Kouba

Kouba (en arabe : القبة, « Le Dôme ») est une commune algérienne située dans la proche banlieue sud-est d'Alger, dans la wilaya du même nom.

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Kouba

Mairie de Kouba
Noms
Nom arabe القبة
Nom berbère L-Qobba
Administration
Pays Algérie
Wilaya Alger
Daïra Hussein Dey
Président de l'APC Mokhtar Laadjailia (FLN)
2012-2017
Code postal 16050/16006
Code ONS 1618
Indicatif +213 23 78 63 05
Démographie
Gentilé Koubéen, Koubéenne
Population 467 051 hab. (2018[1])
Densité 29 191 hab./km2
Géographie
Coordonnées 36° 44′ 01″ nord, 3° 05′ 11″ est
Superficie 16 km2
Localisation

Localisation de la commune dans la wilaya d'Alger.
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Kouba
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Kouba

    Géographie

    La commune de Kouba se situe sur l'un des derniers mamelons du sahel algérois, à une altitude de 120 à 130 m. Son territoire s'étend vers le nord à travers des pentes douces pour rejoindre la petite plaine côtière et au sud en direction de la Mitidja un peu plus loin.

    Situation

    Kouba est située à environ km au sud-est d'Alger[2].

    Hydrographie

    La commune est bordée à l'est par l'oued Ouchayah, un petit cours d'eau et au sud par l'oued El Abki, un autre petit cours d'eau. Plusieurs anciens cours d'eau ont disparu, comme l'oued El Garidi en lieu et place de l'actuelle rocade sud ou encore l'oued Kniss au nord.

    Infrastructures de transports

    La commune est desservie au sud par la rocade sud d'Alger et à l'ouest par la pénétrante des Annassers.

    Transports en commun

    La commune est desservie par le métro d'Alger à la station multimodale des Fusillés où se trouve le terminus du tramway d'Alger, ainsi que le téléphérique qui rejoint de plateau des Annassers.

    Plusieurs bus de l'ETUSA traversent la commune :

    Les lignes des bus de transport privées sont très diversifiées, la commune est liée à beaucoup de communes d'Alger à travers les lignes suivantes :

    • Kouba (Ben Omar, la mairie, Calvaire, Oasis, Ruisseau) - Belouizdad (Jardin d'essais, Hamma) - 1er mai, ou La Pêcherie/Place des Martyr ;
    • Kouba (Ben Omar, L'Appreuvel) - Gué de Constantine (Cité Hayet, Semmar) - Baraki ;
    • Kouba (Ben Omar, L'Appreuvel, Djenane El Kares) - Gué de Constantine (Aïn Naâdja) ;
    • Kouba (Ben Omar, L'Appreuvel) - Bachdjerrah (Lotissement Michelle, Haï Badr, Tennis) ;
    • Kouba (Ben Omar, Jolie Vue, Garidi) - Bir Mourad Raïs (Les Sources, La Côte, Said Hamdine) - Ben Aknoun, ou Chevalley-Beni Messous ;
    • Kouba (Ben Omar, Jolie Vue, Garidi) - Birkhadem ou Bir Mourad Raïs ;
    • Kouba (L'Hôpital Central de l'Armée, Garidi, la mairie, Calvaire), Hussein Dey (la poste, Brossette)
    • Propos recueillis par Azizi Rafik source INA.

    Historique

    En 1905, une ligne de tramway TMS a été construite entre le Champ de Manœuvre (actuelle place du 1er mai) et Kouba. La ligne de tramway TMS no 6 est exploitée entre la Place du Gouvernement (actuelle place des Martyrs) et Kouba jusqu'en 1945 avec une fréquence de passage toutes les 30 minutes. Elle est ensuite remplacée par un trolleybus qui portera le no 3. En 1958 il est remplacé par des bus.

    Histoire

    La ville de Kouba doit son appellation à la mosquée édifiée en 1543 par Brahim Pacha un haut fonctionnaire de la régence d'Alger sous les ordres de Khirredine Barberousse, ce pacha avait pris sa retraite et s'était installé sur cette colline et y avait bâti à son sommet son palais et une mosquée dont la coupole (Kobba) était visible de très loin disait on. Il ne subsiste aujourd'hui que l'ancienne mosquée qui fut rénovée et reconvertie pendant la colonisation en couvent où résidaient des sœurs. Cette coupole de couleur verte est toujours visible de nos jours et ne peut pas être confondue avec celle de l'ancienne église dont la coupole est noire.

    Mausolée de Sidi El Garidi

    Au XVIIIe siècle un mausolée est édifié en l'honneur du marabout Sidi El Garidi qui avait légué un terrain devenu aujourd'hui le cimetière de Garidi. Le mausolée et le cimetière se trouvent en lisière d'un village appelé après la colonisation Vieux-Kouba.

    Le village colonial a été construit à partir de 1832. Des concessions ont d'abord été données à 23 familles allemandes avant qu'elles ne soient remplacées par des familles françaises en 1835. Il est élevé au rang de commune de plein exercice le [3]. Ce village englobait un territoire comprenant, au nord-est la zone côtière, depuis l'actuelle Hussein Dey jusqu'à l'embouchure de l'Oued El Harrach, et au sud-ouest le Djasr Kasentina (Gué de Constantine).

    En 1870, la commune est amputée d'une grande partie de son territoire pour la création de celle d'Hussein Dey.

    En 1984, la taille de la commune est de nouveau réduite avec la création de la commune de Gué de Constantine.

    Cimetières

    • Cimetière de Kouba (Djebana Mohamed Garidi)
    • Cimetière Mohamed Bouras de Ben Omar.
    • Cimetière chrétien de La Croix.

    Urbanisme

    Morphologie urbaine

    Village colonial construit au milieu du XIXe siècle, Kouba voit se construire au tournant du XXe siècle plusieurs quartiers résidentiels vers le sud. À partir des années 1950 et jusqu'aux années 1990, plusieurs grands ensembles vont pousser à l'ouest et au sud de la commune.

    Ses frontières à l'ouest et au sud sont d'anciennes frontières naturelles puisque sa frontière sud est un cours d'eau, aujourd'hui souterrain dit 'Oued Kniss' et sa frontière sud est un cours d'eau aujourd'hui disparu dit 'El Annassers' qui signifie 'Les sources'. La plupart des quartiers qui sont nés autour de ce coin s'appellent 'Les sources', 'Cité des Annassers', etc.

    Le centre historique

    Le centre historique de Kouba, appelé encore le village, est construit autour de la Marie monumentale, traversé par un axe principal, l'avenue Fellah Mohamed (ex-Avenue de la République), il trouve une limite naturelle à l'est avec le grand séminaire et le fort qui le séparent d'Hussein Dey.

    Oasis / Calvaire

    Quartier de l'Oasis à Kouba
    Quartier du Calvaire à Kouba
    Vue sur la ville d'Alger à partir du quartier de Calvaire.

    Ce quartier résidentiel se situe dans la montée entre le Ruisseau et le village. Il s'agit essentiellement de belles demeures dont certaines datent de l'époque ottomane construites le long des lacets formées par les rues montantes, offrant un panorama sur la baie d'Alger. .

    Ruisseau

    Vue sur le téléphérique de Oued Kniss au quartier de Ruisseau, Kouba.

    Quartier situé en contrebas à cheval sur les communes de Kouba, Hussein Dey et Belouizdad. Accueillant jusqu'à il y a peu les abattoirs d'Alger et de petites fabriques, il est en pleine transformation en quartier administratif. On y trouve depuis 2012 une grande place accueillant une station multimodale Métro/Tramway/Téléphérique (conduisant vers le plateau des Annassers).

    La Croix / Vieux Kouba

    Vue du quartier de Vieux-Kouba.

    Quartier situé dans le prolongement du village colonial, essentiellement résidentiel, il composé de plusieurs lotissements situés de part et d'autre de l'avenue des frères Abdeslami (ex avenue Lavigerie), construits à partir du début du XXe siècle. On y trouve le clos des Orangers, le lotissement Boirie.

    Ce quartier abrite plusieurs écoles :

    • une École normale supérieure (ENS) ex centre des invalides de la guerre 14-18.
    • Une résidence universitaire étudiante
    • Un lycée " des frères Hamia." construit dans les années 1970.
    • Plusieurs écoles privées spécialisées dans l'enseignement moyen et secondaire
    • Une centre de formation professionnelle appelé le centre Alili Ahmed et Biskri Fatiha.

    Ben Omar

    La cité de Ben Omar.

    Ce quartier s'est développé après la Seconde Guerre mondiale. Avec la construction du Parc Ben Omar, des villas destinées aux cheminots, ainsi que des cités :

    • Parc Ben Omar
    • Cité Bag Mohamed (ex Nobleterre)
    • Cité Mohamed Saidoune (ex La Cadat , Cité Dallas)
    • Cité Diar El Bahia
    • Cité Djilali Lyabes (ex Ben Omar)
    • Cité Louis Moritaux (entre Ben Omar et L'appreval)

    La cité Ben Omar est construite dans les années 1970 pour les cadres dans une logique de logement social. Composé de 20 immeubles différents, le quartier abritait les cadres de la nation par spécialités et domaines : bâtiment de l'enseignement, bâtiment des médecins, bâtiments des sociologues, bâtiments des orientaux, bâtiments des militaires. À la même époque, dans un souci de mixité culturelle, des logements furent également attribués à des coopérants de diverses nationalités.

    Ces dernières années, une piscine semi-olympique a été construite dans ce quartier.

    Jolie Vue

    Quartier construit autour d'une cité populaire des années 1950, il s'est fortement développé à partir des années 1990 :

    • Cité Jolie Vue.
    • Cité Khellil Charef Abdelkader (ex Jolie Vue 2).
    • Cité 648 logements.
    • Cité 286 logements.

    Plateau des Annassers

    Cité les Annassers

    Grands ensembles de cités populaires planifiées à partir des années 1950, on y trouve 5 grandes cités. Initié par le plan de Constantine, afin de loger les indigènes, le projet d'aménagement du plateau des Annassers prévoyait la construction de 24 000 logements, seule une première tranche a été livrée avant l'indépendance, la cité Annassers 1 en 1957 et la cité Diar El Afia en 1960. Plus tard dans les années 1970, deux autres cités sont construites, les Annassers 2 construite par la Sorecal et livrée en 1980 et les Cités Coopemad Sud et Nord, promotion immobilière des Moudjahidines.

    • Cité Annassers 1
    • Cité Diar El Afia
    • Cité El Nasr (ex Annassers 2, dite Sorecal)
    • Cité Coopemad Sud et Nord

    Haï El Hayat (Appreval) / Haï El Badr (Lot. Michel)

    Quartier résidentiel plus populaire situé au sud de Ben Omar dans la descente du Chemin Ali Ben Habiles en direction de Gué de Constantine.

    • L'Appreval.
    • Lotissement Michel.
    • Quatre Chemins.

    Garidi

    Vue générale du quartier de Garidi.

    Situé sur le versant sud du plateau des Annassers, deux cités séparées par une voie rapide, la pénétrante des Annassers, habitées par la classe moyenne. L'ensemble Garidi 1 et Garidi 2 promu par l'OPGI a été livré en 1983. Depuis deux nouvelles promotions ont vu le jour à côté de Garidi 1, la Cité 279 logements de la CNEP dans les années 1990 et la promotion privée Serbat livrée en 2012.

    • Garidi 1 et 2
    • Cité 279 logements (CNEP)
    • Promotion Serbat

    Population et Société

    Démographie

    Évolution démographique
    1987 1998 2008
    86 900105 253104 708
    (Source : ONS)

    Enseignement scolaire

    • 28 écoles primaires publiques[4].
    • 10 Collèges d'enseignement moyen publics (CEM) [5]
    • CEM Abdelmalek Temmam au Annassers
    • CEM Abdelkrim EL Akoun au Annassers
    • CEM Tayeb Boualahrouf à Garidi 1
    • CEM Youcef Ben Brahim El Ouardjilani à Jolie Vue
    • CEM des frères Abdesselami à Kouba
    • CEM Abdelhamid Benazouz
    • CEM Djaafar Kadri-Khodja au Oasis
    • CEM Émir Khaled à La Croix
    • CEM Mohamed El Aïd Al Khalifa à Garidi 1
    • CEM Nouvelle Kouba à Jolie Vue
    Lycée National de Mathématiques, au quartier de Garidi 1.
    • 8 Lycées publics[6]
    • Lycée Saad Dahlab à Ben Omar
    • Lycée des frères Hamia à Vieux-Kouba
    • Lycée de filles Hassiba Ben Bouali à Ben Omar
    • Lycée Dekkar Boualem à Garidi 2
    • Lycée Abdelhafid Boussouf au Annassers
    • Lycée Ali Ammar ( Dit Ali la pointe ) à Ben Omar
    • Lycée Mohamed Ben Youcef Khider à Jolie Vue (ex-Technicum de Jolie Vue)
    • Nouveau lycée d'élite de Mathématiques à Garidi 1

    Formation professionnelle

    • 4 CFPA et 1 INSFP
    • CFPA Mounsi Salah
    • CFPA Bellalem Said
    • CFPA Allili Ahmed et Beskri Fatiha
    • CFPA Hamoud Mohamed
    • INSFP El Amid Si Athmane (métiers du bâtiment)

    Enseignement supérieur

    La commune possède un campus répartie sur deux quartiers : Vieux-Kouba et Garidi.

    • École Normale Supérieur de Kouba (quartier de Vieux-Kouba).
    • École Supérieure des Travaux Publics (quartier de Garidi).
    • École Nationale de Santé Militaire de Ain Naâdja.

    Santé

    Hôpital Bachir Mentouri de Kouba
    • Établissement Hospitalier Spécialisé (EHS), Bachir Mentouri.
    • Établissement Hospitalier Spécialisé (EHS), Drid Hocine (Pédopsychiatrie).
    • Hôpital Central de l'Armée de Ain Naâdja.
    • Clinique les Oliviers.

    Médias

    • La commune est le siège du Centre International de Presse[7].
    • Le quotidien El Watan y construit son siège au quartier de l'Oasis[8].

    Administration et Politique

    Sièges d'administrations et d'organismes

    • Ministère des ressources en eaux.
    • Annexe du ministère de l'éducation nationale.
    • Ministère des affaires étrangères.
    • Ministère de la Culture.
    • Cour d'Alger.
    • Agence Nationale à l'Aménagement et à l'Attractivité des territoires ANAAT.
    • Organisme National de Contrôle Technique des Travaux Publics CTTP.
    • Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger SEAAL.
    • Fédération Algérienne de Taekwondo.

    Situation administrative

    Liste des maires successifs

    • 1962-1965 : Ahmed Okbane
    • 1974-1979 : Boulouh Brahim (FLN)
    • 1979-1984 : Tahar Chobti (FLN), Cadre supérieur d'État
    • 1984-1989 : Azzedine Kadiri (FLN)
    • 1990-1992 : El Akel (FIS)
    • 1992-1997 : Délégation exécutive communale
    • 1997-1999 : Chihab Seddik (RND)
    • 1999-2002 : Fouzia Bensahnoun (RND), Ingénieure
    • 2002-2007 : Mohamed Nabi (FLN), médecin
    • 2007-2012 : Saïda Bounab (FLN), Cadre supérieur
    • 2012-2017 : Zoheir Bousnina
    • 2017 : Mohamed Nabi (FLN), médecin

    Sécurité

    La commune compte 4 commissariats de police, une brigade mobile et une gendarmerie.

    • Sûreté Urbaine à La Vigerie (ex-17e)
    • Sûreté Urbaine au Annassers
    • Sûreté Urbaine à Jolie Vue
    • Sûreté Urbaine à Ben Omar
    • BMPJ de Jolie Vue 2
    • Gendarmerie à Jolie Vue

    Biodiversité

    Cette commune pourtant très fortement urbanisée possède une riche faune et flore. Elle compte un espace protégé, la forêt de Kouba d'une superficie de 5 Ha autour du fort ottoman et plusieurs espaces boisés, 17 Ha autour du plateau des Annassers, 14 Ha près de l'hôpital militaire, 36 Ha près du QG des forces terrestres.

    Vie quotidienne et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Fort, fortification ottomane qui domine une falaise dominant la baie d'Alger.
    • Le grand séminaire, ancien séminaire du diocèse d'Alger, il abrite une partie du ministère des ressources en eaux. Il a été classé par le ministère de la culture en 2012[9].
    • Ancienne Église Saint-Vincent-de-Paul.
    • Ancien Centre des Invalides de guerre, accueille aujourd'hui l’École Nationale Supérieure de Kouba.
    • Orphelinat de la Sainte Enfance.

    Équipements culturels

    Musique

    Kouba est représentée[précision nécessaire] par son association culturelle et musicale : El Djazira[réf. nécessaire].

    Sport

    La commune de Kouba possède plusieurs clubs de football : le CAK (Chabab Amel de Kouba), l'ESK (Entente Sportive de Kouba), le WRK (Widad Riadhi Kouba), l'ASBK (Association Sportive Baladiat Kouba), l'IRGK (Itihad Riadhi Garidi Kouba) et le plus capé le RCK (Raed Chabab Kouba).

    Une équipe d'athlétisme du RCK, est parmi les meilleures en Algérie où elle est détentrice de plusieurs records d'Algérie.

    Le principal stade de la commune est le stade Mohamed Benhaddad d'une capacité de 10.000 places. Ces dernières années, la commune a bénéficié de la réalisation d'une piscine semi-olympique située au quartier de Ben Omar.

    Personnalités liées à la commune

    • Mohamed Lamine Debaghine (1917-2003), médecin, homme politique et indépendantiste algérien habitait à la rue Dixmude (actuelle Lieutenant Boutaleb Keddour).
    • Mohamed Bachir El Ibrahimi (1889-1965), fondateur de l'association des oulémas musulmans algériens dont le siège était situé à Kouba.
    • Ferhat Abbas (1899-1985), premier président du GPRA, s'est marié et y a vécu jusqu'à son décès.
    • Ahmed Francis (1912-1968), premier ministre de l'économie d'Algérie, a habité à Kouba.
    • Fernand Sastre (1923-1998), président de la fédération française de football, y est né.
    • Général Margueritte (1823-1870), militaire français y a vécu toute son enfance.
    • Mohamed Sifaoui (1967), journaliste franco-algérien a vécu à la Cité Bag Mohamed (anciennement Nobleterre).
    • Ali Belhadj (1956), leader islamiste, cofondateur du FIS habitait à Jolie Vue et prêchait à la Mosquée de ben Omar.
    • Djilali Liabes (1948-1993), universitaire, ancien ministre des universités assassiné devant son immeuble à la Cité Ben Omar depuis renommée à son nom.
    • Naima Dziria, Diva de la chanson Hawzi algéroise, y est née en 1968
    • Michel Crémadès (1955), acteur, y est né et y a vécu sa petite enfance.
    • Mohamed Kacimi (1955) y a étudié.
    • André Greck (1912-1993) Sculpteur y avait son atelier artistique et y habitait.
    • Paul Belmondo (1898-1982), sculpteur et graveur, père de l'acteur de cinéma Jean-Paul Belmondo, y avait son atelier artistique et y habitait.

    Notes et références

      • Portail d'Alger
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