Halluin

Halluin est une commune française de la Métropole européenne de Lille, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.

Ne doit pas être confondu avec Halewyn.

Halluin

Vue d'ensemble de la ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Délégation spéciale
Délégation préfectorale
Code postal 59250
Code commune 59279
Démographie
Gentilé Halluinois (Hommes), Halluinoise (Femmes)
Population
municipale
20 808 hab. (2018 )
Densité 1 657 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 47′ 01″ nord, 3° 07′ 32″ est
Altitude Min. 9 m
Max. 62 m
Superficie 12,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Tourcoing-1
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nord
Halluin
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Halluin
Géolocalisation sur la carte : France
Halluin
Géolocalisation sur la carte : France
Halluin
Liens
Site web halluin.fr

    Géographie

    Halluin dans son canton et son arrondissement.

    Situation

    Halluin est située dans la partie septentrionale de l'arrondissement de Lille à proximité de la Lys, sur la frontière franco-belge. Elle est limitrophe avec les communes françaises de Bousbecque, de Roncq et de Neuville-en-Ferrain et avec les communes belges de Wervicq, de Menin et avec l'ancienne commune belge de Rekkem en Flandre-Occidentale.
    Halluin est située à km de Tourcoing, à 10 km de Mouscron, à 13 km de Courtrai, à 18 km de Lille, à 19 km de Roulers, à 22 km d'Ypres et à 23 km d'Armentières.

    La ville d'Halluin fait partie de la Métropole Européenne de Lille.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Halluin
    Menin
    Bousbecque Roncq Neuville-en-Ferrain

    Hydrographie

    La commune est traversée par une rivière qui se nomme la Lys qui prend sa source à Lisbourg et qui rejoint l'Escaut à Gand (Belgique). Mais également par de petites rivières comme la becque de Neuville, d'Halluin de la Viscourt.

    Par la route

    La commune est desservie par l'autoroute française A22 qui relie Lille à la Belgique et qui se poursuit par l'autoroute belge A14.

    Les axes routiers les plus importants qui traversent la commune sont trois routes départementales :

    • la route départementale 917 (ex-route nationale 17) relie Menin à Lille en passant tout d'abord par Halluin, puis par Roncq, Bondues, Marquette, Marcq-en-Barœul et La Madeleine ;
    • la route départementale 945 relie Menin à Bousbecque ;
    • la route départementale 191 contourne le centre-ville où elle rejoint la D 945 et la D 927.

    Transports en commun

    La ville est traversée par des lignes de bus de Ilévia (Groupe Kéolis).

    La société Ilévia, la MEL ainsi que la municipalité ont mis en place une Citadine qui dessert les principaux quartiers de la ville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 681 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Halluin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[17] et 1 043 862 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,4 %), zones urbanisées (35,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,4 %), prairies (3,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    L'origine du nom n'est pas bien établie. Selon l'abbé Alphonse-Marie Coulon (1847-1927), fondateur de l'église Saint-Alphonse d'Halluin et auteur d'ouvrages d'érudition concernant l'histoire régionale, l'origine viendrait du mot halu et de celui de in, le premier étant le nom d'un chef saxon ou franc et le second étant une particule utilisée en Flandre signifiant habitation ou demeure.

    Son nom changea plusieurs fois d'orthographe en passant par « haluwin », « halewin », « halowin », « haluing », « halwin », « haluyn » puis « halluin ».

    En néerlandais, la ville se nomme Halewijn, Haelewyn ou Halewin[24] en flamand occidental.

    Histoire

    Moyen Âge

    Le nom de Halluin, sous sa forme précoce "Hallewyn", apparaît pour la première fois dans l'acte de donation fait par Baudouin V, dit de Lille, comte de Flandre, à l'église et chapitre de Saint-Pierre de Lille en septembre 1066.

    La famille seigneuriale d'Halluin (Hallwyn)[25] eut de nombreuses alliances et de nombreux fiefs en Flandre et en France, comme Lauwe, Piennes (Peene) et Mesvillers (érigé en duché de Piennes en 1781), Capple, Roosebeke, Boesinghe, Esquelbecq, Wailly, Grandpré par achat, Maignelay (où est érigé le duché d'Halluin en 1587)...

    1501

    Dès le début du XVIe siècle, les seigneurs d'Halluin sont les mêmes que ceux de Comines : les Maisons de Croy, Ligne-Croy, Hénin-Liétard et, enfin, les ducs d'Orléans. Halluin fut aussi espagnole, au XVIe siècle, quand les Flandres passèrent aux mains des Habsbourg. En 1583, il y a la construction d'un fort à Halluin et destruction dans le conflit entre Charles de Croy et le duc Alexandre Farnèse.

    XVIIe siècle

    Elle devint française au XVIIe siècle, étant conquise en 1686 (quelques années après la prise de Lille) par Louis XIV, qui donna son nom à un pont de la ville, et Charles de Schomberg, maréchal de France et époux d'Anne duchesse d'Halluin, devint par son mariage duc d'Halluin.

    XIXe siècle

    Les lois Jules Ferry instaurant les écoles publiques laïques ne se sont pas appliquées facilement à Halluin. La ville d'Halluin s'oppose au préfet qui lui demande de voter les crédits, au moyen de taxes additionnelles aux impôts si nécessaire, pour installer une école publique dans le centre ville. Le conseil municipal s'y oppose en argumentant qu'il existe déjà une école du Colbras suffisante pour accueillir les rares élèves allant dans les écoles laïques. Il demande en outre la réduction de l'indemnité de logement à payer aux instituteurs laïques, lesquels avaient fait une pétition pour obtenir un supplément de traitement, pour la ramener au même montant que pour les fonctionnaires communaux. Il considère que la loi retirant aux congrégations l'enseignement primaire au motif de leur qualité religieuse, prise sans consulter les familles ni les conseils municipaux impose à la commune des instituteurs laïques contrairement au vœu de la population. Le préfet doit prendre un arrêté le pour imposer à la municipalité de se conformer à la loi. L'affaire est relatée dans les journaux conservateurs de l'époque[26].

    XXe siècle

    Halluin se développe, notamment grâce au textile comme dans toute la région; outre les ouvriers français, on fait également appel à de la main d'œuvre belge, ce qui ne va pas toujours sans difficultés, les travailleurs belges étant parfois accusés d'accepter de travailler à des conditions inférieures à celles réclamées par les français. Le , des heurts violents opposent ouvriers français et belges[27].

    Halluin "la rouge" fait parler d'elle en 1925 : le , des « révolutionnaires » emmenés par le maire communiste envahissent un tissage. L'industriel, considérant sa vie comme celle de sa famille menacées, met en joue les assaillants[28].

    Du fait de sa proximité avec la frontière belge, comme toutes les communes dans cette situation, Halluin était un lieu de forte contrebande (tabac belge, alcool, etc.). Le 10 mai 1933, les douaniers découvrent le « métro d'Halluin » : les contrebandiers passaient les marchandises par les égouts de la ville[29].

    Politique et administration

    Hôtel de ville

    En 2013, la commune d'Halluin a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[30].

    Tendances politiques et résultats

    La ville doit son surnom d'« Halluin la Rouge » au syndicalisme important qui permit aux communistes de prendre la mairie durant l'entre-deux-guerres (cette période a été remarquablement étudiée par Michel Hastings dans sa thèse d'État). Cependant la ville, bastion historique de la gauche, connaît une évolution sociologique importante depuis la fin du XXe siècle, par l'arrivée de catégories professionnelles supérieures dans de nouveaux secteurs résidentiels notamment le « Mont d'Halluin », « Le Clos du Loisel », « La Tuilerie » et « Belle Fontaine », cette évolution étant davantage favorable à la droite.

    On a ainsi pu constater lors de l'élection présidentielle de 2007 que la population avait voté majoritairement à droite.

    Le premier tour a en effet vu se démarquer en tête Nicolas Sarkozy avec 34,47 %, suivi par Ségolène Royal avec 21,13 %, François Bayrou avec 15,69 %, et Jean-Marie Le Pen avec 13,68 %. Le second tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 58,4 % (résultat national : 53,06 %) contre 41,6 % pour Ségolène Royal (national : 46,94 %)[31]. Ce basculement à droite de la commune fut confirmé lors des élections législatives de , où Christian Vanneste candidat UMP/CNI obtint 58,49 % des suffrages halluinois[32].

    Lors des élections présidentielles de 2012, Nicolas Sarkozy arrive à nouveau en tête au premier tour à Halluin, avec 27,07 % des voix, suivi de François Hollande avec 25,20 % puis suivi par Marine Le Pen avec 24,94 %, puis par Jean-Luc Mélenchon avec 10,27 % puis enfin par François Bayrou avec 7,39 %. Au second tour, Nicolas Sarkozy obtint 54,78 % des suffrages dans la commune, alors qu'au niveau national la France a voté majoritairement en faveur de François Hollande[33].

    Cette nouvelle orientation politique est confirmée lors des municipales de 2014, où la mairie est remportée par Gustave Dassonville (UMP), dans le cadre d'une triangulaire l'opposant à Laurent Caure (PS) et à Jean-Christophe Destailleur (Divers Droite). Le total des voix de droite réalisées par les deux candidats Gustave Dassonville et Jean-Christophe Destailleur, s'élevant à 64 % des suffrages, l’appellation «Halluin la Rouge» ne semble alors plus résonner que comme un vestige du passé[34].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1794 P.L. Delannoy    
    1794 1795 Jean-François Delannoy    
    1795 1800 Jean-Baptiste Duflo    
    1800 1805 Jean-Baptiste Vandebeulque    
    1805 1830 Jean-Baptiste Chombart    
    1830 1865 Pierre-Joseph Demeestère-Delannoy    
    1865 1873 Edouard Lemaitre-Demeestère    
    1874 1900 Paul Lemaitre-Bonduelle    
    1900 1907 Paul-Pierre Defretin    
    1907 1909 Louis-Joseph Odou-Loridan    
    1909 1919 Paul-Pierre Defretin    
    décembre 1919 avril 1935
    (décès)
    Gustave Desmettre PCF Employé de la Bourse du Travail
    avril 1935 1939 Gilbert Declercq PCF Ouvrier tisserand
    Député de la 10e circonscription de Lille (1936-1942)
    octobre 1939 janvier 1944
    (décès)
    Gaston Petit   Nommé président de la délégation spéciale en 1939
    puis maire de 1941 à 1944
    janvier 1944 mai 1945 Joseph Wanquet SFIO[36]  
    mai 1945 octobre 1947 Gustave Casier PCF[36]  
    octobre 1947 mai 1953 Joseph Wanquet SFIO  
    mai 1953 mars 1957 Robert Casier PCF[36] Directeur de coopérative
    mai 1957 mars 1971 Charles Vanoverschelde app. MRP Artisan menuisier
    mars 1971 octobre 1980[37]
    (démission)
    Albert Houte   Employé de la Sécurité sociale
    octobre 1980 mars 1983 Henri Leveugle PS Technicien
    mars 1983 juillet 1987[38]
    (décès)
    Albert Desmedt DVD Ancien journaliste
    Conseiller général (1985-1987)
    juillet 1987 septembre 1987 Patrick Tierrie DVD Comptable
    Maire par intérim
    septembre 1987 mars 1989 Didier Desprez DVD Professeur de mathématiques
    mars 1989 mars 2001 Alexandre Faidherbe PS Enseignant et directeur d'école
    Conseiller général (1987-1992 puis 1998-2004)
    mars 2001 mars 2014 Jean-Luc Deroo PS Professeur de lettres
    mars 2014 juin 2020 Gustave Dassonville UMP-LR Avocat
    Conseiller départemental (depuis 2015)
    Député suppléant de Vincent Ledoux (depuis 2016)
    juillet 2020 juillet 2021 Jean-Christophe Destailleur DVC Cadre du secteur privé
    Conseiller à la MEL

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[39].

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    En 1469, Halluin était un village comportant environ 300 habitants. L'accroissement rapide durant la seconde moitié du XIXe siècle est dû à l'immigration massive d'ouvriers flamands à la recherche d'un travail. Pendant vingt-cinq ans, la ville compta plus de 75 % d'étrangers.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40],[Note 7]

    En 2018, la commune comptait 20 808 habitants[Note 8], en diminution de 0,51 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 0302 4592 8313 2423 7504 2404 2644 8515 408
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8 41010 80313 67312 94613 77114 02014 67814 84115 781
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    16 59916 15815 48013 76013 93213 58813 27812 93513 345
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    14 13814 82915 49116 44417 62918 99719 87920 62020 708
    2018 - - - - - - - -
    20 808--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Halluin en 2007 en pourcentage[43].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,5 
    4,1 
    75 à 89 ans
    6,9 
    10,6 
    60 à 74 ans
    10,8 
    20,1 
    45 à 59 ans
    19,4 
    21,2 
    30 à 44 ans
    22,3 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,6 
    23,5 
    0 à 14 ans
    21,4 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[44].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Petite enfance

    • La crèche familiale emploie 22 assistantes maternelles réparties sur Halluin.
    • le multi accueil "Georgette Dupont"
    • Les services vaccination et pédiculose
    • La halte garderie "Les P'tits Mômes".
    • La Micro-crèche "Born to be happy" ouvre en - 16 rue Georges Vanlaere, 59250 Halluin

    Accueil des enfants de 10 semaines à 4ans dans la pédagogie active et bienveillance Accès jardin privatif Aide PAJE (CAF) + crédit impôt 50%

    Écoles publiques

    Écoles privées

    • Maternelles et primaires :
      • Saint-Alphonse
      • Notre-Dame des Fièvres
      • Sainte-Marie
    • Primaires :
      • École du Sacré-Cœur
    • Collège
    • Collège du Sacré-Coeur

    Collèges

    Le collège Robert Schuman s'appelle désormais Lili Keller Rosenberg.

    • Sacré-Cœur

    Lycées

    Il n'y a pas de lycée d'enseignement général à Halluin, les établissements les plus proches étant situés à Bondues (km) et Tourcoing (km).

    Marchés et brocantes

    Deux marchés ont lieu sur la commune :

    • Mercredi matin : halle Nkong-Zem de 8h30 à 12h00 (huit commerçants y participent)
    • Samedi matin : place du Général-de-Gaulle de 8h30 à 13h30

    Une centaine de commerçants y vendent leurs marchandises. Ce marché fait partie des plus gros marchés de la métropole et attire chaque semaine un public très nombreux.

    Chaque année, plusieurs Braderies et/ou Vide Greniers sont organisés par les associations :

    • Le lundi de Pentecôte, dans le centre-ville, Rue de Lille (km de stand en 2011, plusieurs milliers d'exposants)
    • En avril, dans le quartier du Colbras (400 exposants environ)
    • En avril et en septembre, Rue Gabriel-Péri
    • 1er dimanche de juin sur le Chemin de Loisel, au Mont d'Halluin association Mont Moulin
    • (400 exposants environ)
    • Le troisième dimanche de Juin, Place du général de Gaulle. (Vide-greniers d'une centaine d'exposants)

    Principales Festivités

    • Festival Trek'n'folk : Tous les ans en janvier. Le festival Trek'n Folk propose un cocktail musical aux sonorités dansantes et exotiques… Tous les ingrédients sont réunis pour combler les amateurs de musiques traditionnelles et charmer les néophytes : concerts, bals folks, fest-noz, initiations aux danses, stages de musique et animations rythmeront cette semaine. Invitation au voyage, excursion par-delà les frontières, itinéraire entre deux villes frontalières, le festival Trek'n Folk cultive la fusion d'univers musicaux différents dans un esprit festif et d'ouverture.
    • Bourses aux plantes ,tous le 1er dimanches de Mai ,au foyer Altitude organisé par l'association Mont Moulin

    vide grenier du Mont d'Halluin tous les 1er dimanches de Juin ,organisé par l'association Mont Moulin

    • 24 Heures du Mont : en juin. Il s'agit d'une course cycliste (très) festive qui se déroule pendant 24 heures dans les quartiers du Mont d'Halluin.
    • Fêtes de la Lys : le 1er dimanche de juillet, au port de plaisance d’Halluin-Menin pour une fête au bord de la rivière. C'est l’occasion de valoriser les productions d’artistes locaux (musique, théâtre, arts plastiques…).
    • Folklore du monde : un dimanche de juillet, chanteurs et danseurs des quatre continents viennent donner des représentations en partenariat avec le festival de Bray-Dunes.
    • La Fête des Tisserands : le 3e samedi de septembre. (Remplacer par la Municipalité par la fête des Allumoirs)
    • la fête de la solidarité : vers la mi-décembre, organisé par la Ville d'Halluin. Les bénéfices des ventes seront partiellement reversés à deux associations caritatives : les Restos du cœur et l’Entraide alimentaire d’Halluin.
    • Concert de Noël : vers le 15 décembre, Halluin accueille une grande formation classique (Orchestre national de Lille, Orchestre de Douai…).

    Vie Associative

    Halluin connait une vie associative foisonnante. En 2014, la ville comptait pas moins de 210 associations couvrant un large faisceau d'activités (Culture, sport, solidarité, secourisme, etc.).

    La ville d'Halluin est dotée d'une antenne de la Protection Civile.

    Sports

    La Ville d'Halluin est connue pour être très sportive dans le Nord-Pas-de-Calais.

    Les 24 heures du Mont (course cycliste) et Les foulées Halluinoises (course à pied) (35e édition en 2010) sont connues sur les plans régionaux, nationaux et internationaux.

    Il y a dix-neuf associations et clubs sportifs à Halluin. Les principaux clubs sont : l'Athlétisme Halluin Val de Lys (AHVL), le Tennis Club d’Halluin (TCH), le Cercle des Nageurs Halluinois (CNH), l'Union Halluinoise de Football (UH Foot) et le Volley Club Michelet Halluin (VCMH) qui évolue en nationale 2.

    Les équipements sportifs

    Il y a vingt espaces sportifs repartis sur seize sites.

    La piscine municipale Philippe Croizon, située Route de Neuville, se compose d'un bassin de 250 m2, d'une salle de musculation, de deux saunas et d'une salle de relaxation.

    Le complexe Hildevert-Wancquet se compose de la piste d'athlétisme Jean Wadoux, du dojo Marie-Claire Restoux, du terrain d'honneur du foot, d'un terrain synthétique et un en schiste pour la pratique du foot, d'un terrain de mini-foot, d'un plateau multisports et d'une salle omnisports.

    Les complexes sportifs Édouard Branly, Hector Berlioz et Alexandre-Faidherbe sont des salles omnisports.

    Le complexe Jules Guesde comprend le stade Didier-Deschamps renommé Wancquet Joseph (ancien maire de la commune de Halluin) , la salle omnisports Danny-Dhondt, les terrains de tennis couvert et extérieur et du stand de tir.

    La salle André-Dochy est spécialisée dans la musculation et celle du cercle municipal Saint-Joseph accueille les jeux de cartes et de fléchettes, le tennis de table, le billard ainsi que la bourle.

    Dans différents quartier de la ville il y a également des installations sportives telles que des paniers de basket ou des mini terrains de foot.

    Économie

    Traditionnellement, l'activité principale était le textile qui, en 1948, employait 7500 personnes dont près de la moitié de frontaliers. La ville a compté jusqu'à vingt entreprises textiles. Halluin était, par ailleurs, un important site de fabrication de meubles (notamment de chaises).

    À compter des années 80, ces deux secteurs d'activités ont progressivement disparu, en raison d'une forte concurrence internationale.

    De nos jours, l'économie de la cité se concentre sur quelques industries (notamment de traitement des déchets), l'agriculture et les services.

    Le taux de chômage de la ville était de 11,8 % en 2009 et le revenu net moyen annuel d'un ménage était de 21 134  en 2009.

    Commerces

    • Quatre grandes surfaces
    • Deux centres commerciaux
    • Une centaine de commerces répartis dans toute la ville

    Entreprises

    Il y a un bon nombre de PME et de PMI à Halluin dont :

    • Triselec Lille SAEML
    • Militzer et Münch France
    • Galloo France

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Estaminet du Vieux Moulin. L'église Saint-Hilaire d'Halluin (1858)

    • La Cense Manoir est une ferme datant de 1573. Elle se situe rue Arthur-Dennetière . Elle était attenante au château du Molinel qui fut détruit par un incendie lors des combats avec les Autrichiens le 13 septembre 1793. Le site du château est aujourd'hui en friches, couvert de végétation non entretenue. Ce site d'un peu plus de 3 hectares entre actuellement dans le cadre d'un projet de redynamisation du quartier du Molinel et de sauvegarde du porche rehaussé d'un pigeonnier, datant du XVIe siècle. Le projet de réhabilitation du site se compose de deux tranches. La tranche 1 comprend la création d'un lotissement privatif de 23 parcelles vendues "libre de constructeur". L'excédent financier de cette opération servira à réaliser la tranche 2 qui nécessite un investissement très important qui seul permettra de sauver de la destruction le porche rehaussé de son pigeonnier qui date de 1575. Cette tranche 2 comprend la reconstruction de la ferme actuellement en ruine en une ferme typique flamande bâtie au carré, en R+1 plus grenier aménageable. Cette ferme se voudra intergénérationnelle et comprendra un estaminet elle sera composée d'environ 26 logements. Le rdc sera réservé aux personnes âgées en couple ou non, le R+1 aux familles avec enfants et le grenier aux jeunes en couple ou pas mais ayant au maximum un enfant. La récupération des eaux de pluie est prévue, les deux tranches seront ceinturées de clôtures en fer forgé et entrées sécurisées. Tout cela est à l'état de projet et dépendra exclusivement des décisions administratives qui seront prises. La question étant: faut - il redynamiser le quartier du Molinel ou le laisser vieillir au sein d'une friche et de ruines?
    • Le Manoir aux Loups et son parc, se situant Route de Neuville, sur le Mont.
    • Le Manoir du Pellegrin et son jardin.
    • Le Moulin Hollebeke et son Estaminet qui se situent Avenue de l'Abbé Lemire. Le moulin est le seul, dans le Nord, à posséder une galerie circulaire. Les six moulins d'Halluin furent démembrés au milieu du XIXe siècle et, en 1877, le meunier Hollebeke construisit ce moulin qui fut acquis par la ville en 1988. Il a été ensuite restauré jusqu'en 1992. Depuis 2005, la « maison du meunier » a été aménagée en estaminet. Le moulin et la maison du meunier ont été inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1989.
    • L'Hôtel de Ville, rue Marthe Nollet, était à l'origine la demeure d'un industriel halluinois acquise par la commune après la mort de ce dernier en 1968. Les parquets de Hongrie, les plafonds ouvragés et les cheminées en marbre participent au caractère luxueux de ce bâtiment.
    • L'église Saint-Hilaire construite en 1856-1858 par Charles Leroy, célèbre architecte lillois, auteur de la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille et de nombreux édifices religieux autour de la métropole lilloise.
    • L'église Saint-Alphonse. Sa première pierre fut posée le par l'abbé Alphonse-Marie Coulon, qui a érigé celle-ci sur ses propres derniers.
    • L'église Notre-Dame-des-Fièvres, de style Art déco, construite en 1928-1931.
    • La mosquée Tawhid (dite mosquée du Nord avec ses briques rouges).
    • le Mont d'Halluin.
    L'Estaminet du Vieux Moulin.
    • Le Manoir aux Loups et son parc, se situant Route de Neuville, sur le Mont.
    • Le Manoir du Pellegrin et son jardin.
    • Le Moulin Hollebeke et son Estaminet qui se situent Avenue de l'Abbé Lemire. Le moulin est le seul, dans le Nord, à posséder une galerie circulaire. Les six moulins d'Halluin furent démembrés au milieu du XIXe siècle et, en 1877, le meunier Hollebeke construisit ce moulin qui fut acquis par la ville en 1988. Il a été ensuite restauré jusqu'en 1992. Depuis 2005, la « maison du meunier » a été aménagée en estaminet. Le moulin et la maison du meunier ont été inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1989[45].
    • L'Hôtel de Ville, rue Marthe Nollet, était à l'origine la demeure d'un industriel halluinois acquise par la commune après la mort de ce dernier en 1968. Les parquets de Hongrie, les plafonds ouvragés et les cheminées en marbre participent au caractère luxueux de ce bâtiment.
    • L'église Saint-Hilaire construite en 1856-1858 par Charles Leroy, célèbre architecte lillois, auteur de la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille et de nombreux édifices religieux autour de la métropole lilloise.
    • L'église Saint-Alphonse. Sa première pierre fut posée le par l'abbé Alphonse-Marie Coulon, qui a érigé celle-ci sur ses propres derniers.
    • L'église Notre-Dame-des-Fièvres, de style Art déco, construite en 1928-1931.
    • La mosquée Tawhid (dite mosquée du Nord avec ses briques rouges).
    • le Mont d'Halluin.

    Espaces verts

    Le port de plaisance d'Halluin-Menin.

    Le Port de Plaisance : accessible depuis la Rue de la Lys, il s'étend sur 17 hectares. Il est constitué d'une partie des produits de creusement du canal de la Lys, lors de sa mise à grand gabarit. Trois écolodges à Haute Qualité Environnementale (pouvant accueillir 4 personnes) sont présents sur ses lieux et sont gérés par Lys Sans Frontières. Durant la période estivale, le port de plaisance propose en outre de nombreuses activités et animations dans le cadre des festivités Halluin Plage, des vacances pour tous.

    Le Kluit Put : accessible depuis la Route de Linselles, c'est le lieu de balade incontournable de la ville, qui relie le Quartier de la Belle Fontaine à la Ferme du Mont Saint-Jean. Un étang de pêche appelé « Etang de la Tuilerie » fait de ce parc naturel son principal atout. Printemps, Ete, Automne, Hiver... En toutes saisons, son aspect nous réserve de magnifiques vues.

    Le Jardin de la Paix : accessible depuis la Rue de Lille et la Route de Neuville, il s'étend sur 6 hectares. Aménagé « à la française », il contient un étang japonais et la Piscine Municipale Philippe Croizon.

    Ferme du Mont Saint-Jean en été.

    La Prairie Acquette : accessible depuis la Route de Neuville et l'Avenue du Mont des Louviers, elle relie les différents quartiers du Mont et peut être désormais traversée grâce à un chemin érigé en 2012. Elle est plus connue pour son calme et ses peupliers du Canada qui dominent le terrain depuis des années.

    Équipements culturels

    • Cinéma Le Familia
    • Bibliothèque Municipale
    • Ecole de musique la Schola

    Personnalités liées à la commune

    Gastronomie

    • La navette halluinoise, pâtisserie imaginée par les boulangers de la ville.

    Quartiers

    • Colbras
    • Molinel (Aussi affilié au Colbras)
    • Molinel Colbras (ancien Colbras)
    • Mont Fleuri
    • Mont-Triez Cailloux (Secteur du mont d'Halluin)
    • Les écoles
    • Rouge porte
    • Centre
    • Forage

    Héraldique

    Les armes de Halluin se blasonnent ainsi : D'argent à trois lionceaux de sable lampassés de gueules, armés et couronnés d'or.

    Les trois lions représentent les trois seigneurs Josse, François et Jean de Halluyn.

    En , la ville présente un nouveau logo[46].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michel Hastings, Halluin la Rouge, 1919-1939. Aspects d'un communisme identitaire, Villeneuve-d'Ascq, Presses univ. de Lille, 1991 (publication de la thèse de doctorat d'État en sciences politiques soutenue en 1989).
    • Antoine Durafour, Stéphanie Rubini Raconte-moi…ton pays, ton voyage, ton histoire. Récits de l'immigration à Halluin, bande dessinée, Association Planet'action, 2011, (ISBN 978-2-9539561-0-8).
    • Antoine Durafour, Trajectoires et mémoires de femmes immigrées à Halluin, Association Planet'action, 2009, (ISBN 978-2-7466-1658-5).
    • Djamel Zaoui, Hier immigrés, aujourd'hui halluinois, documentaire produit par l'Association Culture et Avenir et le CRRAV, 2007

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Halluin et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Halluin et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    25. « Halewijn », sur Racines & Histoire.
    26. Le Journal de Bourbourg et du canton de Gravelines, n° 351 du 14 novembre 1888
    27. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 43
    28. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 47
    29. La Voix du Nord du 10 mai 2019, p. 46.
    30. N. G., « Villes Internet : 32 communes du Nord-Pas-de-Calais récompensées », La Voix du Nord, (consulté le ).
    31. Résultats des élections de 2007
    32. Ministère de l'Intérieur, « résultats des élections législatives » (consulté le ).
    33. Résultat Présidentielle 2012 à Halluin
    34. Résultat des élections Municipales de mars 2014 à Halluin (Journal Le Monde)
    35. Les maires d'Halluin, www.halluin.fr, Ville d'Halluin
    36. « Joseph Wanquet (Maire d'Halluin 1944 puis 1947 - 1953) », sur Association À la Recherche du Passé d'Halluin (consulté le ).
    37. Biographie d'Albert Houte sur le site de l'association « À la recherche du passé d'Halluin »
    38. Biographie d'Albert Desmedt sur le site de l'association « À la recherche du passé d'Halluin »
    39. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Halluin, consultée le 26 octobre 2017
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. « Évolution et structure de la population à Halluin en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    44. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    45. Notice no PA00107901, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. Sonia van Gilder Cooke, « Halluin: le nouveau logo de la ville fait (déjà) parler », sur www.nordeclair.fr, Nord Éclair, (consulté le ).
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