Henri du Plessis-Guénégaud

Henri du Plessis-Guénégaud, marquis de La Garnache et seigneur du Plessis-Belleville, né vers 1609 et mort le à Paris, est un homme politique et lettré français.

Pour les articles homonymes, voir Guénégaud.

Il est secrétaire d'État de la Maison du Roi.

Origines familiales

Il existait depuis le XIVe siècle une famille noble qui avait pour fief Guénégaud près de Saint-Pourçain en Auvergne et qui portait le nom de cette terre mais il n'existe pas de preuve que le secrétaire d'État en soit issu. En effet les généalogistes font observer que Claude de Guénégaud, son grand-père, avait été pourvu le d'un office de conseiller-secrétaire du roi, moyen utilisé par les roturiers pour accéder à la noblesse[1].

Henri du Plessis-Guénégaud est le fils de Gabriel de Guénégaud (né près de St-Pourçain, seigneur du Plessis-Belleville par sa femme, Trésorier de l'épargne d' à ), et de Marie de La Croix de Plancy de Semoine, dame du Plessis-Belleville († en janvier 1655 ; on la dit issue des La Croix de Castries, mais cela est discuté : ses parents étaient Catherine de Balhaan dame du Plessis-Belleville, et Claude de La Croix, vicomte de Semoine (issu des barons de Plançay ; voir l'article Plancy), fils de Nicolas de La Croix de Semoine et de la capétienne Charlotte de Courtenay-La Ferté-Loupière ; veuve, donc entre 1638 et 1655, Marie de La Croix était dite — par acquisition, ou par sa famille, ou par son mari ? — dame de Lassay et d'Azy en Berry, fiefs berrichons dans le Cher qui furent auparavant aux Chaumeau de Lassay alliés aux Le Maréchal d'Azy[2]). Gabriel de Guénégaud et Marie de La Croix s'étaient mariés le .

Ses frères et sœurs firent de beaux mariages :

  • Claude conseiller du roi en ses conseils, trésorier de l'épargne prête serment le [3], condamné par la chambre de justice de 1665, épouse Catherine Alfonsine Martel en 1637 ;
  • François (né à Meudon le [4], mort le [5]) seigneur de Lonsac, sans postérité ;
  • Renée, qui épouse Jean de Sève, seigneur de Plottart, conseiller au parlement de Paris reçu le , président en la Cour des Aides reçu le  ;
  • Marie (née le [réf. souhaitée], morte en 1644 ; sans doute héritière des biens berrichons puisque les Montmorency-Luxembourg auront Lassay et Azy) qui épouse[6] Claude Le Loup sieur de Bellenave, maréchal des camps des armées du roi : d'où Marie-Louise x 1° René Gillier de Clérembault < Marie x Charles Ier de Montmorency-Luxembourg ; et 2° Alexandre de Choiseul comte du Plessis-Praslin < César deuxième duc de Choiseul ;
  • Madeleine, qui épouse le [7] César Phœbus d'Albret, comte de Miossens, maréchal de France par lettres du , chevalier des ordres du roi le , gouverneur de Guyenne en 1670[8], à qui Henri du Plessis-Guénégaud cède l'hôtel d'Albret, aux nos 29bis et 31 rue des Francs-Bourgeois ;
  • Jeanne (morte le à 69 ans), Marie de la Croix prieure de l'Hôtel-Dieu de Pontoise[9].

Carrière

Remarqué par le cardinal de Richelieu lors d'un voyage que la cour fait en Languedoc en 1632[10], il est pourvu le , de l'office de conseiller secrétaire du roi, maison, couronne de France et de ses finances à condition de survivance de son père Gabriel de Guénégaud[11]. Du à , il succède à son père dans les fonctions de trésorier de l’épargne.

Du au , Henri du Plessis-Guénégaud succède à Henri Auguste de Loménie, sieur de Brienne comme secrétaire d'État à la Maison du Roi[12]. Le , il prête serment entre les mains du roi[13]. De son département dépendent Paris et l'Île-de-France, l'Orléanais et Blaisois/Blésois, les parlements de Paris et de Pau, le clergé[14]. C'est donc tout naturellement qu'il est un des commissaires du roi aux assemblées générales du clergé de 1655, 1660 et 1665[15].

Fidèle à la régente et au cardinal Mazarin pendant la Fronde, il prend part aux décisions importantes du ministère et à leur exécution. Ce rôle politique attire sur lui la fureur populaire. Dans un placet adressé au roi le , il rapporte qu'il a failli à trois reprises être écharpé par la foule, que ses meubles ont été pillés et sa famille, assiégée a cru sa dernière heure arrivée[16]. Un de ses familiers, Dubuisson-Aubenay, apporte son témoignage sur cette période difficile dans son Journal des guerres civiles.

Les services rendus à la couronne lui valent de nombreuses récompenses et gratifications. Sa baronnie de La Garnache est érigée en marquisat en décembre 1652 par lettres enregistrée au parlement et en la chambre des comptes les et . Le , Henri du Plessis-Guénégaud a l'honneur de recevoir pour dîner dans son château de Fresnes Louis XIV qui se rend de La Ferté-sous-Jouarre à Paris[17]. En , la baronnie de Plancy est érigée en marquisat en sa faveur et en celle de ses hoirs et ayant droit par lettres enregistrées au parlement le et la chambre des comptes le . Le Guenégaud devient Garde des Sceaux de l'ordre du Saint-Esprit et le trésorier de l'épargne du roi[18]. Le , le roi s'arrête une deuxième fois à Fresnes[19].

Mais Louis XIV ne fait pas grand cas des mérites de son ministre. Dans ses Mémoires pour l'instruction du Dauphin, il écrit « les deux autres secrétaires d'Etat, La Vrillière et Duplessis, étaient de bonnes gens dont les lumières paraissaient assez proportionnées à l'exercice de leurs charges, dans lesquelles il ne tombait rien de fort important »[20]. Il ne le nomme pas ministre d'État. Les bonnes relations entre Fouquet et Guénégaud l'indisposent. Aussi encourage-t-il les manœuvres de Colbert pour obtenir la charge de secrétaire d'État de la maison du roi. Comme l'intéressé ne souhaite pas quitter le gouvernement, le contrôleur général des finances fait entamer contre lui un procès en restitution de sommes qui auraient été reçue pendant la surintendance de Fouquet. Guénégaud doit céder. En , il envoie sa démission au roi. Colbert est immédiatement pourvu de la charge moyennant 600 000 livres payées à Guénégaud[21]. Après sa disgrâce, il vit tantôt à Paris, tantôt à Fresnes.

Le , il fait son testament olographe. Il meurt le et il est enterré à Saint-Paul de Paris. Son épouse teste à son tour le [22]. La dépouille de Guénégaud est ensuite transférée dans un caveau de la chapelle de Saint-Laurent de Plancy[23]. Elle est profanée en 1793, son tombeau en plomb est fondu pour faire des munitions et ses ossements dispersés[24].

Fortune

Le [25], il acquiert pour 289.500 livres la seigneurie de Fresnes-sur-Marne à François Honorat de Beauvilliers de Saint-Aignan. Le , Marguerite de Rohan, lui vend 15.803 livres, 6 sols et 5 deniers la baronnie de La Garnache[26]. Il la cède le à Claude du Chastel. Le il achète le château de Chemault à Marie Charlotte de Balzac d'Entragues, dame de Bassompierre, « moyennant la somme de 90 000 livres tournois pour les immeubles et 10 000 livres pour meubles meublants et ustensiles dont elle avait gardé d'abord l'usufruit. » Il revend la terre et seigneurie de Chemault, fiefs, domaines et dépendances le [27] à Hugues Guétaud, conseiller du roi pour 81 000 livres tournois plus 10 000 livres pour les meubles et ustensiles qui s'y trouvent[28]. Le , il achète 21 arpents et demi à l'abbaye de Saint-Germain pour 60.000 tournois prix principal et une rente annuelle de 2 sols parisis par arpent[29].

Le , devant Crespin et Lemercier notaires au Châtelet, il signe avec Hierosme de Sannazare, comte, sénateur et conseiller d'État de Montferrat, député plénipotentiaire de Charles de Gonzague II, duc de Mantoue, un contrat de vente pour la somme d'un million de livres « du fonds et propriété de l'Hôtel de Nevers sis à Paris, paroisse Saint-André des Arts entre le Pont Neuf et la Porte de Nesle  »[30], sur la rive gauche de la Seine. Là, il fait percer la rue qui porte son nom et, dans le rectangle irrégulier compris entre cette voie nouvelle, le quai et le collège des Quatre-Nations, il fait construire l'hôtel de Guénégaud[31].

En 1653, il est seigneur engagiste des terre, seigneurie et châtellenie du comté de Montbrison et du comté de Forez[32]. Dans la succession de son frère François de Guénégaud (en 1661), il obtient un hôtel à Meudon estimé à 25 000 livres qui s'ajoute à des biens qu'il possède déjà dans cette ville: un moulin et nombre de terres labourables, prairies et bois[33].

Le , devant Me Beauvais, notaire, il cède l'Hôtel Guénégaud à Anne-Marie Martinozzi, nièce de Mazarin, veuve d'Armand de Bourbon, prince de Conti[34] en échange de : 1er) « la terre, fief et seigneurie du Bouchet Valpetit, baronie de Valgrand et fiefs en dépendant réunis sur ledit titre de baronnie de Valgrand... situés es paroisse de Valpetit et Valgrand... Plus le fief, terre et seigneurie de Montaubert situé en la paroisse de Valgrand » ; et 2d) « la maison et Hôtel de Conti [...] sur le quai de la rivière de la Seine »[35].

À partir de 1669 il fait travailler Hardouin-Mansart à la construction d'un hôtel sur cet emplacement. La défaveur de Guénégaud ralentissent le chantier, qui est à peine achevé lorsque son fils le vendit en 1679 aux enfants du prince de Conti. L'hôtel devient alors le "Petit Hôtel de Conti", actuel hôtel de L'Averdy.[36]

Mariage et descendance

Il épouse par contrat du [37] Isabeau de Choiseul (née vers 1610, morte le ), fille du maréchal Charles de Choiseul-Praslin (1563-1626). La dot s'élève à 56 000 livres tournois, et la mariée renonce à tous ses droits au profit de son frère François, marquis de Praslin depuis la mort de leur père. Pour sa part, le jeune homme apporte les 200 000 livres de don en avance d’hoirie de la part de sa mère, Marie de La Croix[38]. De cette union naissent :

  • Gabriel (né le , mort le ), grièvement blessé à Candie le d'une grenade[39] où il servait comme volontaire[40]
  • Roger (né le [41], mort au château de Fresnes le ) mestre de camp du Régiment Royal, Cavalerie
  • Claire Bénédicte (née le , morte le ), épouse par contrat le Just-Joseph-François d'Ancézune Cadar[42], duc de Caderousse (né le , mort à Paris le ) aide de camp du roi Louis XIV, créé duc de Caderousse par le pape Alexandre VII le , reçu dans cette dignité à Avignon le se remarie le à Nogent-le-Roi, avec Marie Renée de Rambures (morte à Courtenay le ), fille de Charles de Rambures et de Marie Bautru de Nogent
  • Henry Guénégaud (né le , mort le ), marquis de Plancy, chevalier de Malte le [43], enseigne de la compagnie du comte de Marchin en 1673, baron de Cazillac [44], épouse le Marie-Anne-Françoise de Mérode (morte le ), seconde fille de Claude François Baron, puis comte de Mérode, marquis de Treslon, comte de Beaucarmés, baron d'Argenteau et de Diodonnée de Fabert[45]
  • Élisabeth-Angélique (née vers 1648, morte le à Paris à l'âge de 63 ans[46]), épouse le François III, comte de Boufflers (mort le )
  • César Phœbus (né vers 1649, mort en 1668 âgé de 18 ans), vicomte de Sémoine, soutient des thèses grecques et latines au collège royal de Navarre le [47].
  • Emmanuel (né vers 1650, mort à Paris le , à l'âge de 17 mois[48]
  • Emmanuel (né vers 1652, mort à Paris le ) chevalier de Malte le [réf. souhaitée], capitaine lieutenant des gendarmes de Bourgogne et maréchal de camp, blessé au combat de Senef en 1674, enseigne de la Compagnie des Flandres après son frère le , sous-lieutenant de la même Compagnie le , mestre-de-camp de cavalerie par commission du , capitaine-lieutenant de la Compagnie des Chevau-légers de Bretagne le , chevalier de Saint-Louis le , brigadier de cavalerie par brevet du , grièvement blessé à la bataille de Hochstett en 1704, maréchal de camp par brevet du [49],[50]

Notes et références

  1. J.-B. Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne, 1848, t.3, p.225
  2. « Historique d'Azy », sur Commune d'Azy : Azy présente...
  3. Gazette, no 47, 1643, p.312
  4. Michel Popoff, Prosopographie des gens du parlement de Paris (1266-1753), 2003, t.1, p.625
  5. Commission des antiquités et des arts du département de Seine-et-Oise, 1884, p.131
  6. Louis de Sainte-Marthe Histoire généalogique de la maison de France: revue et augmentée 1647, t.1, p.828
  7. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, 1881, t.9, p.413
  8. Revue d'Aquitaine : journal historique de Guienne, Gascogne, Béarn, Navarre..., 1868, p.352
  9. Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, 1937, t.46, p.49
  10. Mercure français, avril 1706, p.360
  11. A. Tessereau, L'Histoire chronologique de la Grande Chancellerie de France, 1710, t.1, p.373
  12. Thierry Sarmant, Mathieu Stoll, Régner et gouverner Louis XIV et ses ministres, 2010, p.576
  13. Gazette, n°26, 1643, p.172
  14. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65610182/f179.image.r=guenegaud.langFR Brienne, Mémoriaux du Conseil de 1661, 1905, t.1, p.61]
  15. Antoine Fauvelet Du Toc, Histoire des secrétaires d'Etat contenant l'origine, le progrès et l'établissement de leurs charges, avec les éloges, les armes, blasons et généalogies de tous ceux qui les ont possédées jusqu'à présent, 1668, p.259
  16. Léo Mouton, Le manoir de Jean Bouyn et l'école des Beaux-arts… : un coin du Pré-aux-Clercs, 1912, p.50
  17. Bulletin de la Société d'archéologie, sciences, lettres et arts du département de Seine-et-Marne, 1869-1872, t.6, p.110
  18. Père Anselme, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, 1732, t.9, p. 306
  19. Bulletin de la Société d'archéologie, sciences, lettres et arts du département de Seine-et-Marne, 1869-1872, t.6, p.113
  20. Mémoires de Louis XIV pour l'instruction du Dauphin, édit. Charles Dreyss, 1860, t.2, p.391
  21. : Jacques-Amédée Le Paire, Journal d'Olivier Lefèvre d'Ormesson et extraits des mémoires d'André Lefèvre d'Ormesson publiés par M. Chéruel, 1861, t.2, p. 563
  22. Léo Mouton, Le manoir de Jean Bouyn et l'école des Beaux-arts... : un coin du Pré-aux-Clercs, 1912, p.52
  23. Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube, 1864, t.14, p.476
  24. Baron G. de Plancy, « Le marquisat de Plancy sous les Guénégaud », in Revue de Champagne et de Brie : histoire, biographie, archéologie, documents inédits, bibliographie, beaux-arts, 1895, p. 186
  25. Baronnie de Montjay-La-Tour et l'ancien doyenné de Claye, p.251
  26. Annuaire départemental de la Société d'émulation de la Vendée, 1861, 8e année, p.193
  27. Mémoires de la Société archéologique de l'Orléanais, 1855, t.3, p.25
  28. Mémoires de la Société archéologique de l'Orléanais, 1858, t.4, p.24
  29. Adolphe Berty, Topographie historique du vieux Paris. Région du Faubourg Saint-Germain, 1882, p.207
  30. Bibliothèque de l'Instit, Fonds Godefroy T. 190 p.190-191, cité par Henri Cordier, « Annales de l'Hôtel de Nesle (Collège des Quatre-Nations Institut de France) » Mémoires de l'Institut de France, 1920, t.41, p.116
  31. Auguste Vitu, « La Mansarde de Bonaparte au quai Conti », Bulletin de la Société historique de la ville de Paris, novembre-décembre 1884, p.8
  32. Louis Pierre Gras, Répertoire héraldique, ou Armorial général du Forez : dressé d'après les monuments, suivi de la description des blasons de la Diana, etc., 1874, p.133
  33. Revue de Champagne et de Brie : histoire, biographie, archéologie, documents inédits, bibliographie, beaux-arts, 1895, t.7, p.114
  34. Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris 17 février 1920, p.713
  35. Léo Mouton, Le manoir de Jean Bouyn et l'école des Beaux-arts... : un coin du Pré-aux-Clercs, 1912, p.49
  36. Bertrand Jestaz, « La première œuvre connue de Jules Hardouin-Mansart : le petit hôtel de Guénégaud, dit de Conti. », Bulletin Monumental, vol. 158, no 3, , p. 217-237 (lire en ligne).
  37. MC/ET/XC/65 inventorié sur le site internet des Archives Nationales voir aussi aux Archives Nationales le document Y182 fol.62 verso, cité par Léon Lecestre dans son édition critique des Mémoires de Gourville, t.1, 1646-1669, 1894, p.162
  38. Élie Haddad, « Faire du mariage un acte favorable. L'utilisation des coutumes dans la noblesse française d'Ancien Régime », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2011/2 (no 58-2), p.30
  39. Jean-François-Louis d' Hozier, 1875, L'impôt du sang, ou La noblesse de France sur les champs de bataille, tome 2,Partie 1, p.194
  40. Recherches historiques de l'Ordre du S. Esprit, 1710, t.2, p.29
  41. Anselme de Sainte-Marie, Le Palais d'honneur ou la science héraldique du blason, 1686, p.465
  42. Mémoires de l'Académie de Vaucluse, 1917, t.17 p.119
  43. René Aubert de Vertot, Histoire des Chevaliers hospitaliers de S. Jean de Jérusalem, appellez depuis les Chevaliers de Rhodes, et aujourd'hui les Chevaliers de Malte, 1726, t.4, p.122
  44. Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze, 1905, t.27, p.504
  45. Simon Lamoral Le Pippre de Nœufville, Abrégé chronologique et historique de l'origine, du progrès et de l'état actuel de la maison du roi et de toutes les troupes de France, tant d'infanterie que de cavalerie et dragons, 1734, t.2, p.415
  46. Mercure galant, avril 1710, p.253
  47. Gazette 1667, no 83, p.714
  48. François-Nicolas Baudot Dubuisson-Aubenay, Journal des guerres civiles, 1885, t.2, p.285)
  49. Jean-François-Louis d'Hozier, L'impôt du sang, ou La noblesse de France sur les champs de bataille, 1875, Tome 2, Partie 1, p.194
  50. M. Pinard, Chronologie historique-militaire, contenant l'histoire de la création de toutes les charges, dignités et grades militaires supérieurs, De toutes les personnes qui les ont possédés ou qui y sont parvenus depuis leur création jusqu'à présent. des troupes de la maison du Roi. Les lieutenants généraux des armées du Roi du 25 juillet 1762 et les maréchaux de camp jusqu'en 1715, 1763, t.6, p. 561-562

Annexes

Bibliographie

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