20 de la rue du colonel Renard)
    • École communale (rue de l'école).
    • Anciennes halles (rue du faubourg de France), transformées en salle des fêtes
    • Lavoirs[30] construits au XIXe pour suivre les théories de l'hygiénisme :
      • Fontaine des Sources de 1835 (place Jules Ferry).
      • Fontaine du Rupt du Mai de 1837 (carrefour rue du Colonel Renard / rue Gambetta).
      • Lavoir du Grisfontaine de 1838 (carrefour rue St Nicolas / avenue de la Gare).
      • Lavoir du hameau d'Aureil-Maison de 1848 (carrefour rue de la Bondisse / rue de la Fontaine).
    • Monument aux morts de 1921[31] (place Jules Ferry) ; il est surmonté d'une statue de poilu avec les bras croisés de François Cogné.
    • Monument Victor Perrin (1764-1841), maréchal d'Empire, duc de Bellune (au centre de la place de Bellune agrémentée d'une fontaine). La maison natale de Victor Perrin se trouve presque en face de la place, au 12 rue de Bellune.
    • Monument Charles Renard (1847-1905), rénovateur de l'aéronautique (sur la place du colonel Renard, rue de Bellune, en face de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption). Œuvre de Paul Theunissen[32]
    • Gare de Lamarche de 1881 située sur la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt.

    Édifices privés

    • Château de la Trinité (XVIIIe, ancien couvent de l'ordre des Trinitaires) devenu château à partir de sa vente en 1791 lors des événements de la révolution française.
    • Maison Renard[33], située 21 rue du colonel Renard, datant du XVIIIe siècle : maison de famille des frères Charles Renard et Paul Renard.
    • Hôtel de Bourgogne[34], situé 31 rue du colonel Renard, du début du XVIIIe siècle : immeuble inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du pour sa façade avec un remarquable escalier en fer à cheval et classé au même titre et par le même arrêté pour sa pièce à alcôve avec son décor au rez-de-chaussée et la salle voûtée du sous-sol[35].
    • Ancien siège du bailliage du Bassigny mouvant, de style classique du XVIIIe (au 10 rue de Bellune) avec une belle façade en pierres sculptées. Une jolie grille ferme une petite cour d'honneur sur le devant.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à la grenade de gueules, ouverte d'or, tigée et feuillée de sinople, penchée à senestre.
    Commentaires : La présence d'une grenade sur un blason lorrain peut surprendre. D'après le site de la commune, la grenade est un symbole d'unité dans la diversité, les nombreux grains, tous différents, sont enfermés dans un même fruit. Elle pourrait symboliser le repeuplement composite du lieu après la guerre de Trente Ans.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 647 : Lamarche
    • Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p.
      Lamarche p. 456 et Carte n°5 des Vosges, B.38.688.87

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Matthieu Michler, Carte archéologique de la Gaule - 88 - Les Vosges, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 2004, (ISBN 2-87754-088-X) (notice BnF no FRBNF40040259), pages 71-72.
    2. « Le train des Eaux de retour dans les stations thermales », sur vosgesmatin.fr, (consulté le ).
    3. « Paris-Vittel en direct les week-ends » [PDF], sur ter.sncf.com/grand-est (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, Impr. nationale, 1941
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. histoire de Lamarche sur le site de la commune
    14. Date sur les portes du premier cimetière
    15. Date à l'entrée du second cimetière avec la mention du député-maire Camille Picard
    16. Bertrand Munier, 1791-2003 Le Grand livre des élus vosgiens, Gérard Louis éditeur, Haroué, (ISBN 2-914554-34-6).
    17. Les comptes de la commune de Lamarche « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. L'orgue de 1842 de Nicolas-Antoine Lété, transformé en 1896
    22. Notice no PM88001143, base Palissy, ministère français de la Culture tribune ; buffet d'orgue ; partie instrumentale de l'orgue
    23. Notice no PM88001036, base Palissy, ministère français de la Culture Buffet néo-baroque à 3 tourelles
    24. Notice no PM88000501, base Palissy, ministère français de la Culture partie instrumentale de l'orgue
    25. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 304 et 350 à 353.
    26. Le cimetière juif de Lamarche
    27. La chapelle Notre-Dame hameau d'Aureil-Maison
    28. Chapelle Notre-Dame d'Aureil
    29. « Chapelle Notre-Dame d'Aureil », notice no PA00107189, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Lavoirs des Vosges sur le site lavoirs.org
    31. Monument aux morts de Lamarche sur le site monumentsmorts.univ-lille3.fr
    32. Le monument Charles Renard sur le site aerosteles.net
    33. « Maison du Colonel Renard », notice no IA88002043, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Jean-François Michel, Châteaux et demeures de caractère en Vosges, Gérard Louis éditeur, Haroué, 2015, page 138.
    35. « Hôtel de Bourgogne », notice no PA00107191, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      • Jacques-Maximilien Benjamin Bins de Saint-Victor, Tableau historique et pittoresque de Paris depuis les Gaulois jusqu'à nos jours, vol. 2, p. 245, éd. Vanlinthout et Vandezande, 1830
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