Fossemagne

Fossemagne est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ne doit pas être confondu avec Foussemagne.

Fossemagne

L'église Saint-Astier de Fossemagne.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Annie Delage
2020-2026
Code postal 24210
Code commune 24188
Démographie
Population
municipale
539 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 37″ nord, 0° 59′ 07″ est
Altitude Min. 173 m
Max. 282 m
Superficie 21,88 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Haut-Périgord noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Fossemagne
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Fossemagne
Géolocalisation sur la carte : France
Fossemagne
Géolocalisation sur la carte : France
Fossemagne
Liens
Site web fossemagne.fr

    Géographie

    Généralités

    Le Manoire au pont qui mène à Bonneval.

    À l'est du département de la Dordogne, en limite du Périgord central et du Périgord noir, la commune de Fossemagne est traversée d'est en ouest par un petit affluent de l'Isle : le Manoire. Le sud-est du territoire communal se trouve en forêt Barade.

    L'altitude minimale, 173 mètres, se trouve à l'ouest, là où le Manoire quitte la commune pour servir de limite entre celles de Milhac-d'Auberoche et Saint-Antoine-d'Auberoche. L'altitude maximale avec 281 ou 282 mètres[Note 1] est localisée à l'est, près du lieu-dit Fontjarisse.

    Le bourg de Fossemagne, traversé par la route départementale 6089, se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l'ouest de Thenon et seize kilomètres au nord-ouest de Montignac-Lascaux.

    Communes limitrophes

    Carte de Fossemagne et des communes avoisinantes en 2016, avant la création de la commune nouvelle de Bassillac et Auberoche.

    Fossemagne est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 972 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 43 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Fossemagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,5 %), zones agricoles hétérogènes (37 %), prairies (9,3 %), terres arables (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), zones urbanisées (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2012 pour le Manoire et ses rives, depuis la Fontaine du Chat en amont jusqu'à la limite communale à l'ouest[20],[21].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Fòssa Manha[22].

    Histoire

    Au XIIIe siècle, les évêques de Périgueux, à la recherche d'appuis suffisamment puissants, ont inféodé la châtellenie d'Auberoche[23] aux vicomtes de Limoges. Fossemagne fait partie de cette châtellenie, située au contact de la vicomté de Limoges et du comté de Périgord, à la limite des paroisses de Bars, Thenon et Rouffignac, et des châtellenies de Montignac et Hautefort.

    La châtellenie d'Auberoche a été placée sous la domination d'Isabelle de Castille, en 1317, après son mariage en 1312 avec le vicomte de Limoges et duc de Bretagne, Jean III de Bretagne, et à la suite de l'intervention du roi de France car elle faisait partie de son douaire. Isabelle de Castille a rapidement rendu hommage, en 1318, à l'évêque de Périgueux pour cette châtellenie et l'a administrée jusqu'à sa mort, en 1328.

    Dans sa recherche de l'origine de la bastide vicomtale de Bonneval, située à près de 600 m à l'est de Fossemagne, Bernard Fournioux a remarqué que sa première mention date de 1324. Elle n'est pas mentionnée dans l'hommage rendu en 1318 par Isabelle de Castille à l'évêque de Périgueux. Cette bastide a dû être établie entre ces deux dates. Parmi les raisons qu'il évoque pour la fondation de cette bastide, il peut y avoir l'intérêt de consolider la présence française dans une zone de conflits entre les Capétiens et les Plantagenêts, mais aussi l'augmentation démographique dans cette période de calme, avant la reprise de la guerre. Les Anglais s'étaient implantés au château de Miremont et au château de Reilhac. La bastide se trouve dans les bois de Bonneval. Ce bois a permis de développer une activité de verrerie dans la bastide dont le comte de Derby s'est emparé en 1345. Elle est reprise peu après par le roi de France qui la vend peu après au cardinal de Périgord qui laisse son administration à son frère, Roger-Bernard, comte de Périgord, par un acte du . En 1438, la bastide revient dans le domaine des vicomtes de Limoges, puis dans celui de la Maison d'Albret. La justice haute, moyenne et basse a été vendue en 1486 à François Hélie, seigneur de La Mothe, puis est entrée dans le domaine de François de Hautefort. Finalement, cette bastide n'a pas réussi à se développer[24].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de « Foussemagne ».

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Fossemagne est rattachée au canton de Thenon qui dépend du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Périgueux[25].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, le canton de Thenon disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord noir.

    En 2017, Fossemagne est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[27],[28].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[29],[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Debord    
    mars 2008[31]
    (réélue en mai 2020)
    En cours Annie Delage UMP[32] Rédacteur en chef territorial

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Fossemagne relève[33] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 539 habitants[Note 6], en diminution de 12,21 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8511 0139179681 0831 0561 0351 1501 089
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 008973960888924876871838802
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    782778757667663647670640582
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    558556505544535528575602540
    2018 - - - - - - - -
    539--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Fossemagne est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Limeyrat et Saint-Antoine-d'Auberoche au niveau des classes de primaire. À la rentrée de septembre 2015, la commune de Saint-Antoine-d'Auberoche n'accueillera plus d'enfant scolarisés, qui seront alors dirigés vers les deux autres communes[37].

    Sports

    Le Football-Club de Fossemagne, avant sa disparition en 1978, a réalisé des performances de très bon niveau pour l'équipe d'un village d'environ 500 habitants.

    Jouant au plus haut niveau régional (Division d'honneur), le FC Fossemagne frôle la montée en 3e division nationale en 1971[38] et en 1972[39] en terminant à la seconde place. En 1973, le FC Fossemagne est cette fois champion de division d'honneur (groupe Centre-Ouest)[40] et accède au niveau national.

    Pendant quatre années, le FC Fossemagne joue alors en 3e division, terminant à une honorable 12e place en 1974[41], à la 10e place en 1975[42], à une belle 8e place en 1976[43].

    Le « miracle » de Fossemagne prend fin en 1977 avec la dernière place[44] et le retour en division d'honneur.

    À la fin de la saison 1977-1978, le FC Fossemagne termine 5e de division d'Honneur[45] et gagne de fait le droit de revenir au niveau national grâce à la création cette année-là de la 4e division. Mais, constatant probablement que leur petit club n'a plus la capacité de relever un tel défi, les dirigeants du FC Fossemagne acceptent une fusion avec le club d'un quartier de Périgueux, l'US Gour de l'arche.

    Cette fusion donne naissance au FC Périgueux qui hérite du coup de l'accession en 4e division. C'est donc de fait la disparition du nom de Fossemagne des tablettes du football français, mettant un terme à une aventure peu commune.

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête locale a lieu chaque année, pendant un week-end de juillet (10e édition en 2014[46]).

    Économie

    Emploi

    En 2015[47], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 247 personnes, soit 43,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-neuf) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-six établissements[48], dont vingt-neuf au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze dans la construction, six dans l'industrie, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[49].

    Entreprises

    En 2014, une nouvelle installation de stockage de déchets non dangereux (ISDND) du département de la Dordogne a été mise en service sur 51 hectares entre Milhac-d'Auberoche et Fossemagne, au lieu-dit Madaillan, pour prendre le relais du site de Milhac-d'Auberoche, ouvert en 1992, et arrivé à saturation, après vingt-deux années de fonctionnement[50].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Astier, romane du XIIe siècle[51], avec un clocher-mur à quatre baies campanaires. Elle a été rénovée en trois périodes : la toiture dans les années 2000, puis le parvis et l'extérieur, et enfin l'intérieur en 2015-2016[51].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux données contradictoires selon le Géoportail : 281 mètres sur la carte et 282 pour la boîte « Communes ».
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Fossemagne et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Fossemagne et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. PPR inondation - 24DDT20100004 - Manoire, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019.
    21. [PDF] Fossemagne - Plan de prévention du risque inondation p. 2, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 28 février 2014.
    23. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, p. 242, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1).
    24. Bernard Fournioux, Une bastide vicomtale en Périgord : Bonneval, dans Annales du Midi, 1980, tome 92, no 147, p. 133-150 (lire en ligne)
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    28. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    29. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.
    30. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
    31. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 18 août 2014.
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    33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Aimée Faconnier, « À Saint-Antoine-d'Auberoche, l'école, c'est définitivement fini », Sud Ouest édition Dordogne, 4 juillet 2015, p. 14.
    38. Le Championnat de France de Football DH Centre-Ouest - 1971
    39. Le Championnat de France de Football DH Centre-Ouest - 1972
    40. Le Championnat de France de Football DH Centre-Ouest - 1973
    41. Le Championnat de France de Football Division 3 Gr. Centre-Ouest 1974
    42. Le Championnat de France de Football Division 3 Gr. Centre-Ouest 1975
    43. Le Championnat de France de Football Division 3 Gr. Centre-Ouest 1976
    44. Le Championnat de France de Football Division 3 Gr. Centre-Ouest 1977
    45. Le Championnat de France de Football DH Centre-Ouest - 1978
    46. Hervé Froidefond, La fête locale ce week-end, Sud Ouest édition Dordogne du 16 juillet 2014, p. 20b.
    47. Dossier complet - Commune de Fossemagne (24188) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 31 octobre 2018.
    48. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    49. Dossier complet - Commune de Fossemagne (24188) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 31 octobre 2018.
    50. Hervé Chassain, « Nouvelle poubelle », Sud Ouest édition Périgueux, 26 novembre 2014, p. 11.
    51. Hervé Froidefond, « L'église, entièrement rénovée, inaugurée », Sud Ouest édition Périgueux, 19 août 2016, p. 27.
    52. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 523-524, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
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