Giremoutiers

Giremoutiers (prononcé [ʒiʁ.mu.ˈje]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Giremoutiers

L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Yves Brodard
2020-2026
Code postal 77120
Code commune 77206
Démographie
Gentilé Giremontois
Population
municipale
179 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 35″ nord, 3° 01′ 50″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 154 m
Superficie 6,01 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Coulommiers
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Giremoutiers
Géolocalisation sur la carte : France
Giremoutiers

    Géographie

    Localisation

    Giremoutiers est située dans la Brie, à 20 km de Meaux et km de Coulommiers[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont : Mouroux, Pommeuse, Maisoncelles-en-Brie, La Haute-Maison, Pierre-Levée, Aulnoy, Jouarre.

    Communes limitrophes de Giremoutiers
    La Haute-Maison Pierre-Levée Jouarre
    Maisoncelles-en-Brie Aulnoy
    Mouroux
    Maisoncelles-en-Brie Pommeuse
    Mouroux
    Mouroux

    Géologie et relief

    Giremoutiers est un peu vallonné car la rivière le Liéton l'a érodée au fil des ans.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Giremoutiers.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau :

    • le fossé 01 de Villers, 2,76 km[2], affluent du ru du Rognon ;
    • le ru du Liéton, 9,20 km[3], affluent du Grand Morin.
      • le fossé 01 de l'Etang des Morillas, 2,70 km[4], et ;
      • le fossé 01 du Champ du Prophète, 1,37 km[5], affluents du ru du Liéton.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,73 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,8 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 729 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,5 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 37 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Giremoutiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Coulommiers, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[22] et 27 561 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 27 lieux-dits administratifs répertoriés[27] dont Corbeville, Francheville, les Fermiers, la Réthorée, Malmaison.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2% ), zones agricoles hétérogènes (6,2% ), forêts (0,8 %)[28].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[31].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[32]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 62 dont 92,6 % de maisons et 3 % d'appartements[Note 4].

    Parmi ces logements, 95 % étaient des résidences principales et 5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 71,9 % contre 23,4 % de locataires et 4,7 % logés gratuitement[33].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 03B (CoulommiersMeaux) du réseau de cars Transdev[34]

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Girmostier en 1226[35] ; Giroumoutier et Giroumoster vers 1240[36] ; Gimoutier en 1249 (Rôles des fiefs) ; Presbiter de Giroudi Monasterio en 1249[37] ; Gerrodi Monasterium en 1353[38] ; Gillemonstier en 1455[39] ; Girostmoustier en 1487[40] ; Gillemoutier en 1620[41] ; Gilmontiers en 1676[42] ; Gil Le Moutier en 1732[43] ; Girmoutier en 1742[44] ; Giremontier au VIIe siècle[45].

    Son nom serait issu de l'anthroponyme Giroldus et de monasterium signifiant monastère[46]. Giremoutiers évoque peut-être Saint Géroche, abbé de la localité au VIIe siècle, Giremoutiers pouvant signifier : le « monastère de Saint Géroche ».

    En Brie, on retrouve trois toponymes de ce type : Faremoutiers (non loin de Giremoutiers), Neufmoutiers (au sud-ouest du Grand-Morin) et Neufmontiers au nord de Meaux, plus précisément au nord du bois de Saint-Faron.

    Histoire

    Giremoutiers a été créée par une abbaye de moines (dont quelque bâtiments sont restés à côté de l'église telle que la grange aux dîmes).

    Politique et administration

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1979   Régis Brodard SE agriculteur
    mars 2001   Régis Brodard SE agriculteur
    mars 2008   Antoine Heusèle SE agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [47],[48].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Giremoutiers ne dispose pas d'assainissement collectif[49],[50].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[51]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[49],[52].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [49],[53],[54].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[56].

    En 2018, la commune comptait 179 habitants[Note 5], en augmentation de 21,77 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    163158191175139157157150148
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    153138154148123110130121107
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1091171291241191321398392
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    8298106106106106129132135
    2013 2018 - - - - - - -
    147179-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre.

    Économie

    L'économie de Giremoutiers est axée sur l'agriculture (blé, mais, betteraves, lin fibre…) mais il y aussi quelques vergers de pommes à cidre. L'élevage est inexistant.

    Agriculture

    Giremoutiers est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[59].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[60]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 133 ha en 1988 à 133 ha en 2010[59]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Giremoutiers, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Giremoutiers entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[59],[Note 7]
    Nombre d’exploitations (u) 4 4 4
    Travail (UTA) 7 5 7
    Surface agricole utilisée (ha) 530 536 532
    Cultures[61]
    Terres labourables (ha) 515 522 517
    Céréales (ha) 359 368 s
    dont blé tendre (ha) 236 268 221
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 124 100 87
    Tournesol (ha) 39
    Colza et navette (ha) 0 s s
    Élevage[59]
    Cheptel (UGBTA[Note 8]) 1 0 7

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre, le lavoir (sur le Liéton), la mairie/école. Les corps de fermes typiquement de style briard.

    Événements

    • La fête du village (fin août) qui rassemble tous les habitants de Giremoutiers.
    • Salles de réception : au hameau des Fermiers (Patrice Brodard) et au hameau de la Réthorée (Régis Brodard).

    La ville de Coulommiers et les communes environnantes (Mouroux, Boissy-le-Châtel, Aulnoy, Chailly-en-Brie, Chauffry, Faremoutiers, Pommeuse, Giremoutiers, Saint-Germain-sous-Doue) ont été choisies pour être les premières à passer au tout numérique pour la diffusion de la télévision hertzienne. Depuis le , l'émetteur de Mouroux, site des Parrichets, diffuse la TNT. L'extinction du signal analogique a eu lieu le [62].

    Jumelages

    • aucun

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Giremoutiers, » sur Géoportail (consulté le 7 mai 2020)..
    2. « Giremoutiers - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Liéton (F6558000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de l'Etang des Morillas (F6558300) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Champ du Prophète (F6558200) » (consulté le ).
    6. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 28 juin 2018
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