Groupe Empain

• La société anonyme des Railways économiques de Liège-Seraing et extensions (RELSE) et sa filiale la société des Tramways électriques du pays de Charleroi et extensions (TEPCE).

• La Compagnie des chemins de fer à voie étroite du Midi (CFVEM) ;
• La société des Chemins de Fer du Périgord (CFP) ;
• La compagnie des Chemins de fer économiques du Nord (CEN) ;
• La Compagnie générale des Chemins de fer vicinaux (CFV) ;
• La compagnie des Tramways électriques de Lille et sa banlieue (TELB) et sa filiale la Compagnie Générale Industrielle de Transports (CGIT).

Toutes ces lignes sont à voie métrique en partie construites sur route. La majorité du matériel roulant est d'origine belge, livré par les Ateliers de construction du Nord de la France (ANF) à Blanc-Misseron.

• La Banque parisienne pour l'industrie ;
• La Banque industrielle belge.

• La Fédération Française et Belge des Tramways ;
• La Compagnie Générale de Railways et d’Électricité ;
• La Compagnie générale de traction ;
• La Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP) ;
• La Compagnie générale des railways à voie étroite.

• Les Ateliers de constructions électriques de Charleroi (ACEC) ;
• Les Forges et ateliers de constructions électriques de Jeumont.

• La Société parisienne pour l'industrie électrique (Spie) ;
• La société de recherches et d'exploitation pétrolifère (SREP) ;
• La Carbonisation Et Charbons Actifs (CECA) ;
• La Compagnie industrielle de travaux (Citra);
• Jeumont-Schneider.

• Caroline Suzor, Le groupe Empain en France 1883-1948 (thèse de doctorat), Louvain, Université catholique de Louvain, 2009 (lire en ligne : notice ; thèse)

• Archives Groupe Empain, Musée royal de l'Afrique centrale

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