Harbonnières

Harbonnières est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Harbonnières

Monument aux morts de Georges Roty.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Georgette Sciascia
2020-2026
Code postal 80131
Code commune 80417
Démographie
Population
municipale
1 638 hab. (2018 )
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 58″ nord, 2° 40′ 14″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 94 m
Superficie 15,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Harbonnières
Géolocalisation sur la carte : Somme
Harbonnières
Géolocalisation sur la carte : France
Harbonnières
Géolocalisation sur la carte : France
Harbonnières

    Géographie

    Harbonnières est aisément accessible par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029). Le village est à faible distance des autoroutes A1 et A29.

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol et le sous-sol d'Harbonnières, bourg picard du plateau du Santerre, sont de formation tertiaire. Ils sont formés de couches argileuses de limon des plateaux qui laisse passer l'eau jusqu'à une profondeur de dix mètres. Le diluvium se rencontre dans un fond de vallée[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'un plateau compris entre la vallée de la Luce et celle de la Somme. Le nord-est est à peu près plat sauf une petite vallée sèche qui se dirige vers Morcourt. Les environs du village sont légèrement vallonnés d'où un vallon va rejoindre la vallée de la Luce[1].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune d'Harbonnières. La nappe phréatique se trouvait, à la fin du XIXe siècle à 22 mètres du niveau du sol.

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune présente un habitat groupé avec des lotissements de maisons individuelles qui se sont édifiés à l'est et au sud de la bourgade.

    Activité économique et de services

    L'activité industrielle a disparu d'Harbonnières subsiste un tissu commercial et artisanal de proximité : boulangerie, épicerie, coiffeurs, bar-restaurant etc., situés dans le bourg ;

    Les services sont représentés par l'école maternelle et primaire ainsi que par le foyer de vie « Notre-Dame » pour adulte handicapés, situé en plein centre du bourg, à côté de l'église, il est le principal employeur de la commune.

    Transports en commun routiers

    La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France, sauf les jours fériés (ligne no 43, Harbonnières - Rosières-en-Santerre, ligne no 47, ligne de marché : Péronne - Rosières - Amiens, ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Harbonnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), forêts (1,6 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    On trouve pour désigner Harbonnières, dans les textes anciens, plusieurs formes : Arboneria (1111), Harbonnérii, Harbonières et enfin en 1215, Harbonnières.

    Selon une hypothèse, le nom serait dû au fait que des herbes ou des arbres touffus croissaient à l'endroit où se sont implantées les premières habitations[1]. Selon une seconde hypothèse, le nom de la commune dériverait d'Harbo, nom d'un chef franc. Harbonnières serait alors le domaine de ce chef[10].

    Histoire

    Antiquité

    Les vestiges de trois villas gallo-romaines ont été retrouvés[1].

    Moyen Âge

    Le lieu fut érigé en paroisse avant le XIIe siècle, et en commune en 1104. Le prieuré clunisien de Lihons-en-Santerre nomme le curé à partir de 1111 tandis que l'abbaye de Saint-Fuscien et le prieuré de Méricourt-sur-Somme se partagent le reste de la dîme[11].

    Au XIIe siècle, Harbonnières possédait une maladrerie et un Hôtel-Dieu. Sous Louis XIV, les biens de la maladrerie et de l'Hôtel-Dieu d'Harbonnières furent unis à l'Hôtel-Dieu de Montdidier.

    Harbonnières fut le siège de deux foires annuelles dès le Moyen Âge, et Charles IX en ajouta deux en 1567[1].

    La seigneurie d'Harbonnières passa au XIVe siècle à la famille de Lorraine, qui participa à la reconstruction de l'église au XVIe siècle[11].

    Epoque moderne

    Le seigneur d'Harbonnière au XVIIIe siècle était Antoine-Adolphe de Seiglières de Belleforière de Soyecourt, marquis de Feuquières, seigneur d'Harbonnières, Caix, Morcourt et autres lieux, mestre de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, gouverneur général de la ville de Montdidier en 1759. Il mourut guillotiné en 1791[12].

    XIXe siècle

    En 1888, à la suite d'un don de Justine Vaillant, habitante d'Harbonnières, la congrégation de Notre-Dame des Sept Douleurs fonda un hospice au centre du village. Détruit lors de l'offensive allemande de 1918, l'hospice fut reconstruit en 1927. En 1950, l'établissement fut reconverti en orphelinat puis en institut pour enfants handicapés mentaux. Il accueille aujourd'hui des adultes handicapés.

    Première Guerre mondiale

    Pendant la Première Guerre mondiale, Harbonnières se trouve dans la zone des combats ou de son arrière[13],[14],[15],[16],[17],[18],[19].

    Harbonnières fut reprise par les Français au cours de l'été 1916, pendant la bataille de la Somme. Pris par les Allemands le 27 avril 1918, le bourg sera définitivement repris par les Australiens le de la même année lors de la contre-offensive victorieuse des Alliés[20].

    La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachement administratifs et électoraux

    La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[22]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[24].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[25],[26],[27]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [28], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [29].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1800 Aubin Legenne    
    1800 1803 Pierre-François Blot    
    1803 1810 Aubin Legenne    
    1903   Ludovic Horde    
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 1977 Joseph Van Poperinghe DVD  
    mars 1977 mars 1989 Jacques Carré PS  
    mars 2001 2006[32] Bertrand Auvray   Décédé en fonction le 19 mars 2006
    avril 2006[33] mai 2020[34] Régis Ventelon    
    mai 2020[35] En cours
    (au 29 mai 2020)
    Georgette Sciascia    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2018, la commune comptait 1 638 habitants[Note 3], en diminution de 0,73 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7761 9251 9851 8372 1172 1802 2122 2502 165
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0622 0702 0912 0142 0101 9601 8841 9071 800
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7741 6861 5731 1501 3191 3051 3001 3241 345
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 4051 4261 5591 3711 2861 3051 4411 4611 480
    2013 2018 - - - - - - -
    1 6501 638-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'intercommunalité gère l'école élémentaire (réalisée en 2017 et qui a coûté 1,6 million d’euros) et l'école maternelle de Harbonnières, qui accueillent en 2017-2018, 176 élèves, dont une centaine en élémentaire. Les écoles pourraient accueillir les élèves de Caix et devenir un regroupement pédagogique concentré, mais la municipalité de Caix a obtenu le maintien de son école en 2017[39].

    Économie

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    La terre fertile a rendu prospère l'agriculture principalement céréalière et betteravière. L'élevage de chevaux trait du Nord est aussi présent sur la commune.

    Harbonnières possède sur son territoire un certain nombre d'activités économiques, dont :

    • la Société des Produits chimiques d'Harbonnières (S.P.C.H.), située à l'entrée du village sur la route de Bayonvillers ;
    • plusieurs commerces : une boulangerie, une épicerie, deux coiffeurs, un bars-restaurants, situés dans le bourg ;
    • le foyer de vie « Notre-Dame » est l'un des principaux employeurs de la commune, situé en plein centre du bourg, à côté de l'église.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin
    L'église Saint-Martin.
    L'église Saint-Martin d'Harbonnières, l'une des plus vastes du Santerre et parfois appelée « la petite cathédrale du Santerre », reconstruite à l'emplacement d'une église plus ancienne, date des XVIe siècle et XVIIe siècle[11].
    Construite en craie, on distingue, dans cette église, deux styles architecturaux différents : le gothique flamboyant de la nef à cinq travées et le style Renaissance du chœur et du transept.
    Un important mobilier de style Louis XIV est venu enrichir l'église, avec notamment une chaire[40] deux bas-reliefs représentant l'annonciation et l'adoration des bergers[41], ainsi que le maître-autel peints par Alexis Mazerolle en 1855[42].
    L'édifice a été  Classé MH (1906).
    • La chapelle du cimetière
    Cette chapelle a été édifiée en pierre de taille en 1817, avant le transfert du cimetière communal à cet endroit, en 1845. Elle possède une statue polychrome de la Vierge et un ex-voto en marbre de 1891. Le toit de la chapelle a été refait en 2000 par la municipalité[43].
    • Le monument aux morts, édifié grâce à une de souscription publique en 1922[44], décoré d'une sculpture de femme en pleurs de Georges Roty, fils d'Oscar Roty[45]. L'église paroissiale comprend une autre plage commémorative, édifiée aux frais du clergé vers 1926 : cette stèle est ornée d'une mosaïque représentant le Christ en buste, et d'un bas-relief montrant le transport d'une civière[44].
    • Cimetière militaire Heath Cimetery
    « Heath » signifie lande. Située face au bois du Sart, au bord de la route Amiens - Saint-Quentin, au nord d'Harbonnières, cette nécropole contient 1 860 corps d'hommes tués entre et (859 Britanniques, 9 Canadiens, 984 Australiens, 6 Néo-Zélandais et 2 Sud-Africains) dont plus de 360 n'ont pu être identifiés.
    Tous les corps reposant ici, proviennent de tombes isolées et de cimetières édifiés au cours du conflit, situés à proximité, en particulier entre Harbonnières et Bray-sur-Somme[46].
    • Anciens bâtiments industriels en brique, 30 rue de Feuquières, reconstruits en 1921 pour la bonneterie Bouly Lepage créée en 1888 et détruits pendant la Première Guerre mondiale, utilisés actuellement par la société des produits chimiques d'Harbonnières[47].

    Personnalités liées à la commune

    • Prudence Pezé veuve Guiraud dite la Louve de Rainecourt (1766-1820), native d'Harbonnières, chef de la bande des chauffeurs du Santerre, malfaiteurs et assassins qui sévissaient dans l'Est du département de la Somme depuis la fin du XVIIIe siècle. Elle tint son surnom du fait que devenue veuve, elle gérait une auberge à Raineville, hameau de Framerville-Rainecourt, près d'Harbonnières. Condamnée à mort, elle fut guillotinée à Rosières-en-Santerre.
    • François Vidocq (1775-1857), ancien bagnard devenu chef de la police de sûreté à Paris. Il arrive dans la Somme pour démasquer et arrêter les chauffeurs du Santerre. En 1820, logeant à Harbonnières, il s'infiltra dans la bande de La Louve de Rainecourt et parvint à faire arrêter tous ses membres.
    • Louis-Emmanuel Maréchal, né le 27 février 1789 à Harbonnières. Maréchal des logis sous le Premier Empire au 12e chasseurs à cheval, de 1809 à 1815[réf. nécessaire].
    • Georges Croisille, commandant de la marine marchande, né le à Harbonnières. Premier commandant du paquebot France après avoir commandé de nombreux paquebots tels que Colombie, Antilles, Flandre et Liberté, décédé le à Ville-d'Avray.

    Héraldique

    Blason
    De sable semé de fleurs de lis d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Bibliographie

    • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2).
    • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).
    • Antoine Goze, Notice sur l'église, la commune et les seigneurs d'Harbonnières, A. Caron, 1855.
    • Edouard Legenne, Les Ricochets de l'histoire, à Harbonnières, village picard, C.R.D.P., Amiens, 1980.
    • Adrien Varloy, Les Chauffeurs du Santerre, 1907, réédition, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse Res Universis, 1991 (ISBN 2 - 87 760 - 476 - 4) .

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Notice géographique et historique sur la commune d'Harbonnières rédigée par Monsieur Heuduin, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Edouard Legenne,Les Ricochets de l'histoire à Harbonnières, village picard, Amiens, 1980, C.R.D.P.
    11. « L'église », notice no IA80000852, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    12. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=9185
    13. Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. A l'hospice : salle des blessés : au fond, mère Marie de la Flagellation, citée à l'ordre du jour de l'armée », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    14. Cliché commandant Blanchet, Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Lisières du village. Dépôt de bombes à ailettes pour canons de 58 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    15. Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Maison atteinte par un obus qui vient de tomber à quelques mètres de l'ambulance », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    16. Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Près du cimetière : douilles de 75 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Place de l'église : ravitaillement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    18. Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières (près). Canon de 305 tirant », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    19. cliché du sergent Bonnemaison, Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Aux lisières du village. Batterie d'auto-canons de 75 contre avions », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    20. Section photographique de l'armée, « Photo : Harbonnières. Carrefour et maisons bombardées », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 17, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    21. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17720.
    22. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    25. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    26. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    27. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    28. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    29. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    30. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    31. « Les maires de Harbonnières », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    32. « Immobilier Harbonnières » (consulté le ).
    33. « Harbonnières : Le nouvel élan du maire », L'Union - L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « À Harbonnières, l’objectif 2020 est de rattraper les retards de 2019 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « L’année 2019 aura été l’année de tous les retards si je peux dire. » Le décor est planté par Regis Ventelon, maire du village et candidat déclaré pour mars 2020 ».
    35. « Georgette Sciascia élue maire d’Harbonnières », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Benjamin Merieau, « L’école primaire d’Harbonnières prête à la rentrée : Les élus ont visité le chantier de l’école, qui pourrait accueillir à terme les élèves de Caix. La cantine et l’école maternelle suivront aux rentrées scolaires 2018 et 2019 », Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. « chaire à prêcher », notice no PM80000743, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « deux reliefs : Annonciation, Adoration des bergers », notice no PM80001642, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. « Ensemble du maître-autel : lambris, parquet, autel, tabernacle, retable, tableau, statue », notice no PM80001632, base Palissy, ministère français de la Culture.
    43. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 242 (ASIN B000WR15W8).
    44. « Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 et de la Guerre de 1939-1945 », notice no IA80000059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Notice no IM80000036statue : allégorie du deuil., base Palissy, ministère français de la Culture.
    46. Marc Nadaux, « Harbonnières – 80 – Cimetière militaire britannique », CANOPÉ académie d'Amiens (consulté le ).
    47. « Usine de bonneterie Bouly Lepage, puis anciens Ets Bouly, puis Sté Produits Chimiques d'Harbonnières », notice no IA00076651, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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