Incheville

Incheville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Ne doit pas être confondu avec Eincheville.

Incheville

Mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des Villes Sœurs
Maire
Mandat
José Marchetti
2020-2026
Code postal 76117
Code commune 76374
Démographie
Gentilé Inchevillois, Inchevilloises
Population
municipale
1 238 hab. (2018 )
Densité 157 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 00′ 42″ nord, 1° 29′ 40″ est
Altitude Min. 10 m
Max. 142 m
Superficie 7,89 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Incheville
(ville-centre)
Aire d'attraction Eu
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Incheville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Incheville
Géolocalisation sur la carte : France
Incheville
Géolocalisation sur la carte : France
Incheville

    Géographie

    La commune est située dans le département de la Seine-Maritime, dans la région Haute-Normandie. Le village est sur les bords de la Bresle, fleuve servant de limite entre les départements de la Somme et de la Seine-Maritime, et entre la Normandie et la Picardie. Le village de Beauchamps, voisin d'Incheville, est, lui, situé dans le département de la Somme, les deux agglomérations n'étant séparées que par la Bresle.

    La commune est à km de la ville d'Eu, 11 km du Tréport, 37 km de Dieppe, 47 km d'Abbeville, 94 km de Rouen, 63 km d'Amiens et 158 km de Paris.

    Incheville compte deux hameaux Gousseauville et Breuilly.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 865 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 786,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Incheville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Incheville, une agglomération inter-régionale regroupant 3 communes[17] et 3 111 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,6 %), prairies (20,9 %), terres arables (11,5 %), zones urbanisées (8,9 %), eaux continentales[Note 7] (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Ansevilla vers 1063[24],[25].

    Histoire

    Antiquité

    Ainsi qu'en témoigne le livret « Incheville, la mémoire de nos jours » de Pierre Molkhou, Incheville a une histoire riche de plusieurs siècles et des traces d'habitat gallo-romain ont été découvertes. Incheville était sans doute traversée par un embranchement de la voie romaine reliant Beauvais à Eu.

    Époque moderne

    En 1823, un industriel, Louis Delieuwin, obtient l'autorisation de créer un canal de déviation sur la Bresle pour y faire construire une filature de coton utilisant l'énergie hydraulique.

    Du début du XXe siècle aux années 1980, la vie économique de la commune fut marquée par la présence des usines Maillard créées en 1909 par Maurice Maillard, qui étaient situées au Lieu-Dieu, puis à partir de 1918 sur la place du village, les bâtiments étant aujourd'hui pour la plupart toujours présents. C'était une usine de fabrication de roues libres et diverses pièces de cycle.

    Plus de 2 000 ouvriers y travaillaient dans les années 1960, plus que le nombre d'habitants que la commune comptait à l'époque. L'entreprise possédait des usines annexes à Neufchâtel-en-Bray et Abbeville. La famille Maillard a vendu l'entreprise dans les années 1970 au groupe Peugeot. À sa fermeture, elle appartenait au groupe allemand Sachs.

    Il existait également, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle une verrerie, dans le village, dans l'actuelle rue Pierre-et-Marie-Curie, ancienne route de Monchy. Elle a fermé ses portes en 1956. C'est dans celle-ci qu'en 1904 le premier syndicat des verriers vit le jour[26].

    Deuxième Guerre mondiale

    Le , une escadrille allemande lâche une bombe sur l'usine Maillard[27].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1929 1965 Léon Pétion   Instituteur
    1968 1988 Caudron    
    1988[28] mars 2008 Philippe Maillard    
    mars 2008 En cours
    (au 20 juillet 2020)
    José Marchetti PCF Vice-président de la CC des Villes Sœurs (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2018, la commune comptait 1 238 habitants[Note 8], en diminution de 4,99 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    212156135212423446488503506
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    540540550472517512525519496
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6436949019541 0601 0301 0751 0721 172
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2571 4571 5211 6731 4841 4311 3891 3121 255
    2018 - - - - - - - -
    1 238--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école maternelle et élémentaire Charles-Perrault accueille les élèves locaux. Elle compte 109 élèves à la rentrée de l'année scolaire 2016-2017. L'établissement est situé dans l'académie de Rouen, en zone B pour les vacances scolaires[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Lubin et le marronnier.
    • Église Saint-Lubin à Incheville.
    • Église Saint-Léger du XIIe siècle à Gousseauville[37].
    • Verrerie de M. Lavernot à Incheville[38]. Avec son clocher-mur, elle est en péril ; elle aurait été agrandie sous Louis XIII, Louis XIV et Louis XV[39].

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Gros, né le à Incheville, est un universitaire français, normalien, latiniste, spécialiste de l'archéologie et l'architecture romaine.
    • Maurice Maillard, fondateur de la société Maillard, ancien équipementier français de l'industrie du cycle, installé à Incheville, qui fut, dans les années 1970, l'un des leaders mondiaux dans le domaine des moyeux, roues libres, pignons et pédales.
    • Jean-Pierre Sauser, compositeur et chanteur de talent, toujours en recherche d'un producteur

    Héraldique

    Les armes de la commune d'Incheville se blasonnent ainsi :
    d’azur à la roue à cliquet d’argent, au chef cousu de gueules chargé d’un léopard d’or armé et lampassé d’azur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Incheville et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Incheville et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Incheville », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Eu », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 : (suite), p. 157.
    25. Jean Renaud, Les Vikings et la Normandie, Editions Ouest-France, , p. 190.
    26. Incheville sur le site de la communauté de communes.
    27. Étienne Chantrel, Souvenirs de 1940, Bresle et Vimeu, 15 juin 1947.
    28. Bérengère Joly, « Municipales : l'ancien maire Philippe Maillard dans l'opposition : Cela se murmurait, les Inchevillois en ont eu confirmation avec l'officialisation de la liste "Agir ensemble pour l'avenir" : l'ancien maire Philippe Maillard revient en campagne. », L'Informateur - L’Éclaireur, (lire en ligne).
    29. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 3 avril 2014, p. 16..
    30. Louis Vanthournout, « Municipales 2020 : Incheville : José Marchetti en course pour un troisième mandat : Maire d'Incheville depuis 2008, José Marchetti a fait une pierre deux coups en annonçant sa candidature pour les élections municipales, et en présentant sa liste », L'Informateur d'Eu, (lire en ligne, consulté le ) « L’édile totalise dix-neuf années de fonction élective sur la commune. Élu pour la première fois en 2001 en tant que conseiller municipal, il monte d’un étage en 2008, devenant premier magistrat. Candidat à sa propre succession en 2014, il est réélu avec 61,52 % des suffrages exprimés. Celui qui est par ailleurs vice-président de la Communauté de communes des Villes Sœurs en charge du tourisme, a toujours la foi ».
    31. « Municipales 2020. À Incheville, José Marchetti a été réélu maire lors du conseil d’installation : Le conseil municipal d’Incheville vient d’élire le nouveau maire et ses adjoints lors de sa première réunion, à la salle d’honneur de la mairie », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « José Marchetti a été élu maire avec un total de 15 voix ».
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. L'école sur le site de l'éducation nationale.
    37. Panneau informatif place de la mairie.
    38. « Verriers de la Vallée de la Bresle - un Lock-out - le 7/9/1908 », Le Figaro, , p. 3 (lire en ligne).
    39. « On se réveille pour sauver la chapelle Saint-Léger », Courrier picard, , p. 22.
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