Labarthe-Inard
Labarthe-Inard est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Labarthe.
Labarthe-Inard | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges | ||||
Maire Mandat |
Jacques Albenque 2020-2026 |
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Code postal | 31800 | ||||
Code commune | 31246 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Inardais | ||||
Population municipale |
864 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 87 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 06′ 33″ nord, 0° 50′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 308 m Max. 374 m |
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Superficie | 9,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Gaudens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Gaudens | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.labarthe-inard.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Inardais.
Géographie
Localisation
La commune de Labarthe-Inard se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 74 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 9 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Médard (2,2 km), Beauchalot (2,5 km), Montespan (2,9 km), Savarthès (2,9 km), Pointis-Inard (3,3 km), Castillon-de-Saint-Martory (3,4 km), Estancarbon (4,2 km), Ganties (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Labarthe-Inard fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Labarthe-Inard est limitrophe de six autres communes.
Hydrographie
La commune est bordée par la Garonne dans sa partie sud.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 997 hectares ; son altitude varie de 308 à 374 mètres[7].
La commune de Labarthe-Inard est situé sur les hautes terrasses de la vallée de la Garonne au pied d’un coteau qui porte l’actuelle route D817. Celui-ci est enrichi d’une nappe phréatique abondante qui est à l’origine de nombreuses sources en contrebas. Celle de la côte de la Canaou a sûrement dû influencer l’implantation des premières populations locales[8].
La commune s’étend du lit de la Garonne au sud à la vallée du Soumès au nord. Beauchalot à l’est et Estancarbon à l’ouest encadrent la commune[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 25 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[23].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[25], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[27] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[28] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[29].
Urbanisme
Typologie
Labarthe-Inard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[31],[32].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,6 %), prairies (16,1 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (7,8 %), forêts (2,6 %)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Accès par l'autoroute A64 sortie no 18 et avec le réseau Arc-en-ciel ainsi qu'en gare de Labarthe-Inard.
Toponymie
Le nom : Labarthe doit provenir du mot ancien bart ou barth ce qui signifie marécage et même boue en liaison avec les sources. Le nom Inard a été ajouté au Moyen Âge, Pointis et Labarthe Inardis appartenaient à Isnardus[8].
Histoire
Il a existé au Moyen Âge une famille de La Barthe. Parmi les représentants successifs de cette famille de la branche des seigneurs de La Barthe-Ynard, nous citerons :
- Arnaud-Guilhem de la Barthe, né vers 1150 et marié à Navarre de Miramont, d'où :
- Sanche de La Barthe, né vers 1185 et décédé en 1235 et marié à Mathilde de Comminges (née en 1198), d'où :
- Honorée de La Barthe née vers 1220, dame héritière de La Barthe et mariée en 1252 à Azémar 1er de Mauléon, d'où :
- Bernard de Mauléon né vers 1255 et cité comme seigneur de La Barthe-Inard en 1304, d'où :
- Azémar II de Mauléon (1281-1347), d'où :
- Bernard de Mauléon (1340-1392), d'où :
- Cécile 1ère de Mauléon, née vers 1375, dame héritière de La Barthe-Inard et qui épouse vers 1395 Jean de Coret, d'où :
- Bertrand de Coret de Labarthe-Inard (vers 1400-1469), d'où :
- Jean de Labarthe-Inard né vers 1425 marié vers 1450 à Isabelle Faydit de Terssac.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[36],[37].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens. Avant le Labarthe-Inard faisait partie de la communauté de communes du Saint-Gaudinois.
La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39]. En 2018, la commune comptait 864 habitants[Note 9], en diminution de 2,7 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 130 | 130 | 139 | 148 | 165 | 175 | 176 | 177 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
Se trouvent à Labarthe-Inard une épicerie, un café, un salon de coiffure, deux hôtels restaurants, deux plombiers... et en bordure ou proximité de la RN 117 : 21 entreprises commerciales et artisanales sur la zone d'activités de Perbost
Enseignement
L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire : maternelle et primaire[46].
Santé
Un médecin est présent sur la commune.
Culture et festivité
Salle des fêtes, fête des plantations,
Activités sportives
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L’église dédiée à saint Cirice (saint Cyr) : De style roman, il n’en reste que deux fenêtres et un oculus tous obturés au XVIIIe siècle, et le chrisme en marbre au dessus de la porte, l’église était basse et plus petite. La porte actuelle de style gothique date du XVIe siècle. L’aspect actuel découle de la fin du XVIIIe siècle, en particulier le clocher et ses cinq cloches, les fenêtres romanes ont été fermées et cinq ouvertures ouvertes en demi-lunes. À la Révolution, deux cloches sont prélevées et les deux ouvertures inférieures maçonnées. La voûte intérieure a été rénovée au milieu du XIXe siècle, enfin la nef actuelle tient à la restructuration réalisée par l’abbé Dumail dans les années 1970 : mise en valeur de l’autel tombeau et de la chaire entre autres[8].
- L'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1950[47].
- Chapelle Saint-Genest[48].
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Labarthe-Inard », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Labarthe-Inard et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Labarthe-Inard et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Labarthe-Inard », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Page sur la commune sur labarthe-inard.fr
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Labarthe-Rivière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Labarthe-Inard et Labarthe-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Labarthe-Rivière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Labarthe-Inard et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Labarthe-Inard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Labarthe-Inard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- http://www.ccsg.fr/db/ccsg.nsf/VAAD/DB435305152B446EC1257B2C00503EAF?open
- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Une mise en valeur de notre patrimoine sur labarthe-inard.fr
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