Donzac (Tarn-et-Garonne)

Donzac est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Donzac.

Donzac

L'église Saint-Barthelemy.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Rives
Maire
Mandat
Jean-Paul Terrenne
2020-2026
Code postal 82340
Code commune 82049
Démographie
Gentilé Donzacais
Population
municipale
1 043 hab. (2018 )
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 38″ nord, 0° 49′ 15″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 163 m
Superficie 13,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Donzac
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Donzac
Géolocalisation sur la carte : France
Donzac
Géolocalisation sur la carte : France
Donzac
Liens
Site web http://www.donzac.fr

    Géographie

    Localisation

    À l'extrême ouest du département de Tarn-et-Garonne, la commune de Donzac est située dans la vallée de la Garonne, sur la rive gauche. Elle est limitrophe du département de Lot-et-Garonne et à proximité du Gers.

    Son territoire est limité au nord par le fleuve et au sud par l'autoroute A62.

    Donzac est proche des grands axes de communication et de pôles urbains importants : Montauban et Castelsarrasin, préfecture et sous-préfecture du département, ne sont distantes que de 53 et 25 km. Toulouse est à moins de 100 km et Agen à environ 20 km. La bretelle d'accès à l'autoroute A62 est à km au sud-est.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    D'une superficie de 1 317 hectares, le territoire de Donzac s'inscrit entre deux ensembles de coteaux :

    • au nord, le Pays de Serres de l'Agenais ;
    • au sud, la Lomagne, ensemble de collines qui s'étend jusqu'au plateau calcaire du Lectourois et annonce la Gascogne.

    Le paysage de Donzac est représentatif de la structure géographique du département de Tarn-et-Garonne, à la rencontre des collines du pays de Lomagne et de la vallée de la Garonne.

    La commune est partagée entre la riche plaine alluviale au nord et les différents reliefs creusés au sud dans les coteaux et les plateaux.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 747 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence », sur la commune de Valence, mise en service en 1994[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 740,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 44 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[11] à 14 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Donzac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,8 %), cultures permanentes (29,2 %), terres arables (15 %), forêts (8,3 %), zones urbanisées (7,7 %), eaux continentales[Note 4] (4,9 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le village est attesté sous la forme Domeciaco, dès l'époque mérovingienne[19].

    Même origine que les différents Donzacq, Donzac du domaine occitan, ainsi que certains Donzy (Nièvre, Domiciacus en l'an 600) et Dancé (Orne, Domciacus en l'an 840) du domaine d'oïl[20].

    Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman dont la forme initiale devait être *DOMITIACU, nom en -ACU, basé sur le nom de personne latin Domitius[19] (porté par un indigène gaulois).

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Donzac-la-Montagne[21].

    Ses habitants sont appelés les Donzacais[22].

    Histoire

    Donzac est un très ancien village d'origine gallo-romaine, implanté au terminus d'une route de crête venue des Pyrénées.

    Dès le XIIe siècle, le village constituait un poids économique considérable et possédait notamment un marché et une foire. Donzac avait également un port qui servait aux marchandises de la proche région, et jouissait du rare privilège du commerce du sel à partir du port de Bonneau (sur la route de Saint-Sixte, Lot-et-Garonne).

    Au XIIe siècle, Donzac appartenait à la très riche abbaye de Saint-Sernin à Toulouse. Elle avait alors, à l'époque où l'unité du droit du royaume n'existait point, son propre droit coutumier développé par une charte.

    Au XIIe siècle, l'abbaye de Belleperche devint propriétaire terrien dans le territoire de l'actuelle commune, puis seigneur exclusif de Donzac en 1216. En 1270, dans le but d'ériger Donzac en bastide, l'abbaye contracte un paréage avec Alphonse de Poitiers, frère du roi Saint-Louis et comte de Toulouse.

    En 1271, il y a donc deux co-seigneurs, l'abbaye et la couronne de France. La première restera seigneur principal jusqu'à la Révolution française, en 1789. Les Armagnac puis les Albret obtiendront la part du roi de France Les moines de Belleperche avaient leur château seigneurial au centre du village, face à l'actuelle mairie, ancienne maison Sazy. On peut encore voir une belle fenêtre sculptée à meneaux sur la façade de cette demeure, véritable témoignage en pierre de cette époque. La bastide était alors composée de deux carrés concentriques encerclant un espace autour du puits public. Les fossés ont disparu par destruction aux alentours de 1832.

    En 1279, l'Agenais passe aux Anglais et Donzac reçoit les consuls britanniques.

    Pour la petite histoire, l'hiver 1624 fut si terrible à Donzac, le froid si glacial, que le vin se mit à geler dans les barriques.

    Celles-ci d'ailleurs ne résistèrent guère à cette glace : leurs bondes et leurs fonds sautèrent et le vin se répandit dans les chais. Par ailleurs, le froid n'épargna pas non plus les arbres fruitiers puisqu'aucun figuier n'a pu résister, et les vignes ont gelé sur pied.

    Cette période de froid a duré la bagatelle de 6 mois...

    [réf. nécessaire]

    À la création des départements, en 1790, Donzac faisait partie du département de Lot-et-Garonne. Mais le , pendant le Premier Empire, Napoléon Ier décide de créer un département supplémentaire, celui de Tarn-et-Garonne, en y incluant entre autres Donzac.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours Jean-Paul Terrenne PRG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 1 043 habitants[Note 5], en augmentation de 3,57 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    764909891852895871857832839
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    843809819839797803764682643
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    674622602545536549528560492
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    5145645175886887989649881 013
    2017 2018 - - - - - - -
    1 0451 043-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • La cave de Donzac : L'histoire des côtes-du-Brulhois, le vin noir du sud-ouest. Auprès de cette grande voie de communication qu'est la vallée de la Garonne, le vignoble et les vins du Brulhois sont repérés depuis l'époque gallo-romaine. Au début du XIVe siècle, sous l'occupation anglaise, ce terroir exporte 48 000 hectolitres de vin par le fleuve, mais aussi de célèbres faïences. Le pays du Brulhois, vicomté rebelle, est divisé après la Révolution en trois départements et plus tard en deux régions. Au XXe siècle, le nom même du Brulhois est quasiment oublié. Mais la vigne s'accroche toujours à cette terre. Depuis trente ans l'essor du vignoble lui redonne nom et fierté. En 1984, la reconnaissance en appellation d'origine (AOC) consacre la valeur des vins du Brulhois et la pugnacité des vignerons. La Confrérie des vins du Brulhois célèbre régulièrement la qualité de ces vins tirés de l'oubli et contribue à leur promotion.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine Religieux

    • La chapelle Notre-Dame de Donzac[26] ou chapelle des Mariniers. Il existe à l'entrée du village une chapelle voûtée en berceau. Cet élégant édicule a remplacé, au cours du XIXe siècle, un ancien oratoire où jadis les bateliers de la Garonne venaient invoquer Notre Dame de la Pitié. En effet, dès le XIVe siècle, l'accès à la Garonne était assuré par un port majestueux qui servait à la distribution de toutes les marchandises de la région, et Donzac tenait lieu d'oratoire pour les bateliers et moines navigateurs. Le transport fluvial a permis l'exportation du vin dès 1306.
    • Église Saint-Barthélemy ou Église de l’Assomption[26]. Le clocher a été inscrit au titre des monuments historiques en 1925[27]. Cette église a été rebâtie en 1880 par Théodore Olivier dans le style néo-gothique. Le clocher, du XIVe siècle, est une tour carré de deux étages en retrait et de hauteurs inégales. Avec les baies géminées inscrites dans une arcade et surmontées d'un oculus losangé, on y retrouve les traditions des clochers toulousains. Le caractère original de cette tour consiste en ce que deux de ses façades reposent sur les murs de l'église, tandis que les autres sont supportés par un arc brisé très robuste qui relie les côtés nord et ouest. Il ne reste de l'ancienne église que le clocher du XIIIe siècle, grosse tour très élevée, surmontée d'un cône légèrement tronqué et flanqué de quatre tourbillons reliés entre eux par une balustrade de forme romane.
    • Église Saint-Martial-en-Condomois de Donzac[26]. Elle fut donnée par Guillaume, évêque d'Agen, en 1255 à l'abbaye de Belleperche. Cette église, construite en pierres appareillées, est d'origine romane. Elle a été très remaniée, surtout au XVIe siècle. Seul le chevet semi-circulaire n'a pas été rebâti, du moins à la base. On peut y voir des marques de tâcherons. Située en dehors du bourg, elle constitue une sorte d'annexe qui domine le petit ravin de le Caille.

    Patrimoine civil

    • Conservatoire des Métiers d'Autrefois.
    • Agir sur la terre, c'est agir sur l'esprit : Face à l'hôtel de ville, sculpture réalisée par Dominique Singer en 1992, elle représente un bras « fragment » sans doute d'appartenance divine, labour des sillons dans l'archéologie d'une intime profondeur. Sur le sol, subsiste l'empreinte de ce qui reste de l'effort, la marque évidente de la présence humaine symbolisée par une trace de pied dans l'avant-bras.[incompréhensible] La vie de la vigne et de la terre se prépare en secret à nous livrer au bonheur.
    • Le lac des sources et son arboretum : lieux de pêche, de pique-nique et de camping-cars.
    • Grenier à grains : Cette bâtisse est le plus ancien grenier à grains existant de nos jours. Elle fut la propriété exclusive de l'abbaye de Belleperche dès 1216. Ce grenier serait relié par un souterrain au château seigneurial qui servait de logement aux abbés cisterciens et moines navigateurs.
    • Le lavoir : Au-delà de son utilité première, les lessives, le lavoir était un véritable lieu de vie où les paroles des lavandières se mêlaient au clapotis de l'eau. Actuellement, la visite d'un lavoir laisse un brin de nostalgie, un souvenir un peu flou de nos aïeules, savon de Marseille en main, effectuant un geste quotidien. De plus, il est important de savoir que celui-ci est alimenté par plusieurs sources.[pertinence contestée]

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Valence - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Donzac et Valence », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Valence - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Donzac et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1979. p. 239.
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit..
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Communes en D », sur Diocèse de Montauban (consulté le )
    27. « Eglise Saint-Barthélémy », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    • Portail de Tarn-et-Garonne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.