Fontaine-Bonneleau

Fontaine-Bonneleau est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Fontaine.

Fontaine-Bonneleau

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Sylvie Leclerc
2020-2026
Code postal 60360
Code commune 60240
Démographie
Gentilé Belifontainois, Belifontainoises
Population
municipale
242 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 43″ nord, 2° 09′ 02″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 175 m
Superficie 16,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Fontaine-Bonneleau
Géolocalisation sur la carte : Oise
Fontaine-Bonneleau
Géolocalisation sur la carte : France
Fontaine-Bonneleau
Géolocalisation sur la carte : France
Fontaine-Bonneleau
Liens
Site web http://www.fontaine-bonneleau.fr

    Géographie

    Village rural picard de la vallée de la Selle, affluent de la Somme.

    Il est situé sur la route (RD 106 et RD 206) reliant Beauvais à Amiens, sensiblement à mi- distance de ces deux villes. Le diffuseur  16 (Hardivilliers) de l'autoroute A16 est situé à une dizaine de kilomètres de Croissy.

    Communes limitrophes de Fontaine-Bonneleau
    Lavacquerie Croissy-sur-Celle
    Blancfossé
    Catheux Le Saulchoy Domeliers

    Hameaux et écarts

    La commune comprend le hameau de Bonneleau, situé à 700 m environ du village.

    Hydrographie

    Le pont sur la Celle ét l'école.

    Le village est situé sur la Selle (orthographiée Celle dans le département de l'Oise), affluent du fleuve côtier la Somme.

    Transports en commun

    Depuis la fermeture de la ligne SNCF reliant Beauvais à Amiens, le village n'est plus desservi que par des cars.

    Il est desservi en 2019 par la ligne d'autocars no 29 (Crévecœur-le-Grand - Conty - Amiens) du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 752 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Fontaine-Bonneleau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,7 %), forêts (23 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), prairies (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones urbanisées (1,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le village a été appelé Fontaine-sous-Catheux[22].

    Histoire

    Les sources de Fontaine-Bonneleau au début du XXe siècle.
    • Dans le bois alors appelé La Grande forêt, à l'ouest du territoire communal ont été découverts au XIXe siècle des fosses de forme circulaires attribuées à l'époque gauloise[23].
    • Le tracé de la route de Beauvais à Amiens par Verderel, Auchy-Ia-Montagne et Fontaine-Bonneleau correspond au tracé d'une ancienne voie romaine[24].
    • On а trouvé des cercueils de pierre tendre sur le coteau au nord est de Fontaine, qui semblent dater du Moyen Âge[23].
    • Les carrières de Bonneleau étaient célèbres au Moyen Âge pour la qualité de ses pierres[25]. .La seigneurie de ce lien appartenait au chapitre d’Amiens, quì possédait une grande partie du territoire , notamment les fermes.de Valallet et de Malassiset, qui n'existaient déjà plus au milieu du XIXe siècle[22].
    • Comme son nom l'indique, des sources d'eau minérales existent à Fontaine-Bonneleau : les trois premières sources, nommées Vallot, Lapostole et Lave ont été découvertes en 1770, puis captées par M. Vallot apothicaire à Amiens qui les exploita jusqu'à la Révolution. Ces eaux étaient préconisées pour tous problèmes digestifs. Les dames de la cour de Louis XV en consommaient, et différents médecins de l'époque les prescrivaient à leurs patients[26],[27].
    • Au XIXe siècle, le village disposait de cinq moulins sur la Celle (dont le moulin à huile de M. Dervois-Hanquez, autorisé en 1831[28]), d'un four à chaux et d'une carrière[29]. Louis Graves indiquait en 1836 « Il existe sur le versant nord de la vallée , au lieudit la pierre de la roche , un fort ou souterrain dont l’entrée est fermée »
    • En 1869, la commune disposait d'un percepteur, M. Lemarchand, et d'un médecin, M. Tharel[30]. La perception existait toujours en 1931[31].
    • La commune disposait d'une gare de chemin de fer sur la ligne Beauvais - Amiens qui transporta les voyageurs de 1876 à 1939. Implantée près de l'usine des sources, elle en transportait les productions et contribua à son développement. La laiterie de Fontaine-Bonneleau expédiait deux wagons quotidiens. Le tronçon desservant Fontaine-Bonneleau a été fermé au trafic marchandises en 1969.
    • Une halte supplémentaire sur cette ligne a été créé vers 1889, sur la demande et avec le financement du comte de Chatenay, sénateur de l'Oise, alors personnage très influent, semble-t-il pour desservir son domaine[32].
    Circonscriptions d'Ancien Régime[22].

    Le village était situé sur les limites de la Picardie et du Beauvaisis.

    Le village relevait de la prévôté royale de Beauvaisis à Grandvilliers, du bailliage d'Amiens, de l'élection d'Amiens.

    La paroisse Saint-Georges dépendait du doyenné et diocèse d'Amiens. L'évêque d'Amiens y nommait le curé

    Politique et administration

    La commune de Fontaine, instituée lors de la Révolution française, a absorbé avant 1801 celle de Bonneleau et devient Fontaine-Bonneleau[33].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crèvecœur-le-Grand[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[34], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[35], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[36].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[37], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1864[30]   M. Thorel    
    Avant 1904[39]   Alfred Paris    
    avant 1912[40] après 1921[41] Charles-Marcel Legrand   Instituteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 2008 Pierre Caulier[42]   Chef d'entreprise
    mars 2008[43] juillet 2020 Didier Cornet[44]   Agriculteur
    juillet 2020[45] En cours
    (au 9 juillet 2020)
    Sylvie Leclerc    

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

    En 2018, la commune comptait 242 habitants[Note 7], en diminution de 9,7 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    510479471453560526515500501
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    510537485441480482418356362
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    401358352326280297300302266
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    329318292279252287288285269
    2017 2018 - - - - - - -
    244242-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,5 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 17,6 %, plus de 60 ans = 23,3 %) ;
    • 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 19,6 %, 15 à 29 ans = 17,5 %, 30 à 44 ans = 20,3 %, 45 à 59 ans = 16,1 %, plus de 60 ans = 26,6 %).
    Pyramide des âges à Fontaine-Bonneleau en 2007 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,4 
    12,7 
    75 à 89 ans
    10,5 
    10,6 
    60 à 74 ans
    14,7 
    17,6 
    45 à 59 ans
    16,1 
    23,2 
    30 à 44 ans
    20,3 
    13,4 
    15 à 29 ans
    17,5 
    22,5 
    0 à 14 ans
    19,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    L'entrée de l'école au sein de la mairie-école.

    En 2016, les enfants de la commune sont scolarisés dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal regroupant Croissy-sur-Celle, Doméliers et Fontaine-Bonneleau[51].

    Téléphonie mobile

    Le village est longtemps resté en « zone blanche », non desservie par le téléphone mobile. Un pilône a été enfin mis en service en 2019[52],[53].

    Économie

    La commune est un village agricole qui ne comprend plus de commerces de proximité. Plusieurs artisans y sont installés, ainsi qu'un camping[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Georges, reconstruite au XVIe siècle, avec deux grandes arcades en plein cintre, bouchées, qui peuvent être d’origine romane. L'intérieur a été très restauré au XIXe siècle[25] ;
    • La source ornée d'une vierge à l'Enfant, près de la Celle
    • La Coulée verte de la vallée de la Celle, chemin de promenade aménagé sur l'emprise de l'ancienne ligne de Saint-Omer-en-Chaussée à Vers (reliant Beauvais à Amiens) ;
    • Paysage agricole rural de la vallée de la Selle.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Fontaine-Bonneleau et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Fontaine-Bonneleau et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crèvecœur, arrondissement de Clermont (Oise) : Extrait de l'annuaire de 1836, 96 p. (lire en ligne), p. 28-29, 47-49, sur Google books.
    23. Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département par M. Emmanuel Woillez, Paris, Imprimerie royale, , 213 p. (lire en ligne), p. 88.
    24. M. Alix, « Historique des routes du département de l'Oise », Bulletin de la société historique de Compiègne, t. XXIV, , p. 203-230 (lire en ligne, consulté le ).
    25. Dominique Vermand, « Fontaine-Bonneleau, église Saint-Georges », Diocèse d'Amiens, Eglises de l'Oise, art roman et gothique (consulté le ).
    26. C. M. Majot, Notice sur les eaux minérales ferrifères de Fontaine-Bonneleau, Amiens, Alfred Caron, imprimeur, , 22 p. (lire en ligne); lire en ligne sur Gallica.
    27. Eaux minérales ferro-crénatées de Fontaine-Bonneleau (Oise) analysées par M. Ossian Henry, Paris, Ancienne maison Favreux, , 22 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
    28. « Ordonnance du roi », Bulletin des lois, no 93, , p. 100 (lire en ligne, consulté le ).
    29. Daniel Delattre, Le canton de Crèvecœur-le-Grand, Delattre, ca. 1980.
    30. Almanach de Beauvais et du département de l'Oise : administratif, scientifique, littéraire, historique, Beauvais, Victor Pineau, , 136 p. (lire en ligne), p. 56, lire en ligne sur Gallica.
    31. « Tableau de reclassement des perceptions », Journal officiel de la République française, no 228, , p. 10536 (lire en ligne, consulté le ).
    32. Source : délibération du Conseil municipal de Fontaine Bonneleau du 5 juin 1889, déposée aux archives départementales de l'Oise 5SP829
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    35. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    36. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    37. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    38. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
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    40. « Arrêtés nommant des officiers de l'instruction publique et des officiers d'académie », Journal officiel de la République française, no 59, , p. 1961-1988 (lire en ligne, consulté le ).
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    51. « Fermetures de classes à Crèvecœur-le-Grand et Fontaine-Bonneleau », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3385, , p. 18.
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    53. Juliette Duclos, « L’une des dernières zones blanches de l’Oise éradiquée : Après plus de quinze ans de combats, les villages de Croissy-sur-Celle, Catheux et Fontaine-Bonneleau ont enfin accès à un réseau mobile. Un soulagement pour les élus mais aussi les habitants », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    54. « Artisans/Commerçants », Commune de Fontaine-Bonneleau (consulté le ).
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