Famille de Laborde de Monpezat

La famille de Laborde de Monpezat, olim Laborde, est une famille d'origine béarnaise. Elle posséda de 1655 à 1789 cent cinquante journaux de terres nobles sur les communes de Moncaup et Monpezat, en Béarn.

Pour les articles homonymes, voir Familles de Laborde et de Laborde.

Famille de Laborde de Monpezat

Armes[2]

Blasonnement De gueules au lion d'or accompagné en chef de trois étoiles du même.
Période XVIIe siècle au XXIe siècle
Pays ou province d’origine Béarn
Fiefs tenus Fief de Beaufranc et terres, maisons et métairies à Monpezat et à Moncaup (Pyrénées-Atlantiques), et à Séron (Hautes-Pyrénées)
Charges Maire

L'un de ses membres, Henri de Laborde de Monpezat, a épousé en 1967 la future reine de Danemark Margrethe II, devenant ainsi prince consort de Danemark. De ce couple est issue la future famille régnante du Danemark per virilem sexum.

Histoire

Le patronyme Laborde de Monpezat est porté depuis le mariage, le , de noble Jean de Laborde, baptisé en 1620, docteur en droit civil et canon et gentilhomme ordinaire de la chambre du roy (selon Joseph Valynseele[3] et Arnaud Chaffanjon), avec Catherine d'Arricau, dame de Monpezat — nom d'une actuelle commune des Pyrénées-Atlantiques[4]. Joseph Valynseele indique que la qualification de noble ne présume pas de la véritable noblesse de son porteur, mais signifie qu'il vivait noblement[3]. D'autre part, la qualité de gentilhomme de la chambre du roi de ce Jean de Laborde ne fait pas l'objet d'un consensus : dans un numéro de l'Intermédiaire des chercheurs et curieux (ICC) et dans un numéro du Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées, il est désigné comme « Jean de Laborde, docteur en médecine »[4],[5], mais dans un autre numéro de l'Intermédiaire des chercheurs et curieux (ICC) il est qualifié de « docteur en droit civil et canonique, gentilhomme de la chambre du roi »[6].

Pierre Grillon écrit qu'en Jean de Laborde obtient par lettres patentes du roi l'anoblissement des maisons et métairies de Monpezat et de Beaufranc, mais que l'acte original n'a pas été retrouvé et que les archives du parlement et de la chambre des comptes de Navarre ont en partie brulé en 1716 ; toutefois une copie de cet acte a été publiée dans le Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Pau en 1907[7], et, selon J. Valynseele, la matérialité des lettres patentes de 1655 ne saurait faire de doute[7]. Cet auteur ajoute que « mention est faite du même Jean de Laborde pour sa maison noble de Beaufranc située à Moncaup, à la date du , dans le Rôle des droits féodaux des nobles qui ont prêté hommage (Archives des Pyrénées-Atlantiques, B3971) »[7]. Nous trouvons également  : Taxe des nobles de Béarn pour la convocation du ban et de l'arrière-ban XVIIe siècle[8] : ... M. de Laborde de Moncaup, 4 écus[9].

L'abbé Jean Francez écrit, quant à lui : « Par lettres patentes en date de , le roi de France anoblit cent cinquante journaux de terre, au titre de Beaufranc, situés sur les communes de Moncaup et Monpezat, en Béarn, appartenant à Jean de Laborde à la charge d'en rendre hommage à sa majesté et à ses successeurs, sous le devoir d'un fer de cheval, à chaque mutation de seigneur. Cet anoblissement donnait droit d'entrée aux États de Béarn ». D'après la même source, « Les Laborde de Monpezat sont nobles depuis l'acte royal de qui anoblissait les 150 journaux de terre situés à Moncaup et à Monpezat »[5]. Et, dans son ouvrage La Noblesse du Périgord, l'historienne Joëlle Chevé dit que la famille a été anoblie par lettres en 1655[10].

Château de Moncaup : Construit à la fin du XVIIe siècle, la demeure seigneuriale appartient alors à Jean de Laborde, médecin, qui obtient l’anoblissement en 1655. Elle regroupe alors les maisons et les métairies de Monpezat et de Beaufranc. Le château se compose de deux corps de bâtiments homogènes disposés en L, ses façades sont simplement décorées d’enduit et l’ensemble est coiffé d’un toit haut à croupes couvert de petites tuiles plates. L'édifice reste aux mains des Laborde Monpezat jusqu’en 1730. Ce château témoigne parfaitement de l’architecture des maisons fortes en Béarn à la fin du XVIIe siècle.

Des terres de la famille de Laborde à Monpezat et à Beaufranc ayant été anoblies en 1655, il faut souligner qu'en Béarn la noblesse ne s'attache pas à une personne ou à une famille, mais à une terre qui donne toujours droit à la qualité de noble, qu'elle ait été acquise par achat ou par héritage[11], aussi, des arrêts du Conseil d'État en 1669 et en 1701, exemptèrent les Béarnais de la recherche générale de noblesse, ordonnée en 1666 et 1696 et cela jusqu'en 1789[12].

Les Laborde de Monpezat étaient propriétaires de terres nobles et du fief de Beaufranc[13], on appelait ces possesseurs domengers (écuyer, gentilhomme), statut propre à cette province donnait le privilège de noblesse aux propriétaires de la terre noble[14],[15], mais pas de juridiction sur les dites terres[16]. Le domenger était propriétaire d'une domenjadure, seigneurie donnant droit d'entrée aux États. La noblesse béarnaise se composait des domengers et des cavers[17].

Joseph Valynseele écrit « Prélevés sur le bien propre de l’intéressé pour être anoblis, ceux-ci constituaient ce qu’on appelait en Béarn une domengeadure, c’est-à-dire un fief sans juridiction ne comportant pas de soumis, par conséquent pas de cens, pas de droits seigneuriaux, mais seulement la maison et les terres qui sont la propriété du domenger »[18].

Les Laborde ont également possédé une maison et des terres à Séron dans les Hautes-Pyrénées. J. Francez précise là-dessus que les trois générations qui ont vécu à Séron n'y ont possédé ni seigneurie, ni terre noble[5].

La famille Laborde de Monpezat n'a jamais été admise aux États du Béarn (ni dans le Grand-Corps, qui regroupait la noblesse de cette province, ni même dans le Second-Corps, qui regroupait gens de robe, maires et jurats) et a essuyé deux refus successifs d'admission, en 1703 et à nouveau en 1707[7]. À cet égard, dans la Revue historique (année 1976), Pierre Grillon se penche sur les réserves de Joseph Valynseele quant à la noblesse de cette famille, mais il développe pour sa part un argumentaire selon lequel l'absence d'admission ne saurait remettre en cause la validité de l'anoblissement[7], alors que pour J. Valynseele ladite admission avait « valeur de reconnaissance ou de maintenue de noblesse »[7],[19]. Les auteurs de la Revue Historique de 1976 précisent que le 18 juin 1654, les États du Béarn avait prononcé un arrêt que « désormais il ne serait plus procédé à des réceptions pour des terres anoblies n'ayant pas au jour de la décision de 1654, un droit d'entrée », la règle fut suivie jusqu'à la fin de l'Ancien Régime sauf de très rares dérogations (fait de déroger à une loi) accordées pour services rendus au roi, J. Valynseele aurait dû déduire de ses propres constatations qu'au moins à partir de cette date de juin 1654 le fait de ne pas siéger parmi la noblesse aux États de Béarn n'impliquait nullement qu'on ne fût pas noble[20].

Henri Jougla de Morenas, Le Second ordre (1973) page 55 écrit : « L’anoblissement par la terre de son propriétaire ne produisait son plein effet — surtout quand il s' agissait de terres nouvellement « anoblies » — , que quand ce possesseur avait été admis aux États »[21].

Sur les Laborde de Monpezat, F. de Saint-Simon dans Le Dictionnaire de la noblesse française (1975) page 60 écrit : « BÉARN : La possession d'une terre noble n'était point suffisante pour être anobli et il fallait être reçu aux États pour avoir une noblesse parfaite; à la fin du XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, les États de Béarn étaient d'une intransigeante sévérité sur la qualité nobiliaire. Le cas des Laborde de Montpezat est typique à ce sujet ».

Michel Perronet écrit : « Les États de Béarn repoussèrent par deux fois leurs prétentions [les Laborde de Monpezat] de figurer dans la noblesse en faisant remarquer, en 1707, que l’anoblissement de terre était une pratique courante et qu’il ne suffisait pas à anoblir les familles. À aucun moment les Laborde ne purent prétendre à une reconnaissance de noblesse avant 1789 »[22].

« Quoi qu’il en soit, la noblesse étant en Béarn attachée au fief, tout roturier qui devenait possesseur d’une terre noble par mariage, par donation ou par acquisition devenait noble dès sa réception aux États et jouissait dès lors de tous les privilèges du second ordre dans la province. Sa réception était indispensable. Le 11 juillet 1672 les États condamnèrent un particulier qui s’était qualifié noble avant sa réception. Mais dès que l'intéressé avait été admis, il était noble « à part entière ». »[23],[24].

Les Laborde de Monpezat ont payé la capitation noble de 1721 à 1731, pour leurs terres nobles de Monpezat et Beaufranc, puis de nouveau en 1786 en Béarn[25]. Barthélemy de Laborde de Monpezat (1756-1843)[26], arrière-petit-fils de Jean de Laborde et de Catherine d'Arricau, dame de Monpezat, est inscrit sur les rôles de la capitation noble du Nébouzan en 1788[27],[28]. Pierre Grillon y voit une autre preuve de la noblesse de la famille et précise que les Laborde de Monpezat sont « parfaitement et authentiquement nobles »[7].

J. de Bertier, membre correspondant de la commission des preuves de l'ANF pour cette région, a publié un article sur La noblesse inféodée dans les Pyrénées (Bulletin ANF n°161 (1979)). Spécialiste de la question, il a publié une série d'articles sur les États du Béarn au sein de la Société des sciences, lettres et arts de Pau et du Béarn mais aussi un article sur le vote en 1789 du Second Ordre en Béarn (Bulletin ANF n°165 (1980)). Il écrit que les preuves de noblesse se font devant les États pour les résidents dans la province, que la noblesse par fiefs est acquise dès l'admission aux États et héréditaire pour tous les descendants, que l'assemblée de la noblesse de 1789 est dans un premier temps ouverte aux possesseurs de fiefs ouvrant le droit d'entrée puis le 22 avril 1789 aux nobles possédant des fiefs ne donnant pas le droit d'entrée et enfin le 25 avril 1789 à tous les nobles inscrits sur le rôle de la capitation. Les Laborde de Montpezat ne figurent pas sur la liste des votants donnée par J. de Bertier. Selon la généalogie écrite par J. Francez (1966) il est à noter que le chef de famille était alors un enfant de trois ans mais que deux adultes de cette même famille vivaient également à cette époque-là.

Les Laborde de Monpezat ne sont pas mentionnés dans les nobiliaires contemporains, et Pierre-Marie Dioudonnat les fait figurer dans ses ouvrages listant la noblesse d'apparence française.

La famille a obtenu de faire rectifier officiellement son patronyme (modifié sous la Révolution française), devenu de Laborde-Monpezat en 1860, puis de Laborde de Monpezat en 1861[29]. Et, depuis la fin du XIXe siècle, les descendants usent d'un titre irrégulier de comte — comme un préfixe non officiel, sous la forme « comte N. de Monpezat », au lieu de « N. de Laborde, comte de Monpezat » pour un titre régulier[30].

La branche aînée est installée au Danemark depuis 1967 mais d'autres membres de la famille sont toujours en France.

Généalogie simplifiée

Cette généalogie est en partie issue des travaux de J. Francez publiés en 1966 dans le Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées[5] :

  • Jean de Laborde épouse Jeannette de Bruchelles (native de Nay), ils ont dix enfants dont :
    • Jean de Laborde, il est baptisé en 1620, il épouse en 1648 Catherine d'Arricau, dame de Monpezat, il teste en 1675, ils eurent huit enfants dont :
      • Vincent de Laborde, il hérita de Beaufranc, il mourut sans alliance à Moncaup en 1730[31].
      • Noble Pierre-Paul de Laborde de Monpezat (1672-1730), il épouse Jeanne de Canet, fille de noble Charles de Canet, riche propriétaire à Baleix et à Séron. À Séron, en Bigorre, Pierre-Paul possédait 141 journaux de terre et une maison, mais sans seigneurie ni terre noble[5], où habiteront trois générations de Laborde de Monpezat. Ils eurent deux fils :
        • Noble Louis de Laborde de Monpezat (1711-1761), il épouse en 1740 Hélène Cazanave dite Noguez[31] (1713-1778), ils eurent plusieurs enfants dont :
          • Noble Antoine de Laborde de Monpezat (1743-1787), sa mère en 1773 l'institue dans un acte notarié héritier de ses biens en Béarn, dans lequel il est qualifié écuyer. Il se fixe à Moncaup, il épouse en 1773 Ursule de Boy, fille de noble Pierre de Boy (natif de Taron). Ils eurent trois enfants dont :
            • Jean de Laborde de Monpezat (1786-1863), il épouse en 1821 Jeanne Ferrier, il est l'ancêtre de la famille actuelle de Laborde de Monpezat.
          • Noble Barthélemy de Laborde de Monpezat (1756-1843)
        • Noble Antoine de Laborde de Monpezat, qualifié bourgeois[31], il épouse en 1738 Françoise de Larrotis, fille de Dominique de Larrotis, propriétaire au village de Pouts, dont :
          • Noble Louis de Laborde de Monpezat (1745-1807), il épouse en 1777 Marie Laban (native de Gardères), ils eurent une fille.

Principaux membres

  • Jean de Laborde de Monpezat (1786-1863) (neveu de Barthélémy), maire de Taron.
  • Philippe de Laborde de Monpezat (fils aîné de Jean), maire de Taron à la suite de son père.
  • Aristide de Laborde de Monpezat (1830-1888) (fils cadet de Jean), négociant et président du tribunal de commerce de Pau, maire de Pau de 1875 à 1881, chevalier de la Légion d'honneur.
  • Henri de Laborde de Monpezat (1868-1929) (fils d'Aristide), planteur d'un domaine de 25 000 hectares (d'hévéa, de riz, de café et de poivre) en Annam, journaliste et directeur du journal la Volonté Indochinoise qu'il crée en 1924[32], homme politique (délégué de l'Annam et du Tonkin au conseil supérieur des colonies[33]) et militant royaliste[32].
  • Jacques de Laborde de Monpezat (fils aîné d'Henri), colonel de la Légion étrangère, promu au grade d'officier de la Légion d'honneur.
  • André de Laborde de Monpezat (1907-1998) (fils cadet d'Henri), planteur, directeur du journal la Volonté Indochinoise, père de neuf enfants (quatre fils et cinq filles)[34],[35],[36].
  • Jean-Baptiste de Laborde de Monpezat (fils cadet d'André), marié au mannequin britannique Gillian Pretty, ex-épouse du philosophe Edward Goldsmith et ex-belle-mère de l'écrivain Mark Shand (en) (frère de Camilla, duchesse de Cornouailles).
  • Henri de Laborde de Monpezat (1934-2018) (fils aîné d'André), diplomate à Londres (1963 à 1967), devenu prince Henrik de Danemark lors de son mariage en 1967 avec la reine Margrethe II de Danemark. Prince consort du Danemark, lors de l'accession au trône de son épouse en 1972. Viti-viniculteur dans le Lot où la famille royale danoise a acquis le château de Caïx en 1975.

Branche aînée — danoise — de la famille

En 1967, Henri de Laborde de Monpezat (1934-2018) a été créé prince Henrik de Danemark à la faveur de son mariage avec la future reine de Danemark Margrethe II (née en 1940 et qui deviendra reine en 1972). Ils ont deux fils :

  • Frédéric (né en 1968), prince héritier de Danemark, marié avec descendance.
  • Joachim (né en 1969), prince de Danemark, marié avec descendance.

Le , la reine de Danemark a octroyé le titre de comte de Monpezat (greve af Monpezat en danois) à ses deux fils, leurs épouses et descendants, rappelant ainsi le souvenir des racines françaises de la famille. Ce titre régulier s'ajoute aux titres royaux danois existants.

À noter que, dans un souci de classification patrilinéaire, certains auteurs sont amenés à ranger Frédéric de Danemark et son frère cadet Joachim, ainsi que leur descendance, sous une rubrique officieuse : Maison de Laborde de Monpezat[37]. Le prince Joachim porte d'ailleurs, sur-le-tout de ses armes, un écusson personnel parti d'Oldenbourg (la maison royale du Danemark) et de Laborde de Monpezat.

Alliances

Les principales alliances de la famille de Laborde de Monpezat sont : de Bruchelles, d'Arricau de Monpezat (1648), d'Abadie de Montaut, de Canet, de Larrotis (1738), Cazanave (1740), Delom, de Boy (1773), Laban (1777), Serres (1787), Bonnefoy, Ducasse, de Plems[réf. nécessaire], Ferrier (1821), de Lostalot-Bachoué, Borde, Hallberg, Doursenot (XXe siècle), de Danemark (1967), Beauvillain, Vilgrain (XXe siècle), etc.[31]

Notes et références

  1. Joseph Valynseele, Les Laborde de Monpezat et leurs alliances, 1975.
  2. Joseph Valynseele, Les Laborde de Monpezat et leurs alliances, 1975.
  3. « Les Laborde de Monpezat et leurs alliances - Joseph Valynseele »
  4. « L'Intermédiaire des chercheurs et curieux 1967 p 81 »
  5. Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées, 1966, pages 14 à 16, article de J. Francez Attaches bigourdanes d'Henri de Monpezat.
  6. « L'Intermediaire des Chercheurs et Curieux, Volume 17 p87 »
  7. Compte-rendu de Pierre Grillon sur l'ouvrage de Joseph Valynseele consacré à la famille de Laborde de Monpezat, Revue historique, 1976, pages 485 à 486.
  8. Cote: C1378 - AD Pau.
  9. Les personnes convoquées qui ne voulaient ou ne pouvaient pas aller servir le roi choisissaient de s'exonérer de ce devoir par le paiement d'une taxe spéciale.
  10. « La Noblesse du Périgord: Au pays des 1.000 châteaux De Joëlle Chevé »
  11. « Histoire des institutions francaises au Moyen age Ferdinand Lot, Robert Fawtier Volume 1 - 1957 »
  12. « La Réforme sociale 1893 - Société des études pratiques d'économie sociale, »
  13. « Dictionnaire topographique du Département des Basses-Pyrénées Par Paul Raymond · 1863 »
  14. Société héraldique et généalogique de France Paris, Bulletin de la Société héraldique etʹgenéalogique de France, Société héraldique & genéalogique de France, (lire en ligne)
  15. « DOMENJADURE », sur www.lebearn.net (consulté le )
  16. .
  17. « Bulletin de la Société héraldique et genéalogique de France Volume 4 Par Société héraldique et généalogique de France, Paris 1885 »
  18. Joseph Valynseele, Les Laborde de Monpezat et leurs alliances, 1975 p. 59.
  19. Vicomte Jacques de Marsay, De l'âge des privilèges au temps des vanités. Essai sur l'origine et la valeur des prétentions nobiliaires (préface par M. le Duc de Lévis-Mirepoix), Éditions Contrepoint (réédition), . Jacques de Marsay écrit en 1932 (rééd. 1977, pp. 68-69) : « La condition à laquelle la grande recherche assujettit la reconnaissance de la noblesse d'extraction (aucune trace de roture avant 1560) établit évidemment une sélection dans les familles françaises. S'il est vrai, en effet, qu'un certain nombre parvinrent sans doute à se faire comprendre indûment dans cette catégorie, en revanche, toutes celles qui furent alors éliminées comme ne satisfaisant pas à cette exigence doivent manifestement en être aujourd'hui écartées. Les faits qui militaient alors contre leurs prétentions s'élèvent toujours contre celles de leur descendance. »
  20. « Revue historique Volume 255 p486 1976 »
  21. Henri Jougla de Morenas, Le Second ordre (1973) page 55.
  22. Michel Perronet, Annales du Midi, 1976, page 477.
  23. Studies on Voltaire and the Eighteenth Century, Institut et musée Voltaire, 1978, p. 262..
  24. Théophile de Bordeu, Correspondance, Volume 2, CNRS, 1977, p. 198..
  25. « Revue de Pau et du Béarn, Numéros 4 à 7 - 1976 »
  26. Barthélémy de Laborde de Monpezat - geneanet.org
  27. Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire français, (Paris, Sedopols, 2002). Le Simili-nobiliaire français regroupe les familles de fausse noblesse et de noblesse d'apparence et non les familles de noblesse authentique.
  28. Sabroe et Chaffangeon, Margrethe et Henri (Paris, Presse de la cité, 1967)
  29. Joseph Valynseele, Les Laborde de Monpezat et leurs alliances, 1975.
  30. Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence de Pierre-Marie Dioudonnat, Paris, 1976 -1997
  31. Au degré III, Alliance entre les de Canet et les Laborde de Monpezat - Texte et armoiries issus du livre "Les Laborde de Monpezat et leur alliances", de Joseph Valynseele.
  32. Gilles de Gantès, Une figure de proue de l’Indochine coloniale: Henri de Laborde de Monpezat 1868-1929, mémoire de DEA, Paris 7, 1990, 172 p., p. 7
  33. Gilles de Gantès, Une figure de proue de l’Indochine coloniale: Henri de Laborde de Monpezat 1868-1929, mémoire de DEA, Paris 7, 1990, 172 p., p. 31
  34. André de Laborde de Monpezat - geneall.net
  35. André de Laborde de Monpezat - geni.com
  36. (en) NobleCircles by MacGregor Sadolin - searchable genealogical database
  37. Prince Nikolai, fils de prince Joachim, rangé sous la rubrique « Maison de Laborde de Monpezat »

Bibliographie

  • Joseph Valynseele, Les Laborde de Monpezat et leurs alliances, chez l'auteur, Paris, 368 pages, 1975
  • Pierre-Marie Dioudonnat, Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, 4 vol., Sedopols, Paris, 1976-1997
  • Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées. 1966-1967 - p. 14 à 16 - par J. Francez (abbé Jean Marie Francez)
  • Historia, Numéros 242 à 247 - Librairie Jules Tallandier, 1967 - p. 96 à 101

Voir aussi

Résidences du couple royal danois

  • La résidence royale officielle est le palais Amalienborg à Copenhague (Danemark).
  • La résidence d’été de la famille royale est le château de Marselisborg Slot près de Aarhus.
  • Le château de Fredensborg sur l'île de Seeland est occupé par la famille royale au printemps et en automne.
  • La reine Margrethe et prince Henrik ont également acquis une demeure privée en 1974, près de Cahors (France), le château de Caïx (le couple royal préférant l'ancienne appellation de Cayx), où la reine peut se consacrer à sa passion, la peinture d'art et qui, depuis 1988, expose dans différentes galeries spécialisées.

Articles connexes

Liens externes

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