Duravel
Duravel est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.
Duravel | |||||
Entrée du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lot | ||||
Arrondissement | Cahors | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble | ||||
Maire Mandat |
Gérard Calassou 2020-2026 |
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Code postal | 46700 | ||||
Code commune | 46089 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Duravelois | ||||
Population municipale |
957 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 31′ 02″ nord, 1° 04′ 50″ est | ||||
Altitude | 88 m Min. 65 m Max. 271 m |
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Superficie | 14,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Puy-l'Évêque | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Lot
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Commune située dans le Quercy, sur l'ancienne ligne Monsempron-Libos - Cahors, entre Fumel et Puy-l'Évêque.
Communes limitrophes
Duravel est limitrophe de six autres communes.
Hydrographie
La commune est située au bord d'un méandre formé par le Lot qui lui sert de frontière naturelle dans sa partie sud avec la commune de Vire-sur-Lot.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 497 hectares ; son altitude varie de 65 à 271 mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec la RD 811 (ex RN 111) et la route départementale D 58.
Voir aussi l'ancienne gare SNCF sur la ligne de Monsempron-Libos à Cahors.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Anglars », sur la commune d'Anglars-Juillac, mise en service en 1989[8]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 796,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 34 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[15] : les « bois de la Croix Dominique, église de Cazes et vallons des ruisseaux de Cazes et de la Paillole » (419 ha), couvrant 2 communes du département[16] et le « cours inférieur du Lot » (1 209 ha), couvrant 25 communes dont 23 dans le Lot et deux dans le Lot-et-Garonne[17].
Urbanisme
Typologie
Duravel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (44 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (43,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44 %), zones agricoles hétérogènes (26,9 %), zones urbanisées (10,7 %), terres arables (7,2 %), cultures permanentes (6,2 %), eaux continentales[Note 5] (3,7 %), prairies (1,4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Selon Gaston Bazalgues, le toponyme Duravel est basé soit sur l'occitan dura qui désigne une terre nue, suivi de val, une vallée, soit sur le terme gaulois duros qui indique une forteresse[24].
Histoire
Ancienne ville gallo-romaine, Duravel, alors nommée DIOLINDUM[réf. nécessaire], a été fondée par les Romains pour être une station militaire sur la grande voie stratégique de Bordeaux à Lyon. (Malheureusement, les vestiges de ce temps ont disparu au cours des guerres de religion de 1596.)
Au XIe siècle, Duravel possède un prieuré dépendant de l'abbaye de Moissac fondée par Clovis et restaurée par Charlemagne. Les corps de trois saints originaires de Palestine et d'Égypte, Hilarion, Agathon et Poemon, y sont amenés. Ils se trouvent toujours dans l'église où depuis le XIIe siècle, ils sont l'objet de pèlerinages et, tous les cinq ans, d'une fête de l'ostentation.
1369, « guerre de Cent Ans », Duravel est attaquée par les Anglais sous les ordres de Robert Knolles. Ville peuplée alors de 6 000 habitants, elle résiste pendant six semaines et met les attaquants en déroute. En remerciement, le roi lui octroie des armoiries : De gueules, à une couronne fermée d'or, au chef d'azur, chargé de trois fleurs de Lis d'or[25].
Héraldique
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Son blasonnement est : « De gueules, à une couronne fermée d'or ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or. »[26]. |
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Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[27],[28].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Cahors de la communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble et du canton de Puy-l'Évêque.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].
En 2018, la commune comptait 957 habitants[Note 6], en diminution de 2,05 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[34] | 1975[34] | 1982[34] | 1990[34] | 1999[34] | 2006[35] | 2009[36] | 2013[37] |
Rang de la commune dans le département | 18 | 24 | 29 | 25 | 30 | 29 | 31 | 30 |
Nombre de communes du département | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 |
Au début du XXe siècle, Duravel comptait 1 026 habitants[38].
Enseignement
Duravel fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
Salle des fêtes, comité des fêtes, vitrine communale (petit musée)[39], mycologie, bibliothèque.
Activités sportives
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SYDED[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église romane de l'ancien prieuré Saint-Hilarion[41],[42] du XIe siècle, remarquable crypte carrée, un des rares édifices pré-romans que possède la France, la crypte est classée et l'église est inscrite au titre des monuments historiques[43],[44];
- Église Saint-Avit de Duravel. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1979[45].
- Les vestiges de l'église Saint-Avit inscrite au titre des monuments historiques[46],[47];
- Le château Boutier, partiellement inscrit au titre des monuments historiques[48],
- Vieilles maisons de bourg[49];
- Vestiges des remparts[50];
- Cabestan[51];
- lavoirs[52]...
- Sentier de grande randonnée GR 36.
Personnalités liées à la commune
- Charles Joubert (1875-1947) : vice-amiral et écrivain né sur la commune;
- Pierre Alexis Duclaux né sur la commune;
- Roger Veillard décédé sur la commune;
Pour approfondir
Bibliographie
- Marguerite Vidal (conservateur des musées de Moissac), Jean Maury (agrégé de l'université), Jean Porcher (conservateur en chef du cabinet des manuscrits à la Bibliothèque nationale) et Jean Dieuzaide (photographies), Quercy roman, La Pierre-Qui-Vire (Yonne), Éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 342 p. (ISSN 0768-0937, OCLC 77369786, notice BnF no FRBNF33215348, SUDOC 007394829, présentation en ligne), p. 145-174.
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Anglars - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Duravel et Anglars-Juillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Anglars - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Duravel et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Duravel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois de la Croix Dominique, église de Cazes et vallons des ruisseaux de Cazes et de la Paillole » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours inférieur du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN 2-910540-16-2, notice BnF no FRBNF40220401), p. 110.
- http://www.duravel-tourisme.com
- Victor Adolphe Malte-Brun, Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, Les éditions du Bastion, (réimpr. 1980), 58 p., p. 34
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- « Les maires de Duravel », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Le Lot partie Chemins de fer p.205 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
- La Dépêche du Midi, « Duravel. Inauguration à la vitrine communale », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Accueil », sur SYDED du Lot (consulté le ).
- Nelly Pousthomis-Dalle - L'église de Duravel (Lot) - pp.239-265 dans Congrès archéologique de France. 147e session. Quercy. 1989 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1993
- Marguerite Vidal, Jean Maury et Jean Porcher, Quercy roman, La Pierre-qui-vire, Éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 3e éd. (1re éd. 1959), 336 p. (ISBN 2-7369-0143-6, ISSN 0768-0937, OCLC 489892065, SUDOC 011528664), p. 139-152.
- Notice no PA00095064, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- http://www.duravel-histoire.fr/patrimoine/patrimoine-m%C3%A9di%C3%A9val/%C3%A9glise-saint-hilarion/
- « Eglise de Saint-Avit », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Notice no PA00095065, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- http://www.duravel-histoire.fr/patrimoine/patrimoine-m%C3%A9di%C3%A9val/saint-avit/
- Notice no PA00095305, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- http://www.duravel-histoire.fr/%C3%A9ditions/
- http://www.duravel-histoire.fr/patrimoine/patrimoine-m%C3%A9di%C3%A9val/remparts/
- http://www.duravel-histoire.fr/patrimoine/cabestan/
- http://www.duravel-histoire.fr/patrimoine/patrimoine-m%C3%A9di%C3%A9val/fontaines/
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