Félines-Minervois

Félines-Minervois (en occitan Felina de Menerbés) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Félines.

Félines-Minervois

  1. Héraldique

Héraldique
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes du Minervois au Caroux
Maire
Mandat
Anne Cabrié
2020-2026
Code postal 34210
Code commune 34097
Démographie
Gentilé Félinois
Population
municipale
480 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 48″ nord, 2° 36′ 05″ est
Altitude 149 m
Min. 143 m
Max. 916 m
Superficie 29,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Félines-Minervois
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Félines-Minervois
Géolocalisation sur la carte : France
Félines-Minervois
Géolocalisation sur la carte : France
Félines-Minervois

    Géographie

    Localisation

    C'est la commune la plus à l'ouest du département de l'Hérault. Située à l'extrême sud du Massif central, sur le versant méridional de la Montagne Noire. Elle est limitrophe du département de l'Aude.

    Carte.

    Communes limitrophes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 827 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Livinière », sur la commune de La Livinière, mise en service en 1992[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 650,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 24 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 14,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « les causses du Minervois »[15], d'une superficie de 21 805 ha, importants pour la conservation des gîtes et zones de chasse des chauves-souris cavernicoles que sont le Rhinolophe euryale , le Minioptère de Schreibers et le Murin de Capaccini[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] :

    • la « crête rocheuse de la Bourrasse » (398 ha), couvrant 4 communes dont deux dans l'Aude et deux dans l'Hérault[18] ;
    • les « crêtes de Tarigoule et du Rasès » (692 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;
    • les « garrigues de Jappeloup » (286 ha), couvrant 2 communes dont une dans l'Aude et une dans l'Hérault[20] ;
    • la « Gorge du Cros et causse de la Planette » (1 552 ha), couvrant 4 communes dont deux dans l'Aude et deux dans l'Hérault[21] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] :

    • les « crêtes et pièmonts de la montagne Noire » (27 188 ha), couvrant 26 communes dont 24 dans l'Aude et deux dans l'Hérault[22] ;
    • le « Haut Minervois » (21 605 ha), couvrant 26 communes dont cinq dans l'Aude et 21 dans l'Hérault[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Félines-Minervois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,4 %), cultures permanentes (10,1 %), zones urbanisées (0,9 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Héraldique

    Les armes de Félines-Minervois se blasonnent ainsi : d'or, à deux fasces de sable accompagnées de six coqs du même, 3,2,1[30].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Aux limites de la commune, dans les grottes de l'Abeurador[31] sises dans la Montagne noire, ont été découverts des pépins de lambrusques datés de 10 000 ans[32].

    Moyen Âge

    Au Moyen Âge, Félines, de même que Cassagnoles, était fief des seigneurs de Ventajou puis de la maison de Grave dès le IXème et XIIème siècle. Le château de Ventajou, dont les premières mentions datent de 813[33], fut rasé par Simon de Montfort lors de la croisade des Albigeois. Les ruines du château sont toujours visibles. Elles ont été très partiellement restaurées dans les années 2000.

    Période contemporaine

    Anciennement nommé Félines-Hautpoul, en référence à la famille Hautpoul, anciens seigneurs locaux, par décret du 18 janvier 1929, Félines-Hautpoul prit le nom de Félines-Minervois[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1965 Charles Barthe    
    1965 1971 René Mathieu    
    1971 1984 Jean Louvière    
    1984 1989 André Séguy    
    mars 1989 mars 2008 Régis Agussol    
    mars 2008 mai 2020 Jean-Pierre Pastre[35] SE Retraité
    mai 2020 En cours Anne Cabrié SE Enseignante
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2018, la commune comptait 480 habitants[Note 7], en augmentation de 5,03 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    595619702758888891859836809
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    798764712710737781754716750
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    825773730696653704671592565
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    546530467428394389371449474
    2018 - - - - - - - -
    480--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    (résultat 2011 en attente de validation)

    Lieux et monuments

    Carte postale du café du commerce (fin XIXe - début XXe siècle).
    • Dolmens du plateau de La Planette.
    • Église du XVIIe siècle. Dans cette église est conservée une dalle gravée des Ve et VIe siècles. Elle était utilisée autrefois comme linteau d'une maison du village, elle constituait peut-être à l'origine un élément d'un chancel (clôture du chœur de l'église). Elle est ornée de croix, de rouelles, de fleurons, d'orants (personnages qui prient les bras levés), d'une facture très naïve.
    • Ancienne carrière de marbre. Exploitée pour ses gisements de marbre turquin ou griotte du XVIIe au XVIIIe siècle.
    • Ruines du château et du village de Ventajou. À partir du XIe siècle, la population s'est regroupée sous les pentes du château. Le village est desservi par l'église Saint-Nazaire à l'écart des habitations. Défendu dès le mois d'août 1209 par Pierre-Roger de Ventajou, les défenseurs de cette citadelle ont résisté jusqu'à fin juillet 1210. En représailles, Simon de Montfort a fait abattre son donjon. Le château de Ventajou est reconstruit peu après. Château et village ne sont abandonnés qu’au XIVe siècle, après la chevauchée du prince de Galles.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre-Roger de Ventajou, seigneur et défenseur du château de Ventajou qui se soumit en 1210 à Simon de Montfort.
    • Maison de Grave.
    • Marcel Lignières né à Félines-Minervois en 1868 et décédé à Saint-Chinian en 1972. Instituteur, directeur d'école à Béziers et Montpellier, membre de l'Escolo moundino et de la Cigalo lengadouciano dont il fut l'archiviste, membre correspondant de la Société Littéraire et archéologique de Béziers. Il a publié Bentajou (1899), Cours élémentaire de grammaire et d'éducation civique, en collaboration avec Moustier et Bru (1928), Charlotte (1931), Grammaire pratique de langue d'Oc (1951), l'arpo d'Eolo (1956), L'hérésie albigeoise et la croisade (1964), La crounico de Moussu Tailhavigno (ms.), Lou vouiage en enfer (ms.).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Livinière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Félines-Minervois et La Livinière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Livinière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Félines-Minervois et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Félines-Minervois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101444 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Félines-Minervois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « crête rocheuse de la Bourrasse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « crêtes de Tarigoule et du Rasès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « garrigues de Jappeloup » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF la « Gorge du Cros et causse de la Planette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « crêtes et pièmonts de la montagne Noire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « Haut Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 42.
    31. Pour la grotte de l'Abeurador, voir Jean Vaquer et Marie-Pierre Ruas, « La grotte de l'Abeurador, Félines-Minervois (Hérault) : occupations humaines et environnement du Tardiglaciaire à l'Holocène », dans Mélanges offerts à Jean Guilaine : De Méditerranée et d'ailleurs, Toulouse, Archives d'Ecologie préhistorique, , 761-792 p., sur researchgate (lire en ligne).
    32. Michel Bouvier, Le vin, c'est toute une histoire, Jean-Paul Rocher Éditeur, Paris, 2009, p. 27. (ISBN 978-2-917411-23-0) (notice BnF no FRBNF42049612).
    33. http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=18522638
    34. « Cadastre (an XI-1975) », sur Archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
    35. Annick Koscielniak, « L’adieu ému de Jean-Pierre Pastre », sur Midi-Libre, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Anglade et René Fabre, « Félines-Minervois, moulin de "Biot", moulin à scier le marbre », Moulins de l'Hérault, nos 21-25, 2002-2006, p. 77-86
    • Charras René, « De quelques restaurations de moulins dans l’Hérault : les moulins de Félines-Minervois, Faugères et Saint-Chinian », Moulins de l'Hérault, no 20, , p. 255-275
    • Camille Lignières, Vie d'un instituteur centenaire de la IIIeme république, Uzès, H. Peladan, , 305 p.
    • Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives modernes de Félines-Minervois, Montpellier, Mission Archives 34, , 86 p.
    • Christian Pastre, Félines-Hautpoul, un village du minervois pendant la Révolution française : 1789-1799, [s.l.], [s.n.], , 106 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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