Fontet

Fontet est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Fontet

La mairie (juin 2009).
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Serge Poujardieu
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33170
Démographie
Gentilé Fontésiens
Population
municipale
793 hab. (2018 )
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 35″ nord, 0° 01′ 47″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 63 m
Superficie 7,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La Réole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Fontet
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Fontet
Géolocalisation sur la carte : France
Fontet
Géolocalisation sur la carte : France
Fontet
Liens
Site web www.fontet.fr

    Géographie

    La commune de Fontet se situe au sud-ouest (rive gauche) de la Garonne, à 64 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 19 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à km au sud de La Réole, chef-lieu de canton[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont La Réole au nord (quartier du Rouergue), Hure au sud-est, Noaillac au sud, Loupiac-de-la-Réole à l'ouest et Blaignac et Floudès au nord-ouest. À l'est, sur la rive droite de la Garonne, se trouve la commune de Bourdelles.

    Communes limitrophes de Fontet
    Floudès

    Blaignac
    La Réole
    (quartier du Rouergue)
    Loupiac-de-la-Réole Rive                       
    droite                      
    de           Bourdelles
    la                           
    Garonne                   

    Noaillac

    Hure                                             

    Communications et transports

    Le territoire communal est traversé par la route départementale D 9 qui mène, vers le nord-ouest et à proximité de La Réole, à la route départementale D 1113 (ancienne route nationale 113, Bordeaux-Marseille) et, vers le sud, à l'autoroute A62 puis permet de rejoindre Bazas au sud-ouest ou Grignols vers le sud-est par la route départementale D 10 ; le bourg proprement dit est traversé, d'une part, par la route départementale D 9e6 qui permet de rejoindre La Réole vers le nord et ladite D 9 au sud et, d'autre part, par la route départementale D 225 qui mène en direction de Puybarban à l'ouest et au-delà en direction de Langon par la route départementale D 224 ; ladite départementale D 224 se prolonge à l'ouest du bourg en direction de Meilhan-sur-Garonne.

    L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 04, dit de La Réole, qui se situe à 6,5 km vers le sud.

    L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 25 km vers le sud-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle de La Réole, sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Aquitaine, située à 2,5 km au nord.

    Hydrographie

    La commune est traversée d'est en ouest par le canal de Garonne.

    À l'exception de la zone au sud du canal, le territoire communal, à l'instar des communes environnantes sises entre Garonne et canal de Garonne, est quasiment plat. Il est classé en zone rouge dans le cadre du plan de prévention du risque inondation (PPRI). Des digues de protection contre les crues de la Garonne le sillonnent.

    Hameaux et lieux-dits

    La Madone, Tamadis, Le Cricq, Médoc, Le Castéra, Tartifume, Guilleton, Lasserre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 818 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 52 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Fontet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Réole, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), zones urbanisées (10,6 %), eaux continentales[Note 6] (5,7 %), prairies (0,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Fontet signifie « petite fontaine ». La commune possède en effet un grand nombre de sources d'eau.

    Le nom de la commune est Hontet en gascon.

    Histoire

    Le village originel de Fontet, devait se situer sur une motte féodale, dans le hameau actuel de Tartifume, au nord-est du bourg actuel. On y fait mention en 1500. Cette motte féodale était située en surplomb d’un méandre de la Garonne. Cette élévation naturelle, était un élément de l’ensemble défensif de La Réole, avec le château des Quat'Sos, le Castéra (motte au sud du bourg) et la chartreuse de Blaignac. De cette situation défensive, il ne reste aujourd'hui que des ruines de murailles et des fossés. Du village médiéval, restent le patrimoine architectural de l'église et quelques vestiges du château de Tartifume. Un pont suspendu sur le canal latéral à la Garonne se nomme pont suspendu de Tartifume, il se situe juste à côté de l'écluse no 48. Au Moyen Âge, les pèlerins en route pour Saint-Jacques-de-Compostelle traversaient la Garonne au gué de Tartifume. Les Bénédictins possédaient le droit de bac à cet endroit.

    À la Révolution, la paroisse Saint-Front de Fontet forme la commune de Fontet[21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1959 Albert Pauly    
    1959 1971 Roger Carcauzon    
    mars 1971 mars 1983 Guillaume Pouchet    
    mars 1983 mars 2001 Guy Campodarve    
    mars 2001 mars 2014 Jean-Marie Mongie    
    mars 2014 2020 Jean-Marc Fraiche   Cadre supérieur
    2020 En cours
    (au 4 juillet 2020)
    Serge Poujardieu   Retraité

    Intercommunalité

    Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Fontet s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Fontésiens[23].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2018, la commune comptait 793 habitants[Note 7], en diminution de 6,04 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    760592568567695683714782672
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    705732753735720704713692682
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    671665621611580617624632647
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    675626636672715732735816794
    2018 - - - - - - - -
    793--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Front a été construite entre les XVIe et XVIIe siècles. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1925[28].
    • Le pigeonnier de Lagrange, circulaire, est caractérisé par le dôme en cloche qui le surmonte[29].
    • Sur le canal de Garonne, se situent les écluses nos 48 et 49, la première au lieu-dit l'Auriole à proximité de Hure et portant le nom du lieu-dit, la seconde en limite du territoire communal de Loupiac-de-la-Réole et dite écluse de Fontet.
    • Une assez importante base nautique communiquant avec le canal permet le mouillage de bateaux de plaisance.
    • Un musée des Allumettes et de l'Artisanat, privé, peut être visité à proximité de la base nautique[30].

    Personnalités liées à la commune

    • Marie Joussaume (dite La Berguille) est née en 1829 à Loupiac et mort en 1904 à Fontet. En 1873 et 1874 elle signale plusieurs apparitions mariales. Fontet devient un lieu de pèlerinage Il y as tellement de monde qu’un service spécial est instauré entre la gare de La Réole et Fontet. (On a compté jusqu’à 5000 personnes le 8 septembre 1873 ! )[31],[32]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 53,4 km pour Bordeaux, 17,7 km pour Langon et 2,5 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 31 mai 2011.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Fontet et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Fontet et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Historique des communes, p. 21, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
    22. La liste des maires est extraite du site Fontet.free.fr, consulté le 26 janvier 2010.
    23. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 31 mai 2011.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Inscription MH de l'église Saint-Front », notice no PA00083546, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 26 janvier 2010.
    29. Colombier de Lagrange sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine », consulté le 14 septembre 2014.
    30. Le musée des Allumettes et de l'Artisanat sur www.tourisme-aquitaine.fr, consulté le 31 mai 2011 et sur www.tourisme-gironde.fr, consulté le 31 mai 2011.
    31. Guy Meyra et Jean-Christophe Gibert, « Fontet : de Marie à Marianne », , pages 7-17.
    32. Adrien Péladan, Evénements miraculeux de Fontet, de Blain et de Marpingen, Nîmes, , 114 p. (lire en ligne sur Gallica).
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