La Ferté-Vidame

La Ferté-Vidame est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir La Ferté (homonymie).

La Ferté-Vidame

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté de communes des Forêts du Perche
Maire
Mandat
Catherine Stroh
2020-2026
Code postal 28340
Code commune 28149
Démographie
Population
municipale
660 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 44″ nord, 0° 54′ 06″ est
Altitude 246 m
Min. 214 m
Max. 286 m
Superficie 39,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
La Ferté-Vidame
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
La Ferté-Vidame
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La Ferté-Vidame
Géolocalisation sur la carte : France
La Ferté-Vidame
Liens
Site web http://mairielafertevidame.fr/

    Géographie

    Situation

    La Ferté-Vidame est une commune de la région naturelle du Thymerais. Elle est limitrophe du département de l'Orne et située à 36 km de Saint-Lubin-des-Joncherets, 40 km de Dreux et 49 km de Chartres.

    Communes et département limitrophes

    Hydrographie

    La commune abrite la source de la Meuvette, affluent en rive droite de l'Avre, sous-affluent du fleuve la Seine par l'Eure[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senonches », sur la commune de Senonches, mise en service en 1997[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 839,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 11 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Ferté-Vidame est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,7 %), terres arables (8,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,6 %), prairies (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), zones urbanisées (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Ferteia en 985, relatif à une première fortification et atteste de l'installation d'un château primitif, vraisemblablement d'une motte[22].

    Une ferté (du latin firmitas ; à rapprocher de ferme) est au Moyen Age une forteresse, un site fortifié (château fort, fortification, rempart) permettant de tenir solidement, fermement, une position et d'en assurer la défense et la sécurité.

    La Ferté-Vidame, le titre de vidame de Chartres fut deux fois associé à La Ferté, car deux fois, par le jeu des alliances, le vidamé (la vidamie) de Chartres fut possédé par les seigneurs de La Ferté.

    Un vidame désigne à l'origine celui qui mène l'armée d'un évêque et exerce au nom de celui-ci un certain nombre de droits féodaux. À l'époque moderne, le titre de vidame est intégré à la hiérarchie nobiliaire, et considéré comme équivalent à celui de vicomte. Certains titres de vidames étaient attachés à des fiefs, d'autres étaient héréditaires : les vidames de Chartres relèvent au début de la deuxième sorte, ils n'étaient pas au départ liés à une terre précise ; puis sous l'Ancien Régime on les associe volontiers à la terre de La Ferté-Arnaud (ou La Ferté-Ernault, devenue La Ferté-Vidame), qu'ils possèdent alors systématiquement.

    Histoire

    Révolution française et Empire

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de La Ferté-les-Bois[23].

    XIXe siècle

    En 1844, la Ferté-Vidame absorbe la commune de Réveillon[23].

    XXe siècle

    Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la République espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[24], dont La Ferté-Vidame[25]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[26]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1971 Louis Poussin    
    1971 2001 Jacques Dussutour RPR Conseiller général du canton de La Ferté-Vidame (1973-2004)
    2001 2014 Jean-Pierre Jallot UMP Conseiller général du canton de la Ferté-Vidame (2004-2015)
    2014 2020 Bernard Planque SE Retraité
    2020 En cours Catherine Stroh    

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[28].

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8088587258087728318229741 040
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9751 0039399339791 0061 027960978
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    956966881801831778745849802
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    893793790784801818779729708
    2018 - - - - - - - -
    660--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Nicolas

    Église Saint-Nicolas.

    Église Saint-Nicolas, XVIIe siècle,  Classé MH (1976)[31].

    Dans cette église se trouve une plaque funéraire avec l'inscription suivante :

    « Ci git Louis de Saint Simon, pair de France, comte de Rasse, Grand d’Espagne de première classe, marquis de Ruffec, comte de La Ferté Arnault, vidame de Chartres, gouverneur des ville, citadelle et comté de Blaye, bailly et gouverneur de Senlis, chevalier des ordres du Roy, cy devant du Conseil de Régence dès son établissement, depuis ambassadeur extraordinaire en Espagne, décédé le , âgé de 80 ans environ. Requiescat in pace. »

    Château de la Ferté-Vidame

    Château de la Ferté-Vidame.

    Château de la Ferté-Vidame, ancien domaine de Jean-Joseph de Laborde,  Classé MH (1976, 1991),  Inscrit MH (2007)[32].

    Ancienne église Saint-Pierre de Réveillon

    L'ancienne église Saint-Pierre de Réveillon.

    L’ancienne église du Réveillon comporte une représentation murale du Dit des trois morts et des trois vifs : trois jeunes gentilshommes sont interpellés dans un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme,  Classé MH (1978)  Inscrit MH (1978)[33].

    Le cimetière qui l'entoure accueille notamment la sépulture de Michel Jobert.

    Centre d'essai Citroën

    Prototypes TPV de la 2CV retrouvés en 1994 dans une grange au centre d'essai de Citroën.

    Les bureaux d'étude de Citroën ont disposé à la Ferté-Vidame d'un centre d'essai secret, avec une piste dissimulée dans un parc clos. C'est ici qu'ont roulé les premiers prototypes de la 2CV, appelé projet TPV. On y a retrouvé en 1994, trois exemplaires oubliés de la présérie de 1939, qui y furent cachés aux Allemands à la veille de la guerre. Cette découverte a été révélée au grand public en 1995 et exposée au salon Rétromobile de 1998. Elles sont maintenant exposées au conservatoire Citroën.

    C'est sur ce site et dans le parc du château, qu'est organisé les 19, 20 et 21 juillet 2019 le "rassemblement du siècle", organisé par la société Automobiles Citroën destiné à célébrer le centenaire de la marque, et réunissant 60 000 personnes dont 10 000 collectionneurs et 4 200 véhicules Citroën exposés.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Trouillard (vers 1620-1677), pasteur calviniste ;
    • Louis de Rouvroy (1675-1755), duc de Saint-Simon, pair de France, dont le père acquiert le château en 1635 ;
    • Jean-Joseph de Laborde (1724-1794), propriétaire du château de 1764 à 1784 ;
    • La famille Humbert, demeurant au château du Hallier.
    • Joseph Claussat (1874-1925), homme politique mort à La Ferté-Vidame ;
    • Violette Nozière (1915-1966), aussitôt après sa libération le , elle vient séjourner à la Ferté-Vidame dans la maison de rééducation du père Courtois, aumônier de l'administration pénitentiaire, que celui-ci vient d'ouvrir[34] ;
    • Michel Jobert (1921-2002), homme politique et écrivain français, dont la sépulture est à Réveillon.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d’azur au château de trois tours d’or maçonné de sable.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Meuvette (H4240600) » (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Senonches - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Ferté-Vidame et Senonches », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Senonches - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Ferté-Vidame et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. F. Couvin, Ferté-Vidame (La) (Eure-et-Loir) : Le château, Archéologie médiévale, t. 23, CNRS Éditions, , p. 424-425.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Ferté-Vidame », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    24. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    25. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    26. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    27. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    28. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Église Saint-Nicolas », notice no PA00097107, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Château de la Ferté-Vidame », notice no PA00097106, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Ancienne église du Réveillon », notice no PA00097108, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. France-Soir, 31 août 1945, p.2 :"Après sa rentrée fort discrète dans le monde, Violette Nozières avait pris avec sa mère le train de Paris. Elle s'est arrêtée à La Ferté-Vidame (Eure-et-Loir) pour séjourner quelque temps dans la maison de rééducation que le R.P. Courtois, aumônier de l'administration pénitentiaire vient d'ouvrir dans cette commune."
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