Joncherey

Joncherey (Guntscherach en allemand) est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Cet article possède un paronyme, voir Jonchery.

Joncherey

L'église Saint-André de Joncherey.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Territoire
Maire
Mandat
Jacques Alexandre
2020-2026
Code postal 90100
Code commune 90056
Démographie
Gentilé Joncherois
Population
municipale
1 398 hab. (2018 )
Densité 270 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 32′ 00″ nord, 7° 00′ 00″ est
Altitude Min. 349 m
Max. 401 m
Superficie 5,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Delle (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Delle (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Delle
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Joncherey
Géolocalisation sur la carte : Territoire de Belfort
Joncherey
Géolocalisation sur la carte : France
Joncherey
Géolocalisation sur la carte : France
Joncherey
Liens
Site web joncherey.fr/

    Ses habitants sont appelés les Joncherois.

    Géographie

    Situation

    L'altitude moyenne de la commune est de 375 m. Le village est traversé par la rivière Covatte (formée de la confluence entre la Coeuvatte et la Vendline - orientée est-ouest) qui se jette dans l'Allaine (orientée sud-nord) sur le territoire de la commune. Ces rivières ont un régime hydraulique de maxima printaniers et automnaux. Le village est implanté sur les basses collines longeant l'est de la plaine alluviale de l'Allaine formée par un ancien bras du Rhin. Ces collines sont les premiers contreforts de la chaîne du Lomont et des Franches-Montagnes, bordure nord-est du massif jurassien avant la trouée de Belfort, plateau de basse altitude formant passage entre la plaine d'Alsace et la plaine d'effondrement bourguignonne.

    L'urbanisation du hameau initial s'est développée le long de l'axe principal formé par la ligne de chemin de fer Belfort - Delle (construite en 1866) et la route reliant Belfort à la Suisse selon un schéma global nord-sud.

    Communes limitrophes de Joncherey
    Grandvillars Boron
    Thiancourt Faverois
    Delle

    Voies de communication et transports

    Le village de Joncherey est traversé par la départementale 19 (D 19) du nord au sud, principal axe de communication de la commune. La D 19 relie Delle à Morvillars. Cette route faisait partie du réseau national jusqu'à la construction de la nouvelle route nationale 19 (RN 1019) à l'est du village. La départementale 463 (D 463) relie la D 19 de Joncherey à Bâle (Suisse) en traversant le département du Haut-Rhin. L'accès à la RN 1019 peut se faire par Delle ou par Grandvillars car il n'existe pas de bretelle de sortie directe vers Joncherey.

    La ligne de Belfort à Delle traverse le village. Cette ligne ferroviaire a été fermée au trafic voyageur (connexions Delle-Belfort / Bienne-Délemont-Porrentruy-Belfort) et marchandises en 1993. Un projet de réouverture prévoit la création d'une halte TER Franche-Comté au centre de la commune. Cette nouvelle desserte permettra de rejoindre la nouvelle gare de Belfort - Montbéliard TGV en 10 minutes et Belfort en 20 minutes avec un cadencement à la demi-heure en heures de pointe et à l'heure le reste de la journée. La réouverture de la ligne est prévue pour fin 2012 au plus tôt et nécessite d'importants travaux dans la commune en particulier la réalisation d'ouvrages de franchissement de la voie aux entrées nord et sud du village.

    Urbanisme

    Typologie

    Joncherey est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Delle (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 3 communes[4] et 10 017 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Delle (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (41 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (41 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), zones agricoles hétérogènes (27 %), zones urbanisées (18 %), prairies (6,2 %), eaux continentales[Note 3] (4,8 %), terres arables (3,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    • Alodium de Joncheres (962), Jungeris (1114), Juncherye (1290), Juncheri (1291), Gvntscherach/Gúntscherach (1303), Joncherey (1360), Schunschera (1394), Zimsere (1576), Joncheray Haut et Bas (1793), Jonchery (1801).

    Histoire

    Faits historiques

    L'histoire de Joncherey est un peu celle de Delle, toute proche. À l'époque romaine, le territoire du village était traversé par une voie secondaire qui reliait la voie militaire Mandeure-Augst à Vellescot. En 728 le comte Eberhard, fils du duc d'Alsace Adalbert, offrait à l'abbaye de Murbach, qu'il venait de fonder, les biens qu'il possédait à Delle et Joncherey. Un acte daté de 1290 mentionne Juncherye pour la première fois, en précisant qu'il s'agit de la partie inférieure du village, ce qui laisse supposer que ce dernier était constitué d'au moins deux hameaux. Cette distinction est confirmée par la suite lorsqu'il est fait mention de Grand-Joncherey et Petit-Joncherey. On rencontre aussi le nom de Guntscherac dans les actes rédigés en allemand.

    Sur le plan religieux, Grand-Joncherey dépend de la paroisse de Boncourt (Suisse), tandis que Petit-Joncherey est rattaché à Delle. Cette situation dura jusqu'à la Révolution. Après le Concordat, en 1802 les habitants de Joncherey étaient paroissiens de Delle et le sont restés jusqu'à la construction de l'église Saint-André de Joncherey (photos) et l'institution de la nouvelle paroisse, le .

    Les deux premiers morts de la Première Guerre mondiale furent tués à Joncherey le . Le soldat français était le caporal Jules-André Peugeot. Un monument lui est dédié près de l'endroit où il fut tué. Le soldat allemand était le sous-lieutenant Albert Mayer.

    Le , Joncherey, Delle et Lebetain unissent leurs destins au travers d'une fusion de communes. Cette association ne dure cependant que quelques années, Lebetain retrouvant ses prérogatives municipales dès 1980 et Joncherey en 1983.

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    Coupé, au premier de gueules à deux hachettes d'argent emmanchées d'or posées en sautoir et adossées, au second d'or à une touffe de joncs de sinople issant de la pointe.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie du village de Joncherey avant sa rénovation.
    Mairie de Joncherey rénovée.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1963 2001 Paul Michaillard RPR/UMP Conseiller général - chef d'entreprise
    mars 2001   Maurice Nicoud   Cadre en entreprise
      En cours Jacques Alexandre    

    La commune, qui ne dispose pas de ressources financières importantes, possède cependant une école maternelle et primaire bien équipée, diverses associations actives dans le sport, des activités sociales et d'aide aux personnes, une bibliothèque et un camping municipal. Une salle municipale polyvalente rénovée est à la disposition des administrés et des associations qui souhaitent organiser des réunions ou des réceptions.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[12].

    En 2018, la commune comptait 1 398 habitants[Note 4], en augmentation de 9,39 % par rapport à 2013 (Territoire de Belfort : −1,71 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    285330336355460461474508492
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    484496518468447473531489465
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507490446413465455525505570
    1962 1968 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018
    7839811 3001 3141 3591 3661 2791 3531 398
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École maternelle publique
    • École élémentaire publique

    Loisirs et associations

    • Association Hespal : destinée aux personnes âgées qui souhaitent participer à de multiples activités sociales et culturelles.
    • Club de Judo-Kwaï Joncherey
    • Bibliothèque municipale : 8 500 ouvrages à disposition du public
    • Section locale du Souvenir Français
    • Section locale des Anciens Combattants
    • Camping municipal : le camping du « Passeloup » est implanté dans un lieu ombragé, en lisière de la forêt, un endroit calme et paisible dominant la vallée de l'Allaine et de la Covatte, éloigné de tout bruit de circulation. Son environnement intègre plusieurs étangs qui permettent de s'adonner au plaisir de la pêche. De multiples activités peuvent être pratiquées dans les environs : randonnées pédestres et équestres, promenades en forêt, pêche. Visite des curiosités géographiques et historique des villes et villages environnants.
    • Salle polyvalente rénovée pouvant accueillir une centaine de personnes.
    • Centre équestre : sous son air de club familial, le centre équestre Froehly de Joncherey cache une structure très organisée. Ici plus de 40 chevaux se côtoient, mais tous ne sont pas là pour les mêmes raisons. Un manège, une grande carrière, des paddocks et plusieurs activités dédiées au cheval y sont réunies : un club classique avec 15 montures (chevaux et double poneys), rassemblant quelque 150 licenciés, du cavalier débutant au compétiteur de classe C, D ou E et un élevage important.

    Personnalités liées à la commune

    Lieux et monuments

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    Église Saint-André

    Nef rénovée de l'église Saint-André.

    L'histoire de Joncherey en tant que commune indépendante se confond avec la fondation de sa première paroisse en 1865. Auparavant, la commune dépendait en partie de deux entités voisines Boncourt et Delle (voir chapitre historique). L'église actuelle date des années 1860, elle fut donc construite sous le règne de S.M. l'empereur Napoléon III, en grande partie grâce à l'importante subvention allouée par son ministre des cultes, Jean-Baptiste Duvergier.

    Il s'agit d'un édifice en forme de basilique romaine possédant une nef simple sans bas-côté se prolongeant en une abside en demi-cercle formant chœur. La nef est précédée d'un vestibule tambour formé par le premier niveau du clocher-porche. le plafond de la nef et du chœur est formé de caissons simplifiés dont les corniches sont sculptées de motifs géométriques le long d'une frise. Le toit de l'édifice est en bâtière et recouvert de tuiles. Le clocher-porche carré, agrémenté d'une horloge surmontant des abat-son en plein-cintre, est couvert d'une flèche en charpente comportant deux angles d'inclinaisons de quatre pans puis huit pans recouverts d'ardoises. La façade du clocher-porche est en pierre calcaire grise Elle comporte une double porte formant entrée, trois oculus de vitraux et une ouverture en plein-cintre géminée pour les abat-son. Le reste du bâtiment mélange une ossature de pierre et de moellons. Les ouvertures de la nef sont constituées de fenêtres en plein-cintre comportant des vitraux. Le chœur en abside est agrémenté de quatre oculus en vitraux. Cette église-hall de dimension modeste offre cependant une impression d'espace considérable de par le bon rapport mathématique de ses volumes intérieurs. La première travée de la nef est recouvert d'une tribune faisant mezzanine. La décoration intérieur est extrêmement sobre. Une chaire de vérité et deux autels latéraux décorent la nef. Le chœur est agrémenté d'un autel et d'un tabernacle de facture moderne en cuivre repoussé et de simples boiseries.

    Le presbytère voisin et le bâtiment occupé par la mairie actuelle lui faisant face, datent approximativement de la même période.

    L'intérieur de l'église Saint-André a été entièrement rénové entre 2006 et 2008 après de lourds travaux : rénovation du système de chauffage, mise aux normes de l'électricité, réfection des enduits intérieurs, peinture, rénovation du tambour, décapage et modifications des bancs, éclairage, restauration des sculptures. Ces travaux ont été en partie réalisés par la Paroisse locale et en partie subventionnés au titre de la conservation du patrimoine.

    L'église a été équipée en 1884 d'une horloge Gugumus, construite de manière analogue aux horloges de l'entreprise d'horlogerie Ungerer. Ce mécanisme a été vendu 600 euros par la municipalité vers 2001-2008. Le rouage de mouvement se trouve actuellement aux États-Unis chez Mark Frank.

    Monument au caporal Jules-André Peugeot

    Monument au caporal Jules-André Peugeot, 1er tué français de la Grande Guerre.

    C'est le , 30 heures avant la déclaration de guerre, que périt à Joncherey le caporal Jules André Peugeot. Première de millions de victimes de la Première Guerre mondiale. Le 44e Régiment d'Infanterie de Montbéliard et le 11e Dragons de Belfort chargés de la surveillance du secteur avaient reculé, sur ordre, jusqu'au village. C'est là, devant la maison Daucourt sur la route menant à Bâle, que le caporal Peugeot, instituteur à Étupes dans le département du Doubs dans le civil, fut abattu par un cavalier allemand du 5e Régiment de Chasseurs de Mulhouse (ville allemande, à cette époque), le sous-lieutenant Camille Mayer qui fut abattu à son tour par les troupes françaises. Après la Première Guerre mondiale, un monument, érigé à la mémoire du caporal Peugeot fut inauguré en 1922 par le Président de la République, M. Raymond Poincaré. Œuvre du sculpteur A. Block il fut détruit, à la dynamite, par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale.

    Dès la Libération, l'édification d'un nouveau monument, très différent de l'original, fut confiée au sculpteur belfortain Traut. C'est le monument que l'on peut voir aujourd'hui au carrefour des rues du Caporal-Peugeot et du 44e-Régiment-d'Infanterie.

    Chapelle Sainte-Véronique

    Datant du XIXe siècle, elle fut construite à l'emplacement d'une source miraculeuse dont les vertus s'attachaient plus spécialement aux problèmes oculaires.

    Étang Verchat

    Pour les amoureux de la nature et de la pêche, l'étang est un rendez-vous réputé des pêcheurs locaux et un lieu de promenade agréable.

    Photographies

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Delle (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Delle (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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