Issad Rebrab

Issad Rebrab (en berbère: Yesɛed Ṛebṛab), né le à Aït Mahmoud (wilaya de Tizi Ouzou) en Algérie, est un homme d'affaires algérien, propriétaire du groupe familial Cevital, dont il est le fondateur et président-directeur général de 1998 à 2019. À la tête du premier groupe privé algérien, présent également à l'international[1], il emploie 18 000 salariés à travers le monde[2]. Il est l'homme le plus riche d'Algérie[3],[4] et la 7e fortune africaine[5].

Arrêté et placé en détention provisoire le , il est condamné à 18 mois de prison dont 6 mois fermes pour infractions bancaires, douanières et fiscales[6]. Après 8 mois de détention, il est libéré le [7].

Biographie

Issad Rebrab naît le au village de Taguemount-Azouz, commune d'Aït Mahmoud dans l'actuelle wilaya de Tizi Ouzou, en Algérie, alors départements français, issue d'une famille modeste. Ayant suivi des études à l'École normale d'enseignement professionnel, il a enseigné la comptabilité et le droit commercial, mais a rapidement abandonné ce créneau[8].

En 1968, il crée son cabinet de comptable agréé , « Un client m'a alors proposé de prendre des parts dans sa société de construction métallurgique », se rappelle-t-il. L'aventure ne fait que commencer. « J'ai pris des risques calculés. Au pire, je savais que je pourrais toujours retourner dans l'enseignement », avoue Issad Rebrab.

En 1971, il prend des parts dans une société de construction métallique, Sotecom.

En 1988, il crée Metal Sider spécialisée dans la sidérurgie. C'est avec cette société qu'il monte sa fortune dans la décennie 1990.

En 1995, Issad Rebrab était devenu un industriel important dans le monde de la métallurgie. Survient alors « un sabotage terroriste sur trois de nos plus grandes entités. Cela nous a coûté environ 1,1 milliard de dinars », raconte-t-il[9]. Se sentant menacé, il quitte l'Algérie pour la France[10] pour quelques mois. En 1985, il crée Isla mondial spécialisée dans la charcuterie Halal.

Ce n'est qu'après son retour au pays natal qu'il crée Cevital, en 1998 à Béjaïa en Kabylie.

Création de Cevital

Cevital regroupe 26 filiales[11] avec des activités diversifiées : la vente de véhicules, la grande distribution, l'industrie du verre, l'agriculture, l'agroalimentaire, la logistique et les matériaux de construction, etc[8]. Le groupe connait une croissance annuelle de 30 % depuis et a enregistré un chiffre d’affaires de 3,3 milliards d'euros en 2014[12].

Le complexe agro-industriel basé à Béjaïa constitue la branche la plus rentable du groupe (65 % du CA). Cevital avait fait passer l'Algérie de l'état d'importateur à celui d'exportateur d'huile végétale et de margarine[13]. L'agroalimentaire représente le principal pôle de croissance du groupe avec la fabrication de sucre, conserves, jus de fruits ou encore d’huile végétale[14]. Premier exportateur de l'Algérie hors hydrocarbures, le groupe veut produire 2 millions de tonnes de sucre en 2014, soit un gain de productivité de 400 000 t. En 2012, 450 000 t d'huile, essentiellement destinées au marché algérien, sont sorties de Cevital Agro. Mais c'est dans le sucre avec la plus grande raffinerie d'Afrique que Cevital excelle[15]. En 2013, 1,6 million de tonnes sont attendues, dont 1 million pour le marché national, estimé à 1,1 million de tonnes. Cette année, 600 000 t seront exportées vers une vingtaine de pays, en Afrique de l'Ouest, pour des clients tels que Coca-Cola, mais aussi vers l'Europe (le chocolatier Ferrero Rocher) et le Moyen-Orient. En 2010, première année de vente hors d'Algérie, 150 000 t seulement avaient quitté le territoire national[16].

En 2012, Cevital se fait connaître à l'international en proposant de racheter Doux, le géant français du poulet. L'opération échoue, mais Issad Rebrab et son groupe mettront la main l' année suivante sur l'espagnol Aluminium Alas et les français Oxxo et Brandt. En 2014, il rachète également Brandt (marques Brandt, Sauter, Vedette et De Dietrich)[17] et les aciéries Lucchini de Piombino en Italie[10].

Le groupe se développe aujourd’hui aussi en Amérique du Sud et en particulier au Brésil à travers différents projets d’investissement. Cevital a signé en 2016 un accord avec l'État de Pará au Brésil et l’entreprise Vale pour la réalisation d’un complexe sidérurgique sur place[18].

Le modèle de colocalisation

Issad Rebrab promeut la colocalisation, par opposition à la délocalisation, comme le modèle de développement économique gagnant-gagnant à la fois pour l'Algérie et ses partenaires : « un modèle qui permet aux dirigeants d'entreprise de valoriser au mieux les avantages comparatifs des deux rives » indique-t-il[19].

Il affirme que grâce aux avantages compétitifs combinés de la France et de l'Algérie il a pu recréer des groupes compétitifs au niveau mondial en parlant de la société de fabrication de portes et fenêtres Oxxo (reprise en 2013) et du fabricant d’électroménager Brandt. Aussi, une fois l'entreprise Oxxo rachetée, Cevital lance la construction d'une deuxième usine en Algérie, près de Sétif. De la même façon pour Brandt, en plus des sites d'Orléans et Vendôme, Cevital construit une grande ligne de production en Algérie[12].

Preuve de cette réussite, le Groupe Brandt prévoit en 2016 un chiffre d’affaires de plus de 500 millions d’euros contre 370 millions en 2015 et 170 millions en 2014. Le groupement Brandt de Sétif devrait quant à lui ouvrir plus de 7 500 postes à partir du 1er trimestre 2017[20]

Manager charismatique

Fasciné par le modèle coréen des chaebols, Issad Rebrab a enregistré au cours de cette décennie d'indéniables succès. Il a notamment fait passer l'Algérie du stade d'importateur d'huile et de sucre à celui d'exportateur[21]. Il serait parmi les rares hommes d'affaires algériens à œuvrer pour l'élargissement de ses activités au-delà de l'Algérie et a compris que le transfert de technologies et de savoir-faire peut aussi se faire via des acquisitions d'entreprises. Pour preuve de ces activités trans-méditerranéennes[22]. Jamais depuis l'indépendance, en 1962, un homme d'affaires algérien n'aura connu une telle réussite. Reçu par François Hollande[23] ou par l'Italien Matteo Renzi[24], ce père de cinq enfants suscite admiration et respect chez ses compatriotes comme auprès de ses partenaires étrangers. Bourreau de travail, à cheval sur la discipline, chaleureux, Issad Rebrab est régulièrement cité parmi les hommes les plus influents d'Afrique [25]. En , il a été invité à intervenir aux Rencontres économiques d'Aix-en-Provence, réunissant universitaires, chefs d'entreprise, étudiants, représentants politiques et d'institutions venant de nombreux pays[26]. Il s'y est entretenu avec différents intervenants et notamment Christine Lagarde, la présidente du FMI[27]. Le , il a été invité par Emmanuel Macron à l'événement « Choose France » qui s'est tenu à Versailles, rassemblant 150 chefs d'entreprise des quatre coins du monde[28].

Polémiques

Panama Papers

Issad Rebrab est cité dans le cadre de l'affaire des Panama Papers parmi les personnalités ayant des comptes bancaires dans les paradis fiscaux.

En , alors que débute la guerre civile algérienne, Issad Rebrab à l'époque importateur de rond à béton crée via le cabinet Mossack Fonseca une société offshore domiciliée aux Îles Vierges britanniques dénommée Dicoma Entreprises Ltd destinée à gérer un portefeuille placé chez UBS à Genève, Issad Rebrab est le seul actionnaire de cette société au capital de 50 000 dollars jusqu'à , où elle sera dissoute à sa demande. Ensuite, le cabinet panaméen a transféré les activités de la gestion du compte de la société dissoute à une autre, Anilson Management Ltd, domiciliée dans un autre paradis fiscal, l'île de Niue, dans le Pacifique sud[29]. Issad Rebrab a toujours démenti l'existence de ce compte[30].

Blocage des investissements de Cevital en Algérie

Une certaine agitation s'est emparée de la scène politique depuis l'interview d'Issad Rebrab accordé au site d'information, TSA, le [31],[32], cette agitation devient par ses rebondissements une affaire politique - « affaire Rebrab », le patron de Cevital avait accusé les autorités, dont le ministre de l’Industrie, Abdeslam Bouchouareb, « d'employer le double langage », «....de bloquer ses investissements et de favoritisme envers les investisseurs étrangers au détriment des investisseurs nationaux ».

Lors d'une conférence de presse animée le [33], le ministre Abdeslam Bouchouareb, a répondu violemment aux accusations d’Issad Rebrab, il reproche au patron de Cevital de vouloir « importer des pièces usagées » pour son usine d’électroménager de Sétif, « il veut duper l’État algérien en surfacturant les équipements ».

Le patron de Cevital a réagi aux propos du ministre lors d'une interview qu'il a accordée à TSA, le [34], « Bouchouareb est un menteur », réplique Issad Rebrab[35], «...c'est une accusation très grave. Je suis en train de réfléchir si je dois attaquer en justice M. Bouchouareb pour diffamation ou si je vais me contenter de lui démontrer le contraire de ses allégations », a-t-il déclaré, en ajoutant, « qu'il n'y a jamais eu de surfacturation et j'invite le ministre avec les journalistes à visiter l'usine de Sétif, pour constater qu'il y avait uniquement la ligne des tambours qui était concernée.

L'affaire prend des proportions inattendues, quand le patron de Cevital en voyage d'affaire au Brésil, interviewé par TSA, le [36], accuse publiquement les autorités « de vouloir l'arrêter pour le faire taire » et réaffirme : « On cherche à me faire taire. Mais je ne vais pas me taire. Ces déclarations ont créé en Algérie une onde de choc. »

Lors d'une déclaration du ministre de la Communication Hamid Grine au Forum du quotidien El Moudjahid[37], il affirme « Il n'y a aucun mandat d’arrêt contre M. Rebrab ». Le patron de Cevital indique : « Ces gens-là n’ont pas besoin d'un mandat pour m'arrêter. J’ai eu des informations de source sûre qui ils vont m'arrêter dès que je rentre en Algérie. », dans une déclaration à El Watan[38].

Les travailleurs de Cevital ont commencé à s'organiser pour apporter leur soutien à leur patron, une marche de 3 600 travailleurs est organisée à Béjaïa afin « de dénoncer tout ce qui se passe contre Cevital et son PDG et pour dénoncer cet acharnement que les autorités exercent contre lui », précise Kaci Sayad, président du Comité de participation du groupe[39]. Les organisateurs comptent mobiliser quelque 30 000 personnes dans cette marche qui verra la participation des étudiants et de la société civile[38].

Affaire Numilog

Plusieurs syndicalistes ont accusé le PDG de Cevital de ne pas accepter les syndicats au seins de ses entreprises. Ils donnent comme exemple ce qui s'est passé dans l'entreprise Numilog, une filiale de Cevital, qui a licencié 196 travailleurs de son site à Béjaïa, en Kabylie. Les décisions de licenciement ont été envoyées à la suite d'une série de grèves hebdomadaire de 3 jours. Selon le spécialiste du monde du travail algérien Nouredine Bouderba : « cette grève, soutenue par l'UGTA de Béjaïa, avait pour seules revendications des points de droit qui auraient dû être réglés par l'inspection du travail et la justice si l'administration du travail avait fait correctement son travail »[40].

Les licenciements sont considérés comme une atteinte grave au droit des travailleurs à s'organiser en syndicat, pourtant garanti par la loi n°90-11 du 21 avril 1990 modifiée. Une loi qui dispose que les travailleurs jouissent des droits fondamentaux, notamment l'exercice du droit syndical, la négociation collective et la participation dans l'organisme employeur.[41].

Emprisonnement

Le , Issad Rebrab est arrêté pour suspicion de fausses déclarations liées à des transferts de capitaux vers l'étranger, surfacturation d'équipements importés et importation de matériel d'occasion par la gendarmerie nationale[42], déféré devant le procureur de la République du tribunal de Sidi M'Hamed à Alger, auditionné du début d'après-midi jusqu'à minuit par un juge d'instruction, il est placé sous mandat de dépôt et transféré à la prison d'El-Harrach dans l'attente de son procès[43]. Le journal Marianne présente les raisons de l'arrestation d'Issad Rebrab comme un « prétexte » pour le nouveau pouvoir d'Ahmed Gaïd Salah[44]. Le , son procès s'ouvre au tribunal de Sidi M'Hamed mais reporté à la demande du collectif d'avocats chargé de le défendre. Le , il est de nouveau devant le tribunal, Issad Rebrab est condamné à 18 mois de prison, dont 6 mois fermes, assortis d'une amende de 1,383 milliards de dinars soit un peu plus de 10 millions d'euros. Il est libéré le [45]. Dans la même affaire, l'entreprise Evcon est condamné à une amende de 2,766 milliards de dinars et l'établissement bancaire The Houssing Bank for trade and finance à une amende de 3,168 milliards de dinars[46].

Œuvres caritatives

Le Groupe Cevital est parmi ceux qui ont répondu aux appels à l’aide lancés au début de la pandémie du coronavirus en Algérie. Le , Cevital a envoyé 9 camions chargés d'aides alimentaires à la wilaya de Blida, région la plus touchée à l'époque par l'épidémie du coronavirus en Algérie. Durant les mois qui ont suivi, Cevital, qui se présente comme entreprise citoyenne, poursuit son programme d'aide au profit des citoyens de nombreuses régions du pays[réf. souhaitée]. Le groupe a promis de financer l'achat de matériel médical au profit de plusieurs hôpitaux et structures sanitaires du pays[47], mais aucune déclaration officielle n'a confirmé l'arrivé de ces dons[48].

Durant la « troisième vague » de Covid-19 qui a touché l'Algérie en , le groupe appartenant à Issad Rebrab se joint aux initiatives de solidarité lancées sur les réseaux sociaux pour l'acquisition de concentrateurs d’oxygène au profit des malades. À cet effet Cevital annonce l’acquisition de 4 000 appareils pour les offrir aux hôpitaux du pays[49].

Vie privée

Issad Rebrab a quatre garçons et une fille[50].

Distinctions

Notes et références

  1. « Issad Rebrab, le milliardaire qui dérange », Le Monde, (lire en ligne)
  2. « Chiffres clés », sur Cevital.com
  3. « Algérie-Cinq milliardaires dont des proches de Bouteflika arrêtés », sur Boursorama,
  4. « Plus riche que Donald Trump, Issad Rebrab première fortune d'Algérie », sur observalgerie.com (consulté le )
  5. (en) « Issad Rebrab & family », sur Forbes (consulté le )
  6. Dib Nassima, « Issad Rebrab condamné à 6 mois de prison ferme et une année de prison avec sursis », sur www.aps.dz
  7. « En Algérie, le PDG de Cevital condamné mais libéré après huit mois passés en prison », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  8. « Biographie de décideur : Issad Rebrab | Info & Actualités depuis 2007 », sur www.tsa-algerie.com (consulté le )
  9. « Issad Rebrab : Premier Algérien dans le club des milliardaires de Forbes | Africa Top Success » (consulté le )
  10. « Biographie de décideur : Issad Rebrab », (consulté le )
  11. « Le Groupe Cevital », sur Cevital Agro-indusrtie (consulté le )
  12. « Le puzzle mondial d'Issad Rebrab - JeuneAfrique.com », (consulté le )
  13. « Les ambitions d’Issad Rebrab – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
  14. « Cevital, un géant algérien aux activités multiples », sur lesechos.fr
  15. « Algérie : reportage dans l’antre de Cevital », sur jeuneafrique.com,
  16. Algérie : reportage dans l’antre de Cevital, Jeune Afrique, du 27 novembre 2013.
  17. « Issad Rebrab, l'industriel algérien qui a "sauvé" FagorBrandt », sur latribune.fr,
  18. « Cevital réalisera un complexe de production d’acier au Brésil | Info & Actualités depuis 2007 », sur www.tsa-algerie.com (consulté le )
  19. « Issad Rebrab, P-DG du groupe Cevital : “L’Algérie peut devenir l’atelier de l’Europe” », Liberté Algérie, (lire en ligne)
  20. « Le groupement Brandt (Sétif) recrutera plus de 7 500 employés à partir du 1er trimestre 2017 », sur Algérie Presse Service,
  21. « Issad Rebrab – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
  22. « Issad Rebrab, l'industriel algérien qui a "sauvé" FagorBrandt », sur La Tribune (consulté le )
  23. « Issad Rebrab, l'industriel algérien qui a "sauvé" FagorBrandt » (consulté le )
  24. « Matteo Renzi officialise le rachat par Rebrab des aciéries Lucchini », Algérie Patriotique,
  25. « Algérie : le grand patron Issad Rebrab se dit traqué et contre-attaque - JeuneAfrique.com », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
  26. (en-US) « Issad REBRAB - Rencontres Économiques d'Aix-en-Provence 2016 » (consulté le )
  27. « Tête-à-tête Issad Rebrab-Christine Lagarde », Liberté Algérie, (lire en ligne)
  28. « Algérie : qui est Issad Rebrab, le tycoon devenu opposant ? », sur Le Point,
  29. « Algérie: les dessous de l’ascension fulgurante de l’industriel Issad Rebrab », sur Le Monde,
  30. « Issad Rebrab, le milliardaire qui soutient les révolutionnaires algériens », sur Les Échos,
  31. Issad Rebrab dénonce et accuse, TSA, du 23 septembre 2015.
  32. « AIgérie : Issad Rebrab ne veut pas finir comme Khalifa et s'en prend au pouvoir », sur Franceinfo, (consulté le )
  33. Bouchouareb répond à Rebrab, l’accuse de surfacturation, TSA, du 28 septembre 2015.
  34. Issad Rebrab répond à Abdes lam Bouchouareb, TSA, du 29 septembre 2015.
  35. Rebrab exige des excuses publiques de Bouchouareb., El Watan, du 3 octobre 2015.
  36. Issad Rebrab : « Ils veulent m’arrêter pour me faire taire », TSA, du 6 octobre 2015.
  37. Hamid Grine : « Il n’y a aucun mandat d’arrêt contre M. Rebrab »,TSA, du 7 octobre 2015.
  38. Rebrab : « ces gens-là n’ont pas besoin d’un mandat pour m’arrêter », El Watan, du 7 octobre 2015.
  39. Les travailleurs de Cevital s’organisent pour dénoncer « l’acharnement » contre Rebrab., TSA, du 7 octobre 2015.
  40. « Kabylie : Licenciement de 196 travailleurs de "Numilog Cevital" suite à une grève », sur observalgerie.com (consulté le )
  41. « Kabylie : Levée de boucliers contre Rebrab après avoir licencié 196 travailleurs », sur observalgerie.com (consulté le )
  42. « Issad Rebrab et les frères Kouninef arrêtés par la Gendarmerie nationale », sur www.aps.dz (consulté le )
  43. « Le PDG de Cevital Issad Rebrab placé sous mandat de dépôt », sur Algérie patriotique,
  44. Atmane Tazaghart, « Algérie : l'étrange purge du général Salah », sur marianne.net, (consulté le )
  45. « Algérie : Issad Rebrab est libre, le milliardaire sort de prison »,
  46. « Issad Rebrab condamné à 6 mois de prison ferme et une année de prison avec sursis »
  47. « Coronavirus : Issad Rebrab va acquérir des appareils de réanimation pour l'Algérie », sur observalgerie.com (consulté le )
  48. « Respirateurs Covid19 – Les Fausses Promesses d’Issad Rebrab ! », sur tvmaghreb.com, (consulté le )
  49. « Issad Rebrab va importer et offrir 4000 concentrateurs d'oxygène », sur observalgerie.com (consulté le )
  50. « Issad Rebrab, le milliardaire algérien qui rêve de racheter FagorBrandt », sur Challenges (consulté le )
  51. « L’Algérien Issad Rebrab nommé CEO africain de l’année – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
  52. « Distingué en Italie, Issad Rebrab : « Nous n’avons aucun problème avec le gouvernement algérien » | Info & Actualités depuis 2007 », sur www.tsa-algerie.com (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

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