Hérépian

Hérépian [e.ʁe.pjɑ̃] (en occitan Erépia [e.'re.pjɔ]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Hérépian

  1. Héraldique

Héraldique
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Jean-Louis Lafaurie
2020-2026
Code postal 34600
Code commune 34119
Démographie
Gentilé Hérépiannais
Population
municipale
1 522 hab. (2018 )
Densité 174 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 39″ nord, 3° 06′ 58″ est
Altitude 191 m
Min. 178 m
Max. 520 m
Superficie 8,77 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bédarieux
(banlieue)
Aire d'attraction Bédarieux
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Hérépian
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Hérépian
Géolocalisation sur la carte : France
Hérépian
Géolocalisation sur la carte : France
Hérépian

    Géographie

    Carte.

    Hérépian est une commune située à un carrefour entre Saint-Pons-de-Thomières, Bédarieux et Béziers. Elle est bordée par le fleuve Orb et la rivière Mare.

    Communes limitrophes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 953 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 128,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 51 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[15]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[16],[17].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « grotte du Trésor »[19], d'une superficie de 43,95 ha, un site majeur pour la reproduction du Minioptère de Schreibers dans ce secteur du haut Languedoc[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21] : la « grotte du Trésor » (51 ha), couvrant 2 communes du département[22] et la « vallée de l'Orb entre Hérépian et Colombière-sur-Orb » (156 ha), couvrant 6 communes du département[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Hérépian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bédarieux, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[27] et 13 053 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,8 %), zones agricoles hétérogènes (32,4 %), zones urbanisées (9,3 %), cultures permanentes (5,6 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Hérépian dépendait du diocèse de Béziers et de l'ancienne paroisse de Saint-Pierre de Rhèdes, avant la création de la paroisse de Saint-Martial.

    Politique et administration

    Liste des maires de Hérépian
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1980 septembre 2003 Jean-Marie Oustry DVD Conseiller général (1993-2004)
    septembre 2003 mars 2014 Pierre Bernard DVD  
    mars 2014 En cours Jean-Louis Lafaurie DVD  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2018, la commune comptait 1 522 habitants[Note 7], en augmentation de 1,4 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6256907387889911 0721 0831 1151 185
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1431 1491 2611 2061 2781 5801 2381 1321 188
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2521 2781 2891 1431 1541 1931 1711 0671 112
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1221 1351 1261 1571 2411 3681 4461 4581 469
    2013 2018 - - - - - - -
    1 5011 522-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Carte postale de l'église (1911)
      L'église Saint-Martial du XVe siècle, située en plein cœur du village.

    Héraldique

    Les armoiries de Hérépian se blasonnent ainsi :

    De gueules, au pairle losangé d'or et d'azur.

    La fonderie de cloches Granier

    Son origine remonte au XVIe siècle, vers 1580, lorsque Guillaume Granier fabriquait des sonnailles dont les bergers équipaient leurs troupeaux de moutons. Granier exerçait dans le petit village « Des Nières » (hameau de la commune de Saint-Gervais-sur-Mare) où se trouvaient les principaux matériaux nécessaires à la fabrication : charbon, argile, etc. Dans les années 1920, la fonderie s'installe à Castanet-le-Bas (commune de Saint-Gervais-sur-Mare). La famille Granier a toujours exercé dans ce petit village jusque dans les années soixante-dix lorsque les difficultés de transport, la fermeture des mines, l’ont conduit à s’installer plus bas dans la vallée à Hérépian. La fonderie fabrique encore aujourd’hui des cloches pour particuliers (propriétés et châteaux), églises, sonnailles (clochettes, grelots) pour animaux, troupeaux.

    Cette fonderie a fait l'objet d'une étude ethnographique et technique qui a abouti à la création d'un musée : le musée des cloches et de la sonnaille. La fonderie ainsi que le musée sont situés à l'emplacement de l'ancienne gare d'Hérépian. Après une fermeture temporaire, le musée des cloches et de la sonnaille est à nouveau ouvert depuis le .

    La fonderie et le musée (sur le site de l'ancienne gare d'Hérépian).
    L'ancienne fonderie de Castanet-le-Bas (commune de Saint-Gervais-sur-Mare).

    La verrerie de glaces

    En 1777, Morand dans un de ses ouvrages intitulés L'art d'exploiter les mines de charbon de terre signale l'existence récente d'une verrerie à glaces à Hérépian chauffée avec la houille : "La houille s'emploie très bien pour la chauffe des verreries ... Celle nouvellement établie à Hérépian en Languedoc, travaille de la même manière." (pages 1249-1250)[37]

    Personnalités liées à la commune

    • Étienne Giral (1689-1763), son fils (?) devient propriétaire de la verrerie royale d'Hérépian fondée en 1767; il possède en outre la concession des mines de charbon de la baronnie de Boussagues, près de La Tour-sur-Orb. Ce charbon va notamment alimenter les fours de la verrerie ; pour cela, le pont de la Gure à Villemagne a été construit la même année.

    Jumelages

    Hérépian est jumelée avec

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Étienne Dumont, « Le fief noble du Pouget (Hérépian) : de l'Antiquité gallo-romaine à l'Ancien Régime », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 33, , p. 65-72
    • Étienne Dumont, « Le pont vieux d'Hérépian sur l'Orb : un témoin majeur sur l'ancien chemin de la montagne », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 37, , p. 125-138
    • Robert Gourdiole, « Hérépian à l'époque gallo-romaine », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 1, , p. 35-41
    • Florence Journot, « Histoire d'un carrefour : Hérépian », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 13, , p. 61-65
    • André Signoles, « La Fonderie de cloches de François Granier (Hérépian-Castanet-le-Bas) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 9, , p. 159-179

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Les Aires - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Hérépian et Les Aires », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Hérépian et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Hérépian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR9102006 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Hérépian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF la « grotte du Trésor » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « vallée de l'Orb entre Hérépian et Colombière-sur-Orb » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Unité urbaine 2020 de Bédarieux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    28. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    29. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Morand, Jean-François-Clément (1726-1784) L'art d'exploiter les mines de charbon de terre. Seconde partie suite de la quatrième section - voir Google Books https://books.google.fr/books?id=SwFYAAAAcAAJ&pg=PA1114&dq=Morand+charbon&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Morand%20charbon&f=false
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