Ingrandes (Vienne)

Ingrandes, ou Ingrandes-sur-Vienne, est une commune du Centre-Ouest de la France, située près de Châtellerault, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Ingrandes.

Ingrandes

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Bénédicte de Courreges
2020-2026
Code postal 86220
Code commune 86111
Démographie
Gentilé Ingrandais
Population
municipale
1 744 hab. (2018 )
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 36″ nord, 0° 34′ 04″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 135 m
Superficie 35,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Châtellerault-2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Ingrandes
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Ingrandes
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Ingrandes
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Ingrandes
Liens
Site web http://www.ingrandes-sur-vienne.fr/

    Géographie

    Localisation

    Le bourg est situé au nord de Châtellerault, dans le département de la Vienne.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Ingrandes
    Vaux-sur-Vienne Dangé-Saint-Romain
    Antran Oyré
    Châtellerault

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 662 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dange-Fleau », sur la commune de Dangé-Saint-Romain, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 659 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Ingrandes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,9 %), forêts (22,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), prairies (2,9 %), zones urbanisées (2,1 %), eaux continentales[Note 7] (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Fines en 170, vicus Ingrandisse en 637 puis viculo Igorande à l'époque mérovingienne.

    Ingrandes est un nom dérivé du toponyme gaulois equoranda[20] qui signifie juste aux limites ou limite équitable[21]. Il indique une limite territoriale ou une frontière. À l'époque gauloise, Ingrandes était située à la limite entre les peuples des Turons et des Pictons, qui devint ensuite limite entre l'évêché de Tours et celui de Poitiers, puis entre la Touraine et le Poitou, enfin, entre l'Indre-et-Loire et la Vienne.

    Le nom d'Ingrandes apparaît pour la première fois en 637 (vicus Ingrandisse) ; mais auparavant, en 140, on trouve le nom latin Fines, qui a le même sens.

    Equoranda a donné les noms d'Augurandes, Guirande… avant que le nom du village, après environ seize dénominations différentes, se stabilise à la fin du XVIIIe siècle pour devenir Ingrandes.

    La commune est parfois désignée sous le nom d'Ingrandes-sur-Vienne, mais celui-ci n'a pas d'existence officielle.

    Histoire

    Les plus anciens vestiges découverts sur le territoire datent du paléolithique inférieur : bifaces et éclats retouchés qui servaient d'armes et/ou d'outils, ainsi que de nombreuses autres pièces datant du paléolithique moyen (-150 000 ans à - 40 000 ans).

    Du néolithique, le sol a gardé des traces d'une activité de défrichage par la présence de haches polies.

    Les Gaulois, puis les Romains ont laissé des témoignages de leur occupation : tuiles, fibules, céramiques… Deux voies romaines existaient à Ingrandes dont l'une traversait la Vienne : la « Vigenna » des Gaulois.

    En 681, le cortège accompagnant le corps de saint Léger se dirigeant à Saint-Maixent traversa la rivière en empruntant l'un des gués - probablement celui du Gers - mais avant, le cortège s'arrêta à Ingrandes. Le cortège comportait de nombreux mendiants et infirmes. L'évêque de Poitiers leur fait porter des vivres mais en quantité insuffisante. Une multiplication des pains vint à bout de la disette. Des guérisons miraculeuses furent rapportées : celles de boiteux, d'un paralytique, d'un jeune aveugle, d'une femme aux mains tordues…

    Au IXe siècle, Ingrandes est le siège d'une viguerie, c'est-à-dire d'une circonscription administrative carolingienne qui s'étendait depuis Bellefonds et Bonneuil-Matours jusqu'à Noyers en Touraine.

    La gare d'Ingrandes.

    Au Moyen Âge, les pèlerins en partance pour Saint-Jacques-de-Compostelle faisaient halte à Ingrandes. Après la guerre de Cent Ans, les d'Allogny de la Groie contribuèrent à asseoir le pouvoir royal.

    Sur l'axe Paris-Hendaye, Ingrandes voyait passer au XVIIIe siècle, des services de voitures régulières.

    En 1844, un relais de poste, détruit en 1971, « la Poste aux chevaux » fut construit. Le transport par diligence prit fin vers 1853 avec l'arrivée du chemin de fer.

    Le camp de Saint-Ustre (actuelle Zone Industrielle) a été créé en 1914-1918 ; utilisé par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, il est bombardé le par les aviations alliées. Les destructions dues au bombardement provoquent son abandon[22]. Il sert de dépôt à un régiment d'artillerie de Poitiers après la guerre. Il est occupé de 1952 à 1967 par les militaires américains qui en font un dépôt et centre de réparations de la COMZ (plus d'un millier de militaires US et d'un millier de salariés français). Au deuxième semestre 1967, le groupe Hutchinson s'installe sur une partie du camp (unité de fabrication de bottes - marque Aigle aujourd'hui - centre administratif et magasin d'usine), et une centrale d'achat de la Coop Atlantique s'y installa aussi pendant de longues quelques années jusqu'en 2018. Dans cette même zone industrielle, l'usine des Fonderies du Poitou (appartenant actuellement aux groupes Teksid et Saint-Jean Industries) s'implanta à la fin des années 1970 par l'intermédiaire du groupe Renault, son propriétaire originel.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au lion d'or accompagné de deux fleurs de lis en chef et d'une étoile en pointe, le tout du même; à la filière d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Le village de Saint-Ustre fut rattaché à Ingrandes en 1818.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1992 Michel Montenay (démission [24]) RPR Dirigeant de société
    1992 1995 Gérard Savourin    
    mars 1995 mars 2014 Yves Régnier SE  
    mars 2014 en cours Bénédicte de Courrèges    

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Traitement des déchets et économie circulaire

    La commune accueille l'un des 11 centres de compostage des déchets organiques du département. Le tonnage annuel est de 110 000 tonnes alors que pour l'ensemble des équipements du département, il est de 175 050 tonnes[25].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2018, la commune comptait 1 744 habitants[Note 8], en diminution de 1,02 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8327926208658898968781 0541 123
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1301 1301 0759561 0061 0501 1311 0631 038
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0431 0281 0341 0621 1601 0201 0211 0081 091
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0499501 4611 7001 7651 7231 7951 7641 756
    2018 - - - - - - - -
    1 744--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 52 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[30], il n'y a plus que 32 exploitations agricoles en 2010 contre 41 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 947 hectares en 2000 à 1 450 hectares en 2010. 57 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 27 % pour les oléagineux (1/4 en colza et 3/4 en tournesol),moins de 1 % pour le fourrage et 3 % reste en herbes. En 2010, 4 hectares (7 hectares en 2000) sont consacrés à la vigne. En 2000, 18 exploitations se répartissaient le vignoble contre 12 en 2010[30].

    Des élevages de bovins et de volailles ont disparu en 2010 (respectivement; 241 têtes sur 6 fermes et 384 têtes sur 17 en 2000). En revanche, un petit élevage de caprins est apparu au cours de cette décennie : 24 têtes pour 3 fermes en 2010 (0 en 2000)[30].

    Industrie

    La commune est fortement concernée par l'activité industrielle depuis l'arrivée d'Hutchinson en 1967 et aujourd'hui, filiale du groupe Total. En 2008, trois autres sociétés employaient plus de 200 salariés : La Fonderie du Poitou Aluminium (Saint-Jean Industries) (505), la Fonderie de Poitou Fonte (460) du groupe Teksid et Aigle (450 salariés)[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Maxent de Saint-Ustre date de la fin du XIe siècle pour son clocher. La chapelle date de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle.
    • Les trois tours du château de Saint-Ustre.
    Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul d'Ingrandes-sur-Vienne.
    • Château de la Groie dont l'enceinte, la porte et la tour son inscrites comme Monument Historique depuis 1935. Du château féodal construit par l'une des familles les plus anciennes du Poitou, les Allogny, qui occupaient des fonctions à la cour des rois français Louis XI et Charles VIII, il ne reste que les immenses communs. deux tours d'enceinte du XVe siècle, à mâchicoulis et le chemin de ronde flanquent deux ailes basses encadrant le porche d'entrée. la porte principale du porche comporte des armoiries du XVIIe siècle sculptées, surmontées d'une couronne marquisale. En effet, le domaine fut érigé en marquisat en .
    • Le logis Le Chêne, place forte des XIe et XIIe siècle.
    • Le Grand Marigny, importante forteresse connue dès le Xe siècle dont il ne reste que l'entrée du château, une tour d'angle et deux magnifiques fours à pain.
    • Le Petit Marigny daterait de la fin du XIVe siècle ou du début du XVe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • René Descartes, qui selon une tradition locale y serait né, le au bord de la route avant d'être transporté avec sa mère au manoir de la Sybillière, chez des amis de la famille (non sourcé). Descartes possédait des terres et un domaine sur le territoire actuel d'Ingrandes. Il y écrivit en 1628, ses Regulae.
    • Charles d'Aloigny de la Grois Lieutenant des Troupes de la Marine au Québec , est né et a été baptisé le dans la Chapelle familiale de la Grois d'Ingrandes il se marie au Québec à Geneviève Macard et meurt en mer en 1714.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dange-Fleau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ingrandes et Dangé-Saint-Romain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dange-Fleau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Ingrandes et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Cf. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, PUF, 1969, coll. Que sais-je ?, p. 40. Il s'agit d'un terme reconstitué, d'où la marque *
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne). § 3076, p 196
    22. Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 227
    23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    24. Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    30. Rapport de KPMG sur le FuturS en Vienne pour le Conseil Général de la Vienne - novembre 2009
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