Guîtres

Guîtres est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Guîtres

En bordure de l'Isle, Guîtres et son abbatiale.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
Maire
Mandat
Hervé Alloy
2020-2026
Code postal 33230
Code commune 33198
Démographie
Gentilé Guitrauds
Population
municipale
1 585 hab. (2018 )
Densité 316 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 31″ nord, 0° 11′ 07″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 70 m
Superficie 5,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Libourne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Libournais
Législatives Onzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Guîtres
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Guîtres
Géolocalisation sur la carte : France
Guîtres
Géolocalisation sur la carte : France
Guîtres

    Ses habitants sont appelés les Guitrauds[1].

    La ville doit son nom au latin Aquistriae (trois eaux) car elle est traversée par trois cours d'eau, l'Isle et ses deux affluents, le Lary et le Galostre.

    Géographie

    Localisation et accès

    Située dans le nord de la Gironde, Guîtres est une des principales villes du Pays Gabay, à la limite de l'influence de la langue d'oc en Grande Gavacherie. Elle domine la vallée de l'Isle et est située à km à l'ouest de Coutras.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Guîtres
    Bayas Lagorce
    Saint-Martin-de-Laye Coutras
    Sablons

    Hydrographie

    Le Lary à Guîtres

    Guîtres est situé sur la rive droite de l'Isle, affluent de la Dordogne à sa confluence avec le Lary et le Galostre donc les trois derniers kilomètres séparent Guîtres de Saint-Martin-de-Laye.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 887 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coutras », sur la commune de Coutras, mise en service en 1966[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 836 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Guîtres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (58,4 %), zones urbanisées (16,8 %), prairies (11,7 %), eaux continentales[Note 6] (5,9 %), cultures permanentes (5,8 %), forêts (1,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Guîtres est une seigneurie indépendante depuis le XIIe siècle.

    La bulle de 1171 du Pape Alexandre III, cite les édifices religieux de Chamadelle, Les Peintures, Porchères, Le Fieu, parmi ceux donnés à l'abbaye de Guîtres.

    Lors de la guerre de Cent Ans, la contrée fut dévastée au point d’avoir la majorité de ses paroisses dites "désertées ou vacantes" de 1360 à 1410 environ. L'apport d'une population des régions septentrionales voisines, Saintonge, Poitou, Vendée, redynamisa alors le territoire qu'on appela "Pays Gabay".

    En 1548, les paysans de Guîtres se sont révoltés contre la gabelle.

    La ville a été le siège des huguenots en 1587.

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Guitre.

    Héraldique

    Blason
    D’azur au puits de Beliste dit Henry IV, recouvert en dôme d'argent, maçonné de sable et ouvert du champ, posé sur une terrasse cousue de gueules[21].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1835 1840 Jean-Baptiste Denieau    
             
    1842 1848 François Mauget    
    1848 1852 Jules-Auguste Hovyn de Tranchère    
    1853 1860 Pierre Lartigue    
    1860 1864 Jehan Madeleine Largeteau    
             
    1892 1898 Ernest Malescot    
    1898 1904 Pierre Volmy Gesdon    
             
    1945 1947 Eugène Barbaron    
             
    1967 1989 Blanche Gonon    
    1989 1991 Jean Aviotte    
    1991 1995 Bernard Ducassou    
    1995 2001 Louis Bureau    
    mars 2001 2020 Francis Péjean PS Retraité de l'enseignement
    2020 En cours Hervé Alloy    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 1 585 habitants[Note 7], en diminution de 4,69 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0029331 1081 3341 2701 2821 2561 3241 287
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3701 3721 4001 4841 4031 4671 4901 5431 442
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4811 4421 3671 1981 2131 2511 2121 1571 244
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2421 2791 3571 3771 4031 4781 5321 6821 585
    2018 - - - - - - - -
    1 585--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 1 585 habitants[Note 7], en diminution de 4,69 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0029331 1081 3341 2701 2821 2561 3241 287
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3701 3721 4001 4841 4031 4671 4901 5431 442
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4811 4421 3671 1981 2131 2511 2121 1571 244
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2421 2791 3571 3771 4031 4781 5321 6821 585
    2018 - - - - - - - -
    1 585--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,9 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 46,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 18,3 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 20,4 %) ;
    • 53,9 % de femmes (0 à 14 ans = 16,8 %, 15 à 29 ans = 15,6 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 16,7 %, plus de 60 ans = 31,4 %).
    Pyramide des âges à Guîtres en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ans ou +
    5,9 
    7,2 
    75 à 89 ans
    13,2 
    12,5 
    60 à 74 ans
    12,3 
    18,7 
    45 à 59 ans
    16,7 
    21,3 
    30 à 44 ans
    19,4 
    18,3 
    15 à 29 ans
    15,6 
    21,3 
    0 à 14 ans
    16,8 
    Pyramide des âges du département de la Gironde en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    6,1 
    75 à 89 ans
    9,4 
    12,3 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,7 
    45 à 59 ans
    20,4 
    21,5 
    30 à 44 ans
    20,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    19,1 
    18,5 
    0 à 14 ans
    16,2 

    Gare et musée ferroviaire

    L'ancienne gare de Guîtres, construite en 1874 par la Compagnie des Charentes, puis reprise par les chemins de fer de l'État et la SNCF, est maintenant la propriété de la commune qui en a confié la gestion à L'Association des Amis du Chemin de Fer de la Vallée de l'Isle. Elle est utilisée par le train touristique de Guîtres à Marcenais exploité sur une ancienne voie. Le fonctionnement est assuré par des bénévoles. Les locomotives fonctionnent soit à la vapeur, soit au diesel.

    Lieux et monuments

    • L'abbatiale Notre-Dame[30],[31] : ancienne église d'une abbaye de moines bénédictins détruite en 1774 et dont il ne reste plus que l'abbatiale, classée au titre des monuments historiques depuis 1901[32]. Le chœur, le transept et la partie orientale de la nef, de style roman, datent du XIIe siècle [33]. Le portail ouest et la partie occidentale de la nef sont des XIIIe et XIVe siècles alors que le clocher actuel remonte à 1850[33]. En 1973, l’abbé Paul Haverlan rassemble un groupe de réflexion afin d'équiper l'abbatiale d'un grand orgue. La société nantaise Beuchet-Debierre, pour laquelle travaille Martin Haverlan (frère de l'abbé), est choisie pour réaliser les travaux. Ceux-ci auront lieu de 1975 à 1978 pour la première tranche (inauguration le par l'organiste Philippe Lefebvre) et en 1986 pour la deuxième tranche (inaugurée par l'organiste Jean Guillou).
    • Le puits Henri IV, datant des XVIe et XVIIe siècles, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1956[34].

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Jay (1770-1854), homme de lettres, journaliste, historien et homme politique, est né à Guîtres
    • Nicolas Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), savant, littérateur et jurisconsulte, fut abbé commendataire de Guîtres[35].
    • Roger Thabault (1895-1979), pédagogue français, instituteur, inspecteur primaire, inspecteur d'académie à Bordeaux, directeur général de l'Enseignement au Maroc de 1945 à 1955, inspecteur général. Résidence d'été à Guîtres.

    Jumelages

     Schladen (Allemagne) depuis 1994[36].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • André Godin, Histoire de la ville et du canton de Guîtres ; revue et complétée par J. Hovyn de Tranchère. - [Reproduction en fac-similé] - Paris : le Livre d'histoire, impr. 2006 (02-Autremencourt : Impr. Lorisse). - 1 vol. (247 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm. - (Monographies des villes et villages de France, ISSN 0993-7129; 2485).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants de Guîtres sur habitants.fr, consulté le 19 janvier 2013.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Coutras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Guîtres et Coutras », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Coutras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Guîtres et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=5416
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Évolution et structure de la population à Guîtres en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. « Résultats du recensement de la population de la Gironde en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    30. L'abbatiale de Guîtres sur le site Les amis de l'abbatiale de Guîtres
    31. Abbatiale Notre Dame de Guîtres sur le site Patrimoine au Pays de Guîtres
    32. « Église Notre-Dame », notice no PA00083568, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 juin 2012.
    33. Panneau d'information du P.S.O. du Libournais, apposé contre le mur nord de la nef
    34. « Puits Henri IV », notice no PA00083569, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 juin 2012.
    35. Monument à la mémoire de Peiresc à Belgentier
    36. « Jumelage(s) de Guîtres », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
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