Cricquebœuf

Cricquebœuf est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 280 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Criquebeuf.

Cricquebœuf

L'église Saint-Martin dite « chapelle aux lierres ».
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville
Maire
Mandat
Albert Depuis
2020-2026
Code postal 14113
Code commune 14202
Démographie
Gentilé Cricquebœuvien
Population
municipale
280 hab. (2018 )
Densité 151 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 08″ nord, 0° 08′ 44″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 143 m
Superficie 1,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Trouville-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Honfleur-Deauville
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Cricquebœuf
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Cricquebœuf
Géolocalisation sur la carte : France
Cricquebœuf
Géolocalisation sur la carte : France
Cricquebœuf
Liens
Site web www.cricqueboeuf.com

    Géographie

    Couvrant 185 hectares, le territoire de Cricquebœuf était le moins étendu du canton d'Honfleur.

    Communes limitrophes de Cricquebœuf[1]
    la Manche La Manche Pennedepie
    Villerville Pennedepie
    Villerville,
    Trouville-sur-Mer
    Saint-Gatien-des-Bois, Pennedepie Pennedepie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 773 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gatien des B », sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 916,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Cricquebœuf est une commune rurale[Note 6],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[18] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (70,7 %), zones urbanisées (19 %), terres arables (8,8 %), zones humides côtières (1,1 %), forêts (0,5 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom du village est attesté sous les formes Crikeboe en 1198, Crikebuef en 1200[28].

    La similarité des formes anciennes de ce toponyme avec celles de Criquebeuf-la-Campagne (Eure, Crikeboe 1204), Criquebeuf-sur-Seine (Eure, Crikboe XIIe siècle) ou encore Criquebeuf-en-Caux (Seine-Maritime, Crichebou 1079)[29],[30],[28], villages situés tous dans la zone de diffusion de la toponymie anglo-scandinave en Normandie orientale, nous montrent qu'il s'agit en réalité d'un nom de lieu en -beuf et non pas en -bœuf comme pourrait le laisser penser la forme moderne. En effet, dans le Calvados, où il reste exceptionnel, les toponymes en -beuf sont souvent écrits -bœuf par analogie avec le nom de l'animal contenu dans les microtoponymes du type Escornebœuf ou Tubœuf.

    Cet élément s'explique par le vieux norrois buth (búð) / both (bóð) « barraque, village »[29],[30], comme en témoignent les formes les plus anciennes de nombreux lieux en -beuf / -bœuf cf. Daubeuf-la-Campagne (Eure, Dalbuoth 1011), Elbeuf (Seine-Maritime, Wellebuoht 1070 - 81, cacographie pour *Wellebuoth) ou encore Lindebeuf (Seine-Maritime, Lindebeod 1142)[29],[30] tous situés en Normandie orientale.

    Le premier élément Cricque- jadis graphié Crike- comme le montrent les formes anciennes, s'interprète sans doute par le vieux norrois kirkja « église »[29],[30] par évolution phonétique romane (métathèse de [r] et amuïssement de la finale). Il n'y a en revanche pas lieu d'y reconnaître le vieux norrois kriki qui a donné le français crique comme le laisseraient penser la phonétique et la localisation de Cricquebœuf. La plupart des autres noms en Crique- ou -crique ne sont pas situés sur le littoral ou au bord d'une rivière.

    En outre, on peut mettre en parallèle les Criquebeuf de Normandie avec les Kirkby et Kirby de Grande-Bretagne, dont l'élément kirk- ou Kir- s'explique par le scandinave dans la plupart des cas et que l'on retrouve dans l'anglais dialectal ou le scots kirk.

    Exemples[29],[30]
    NormandieGrande-Bretagne
    Criquebeuf (*Kirkeboth) Kirkby
    Daubeuf (*Dalboth) Dalby
    Elbeuf (*Welleboth) Welby

    Le gentilé est Cricquebœuvien.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965[31] mars 2008 Jean-Gaston Moore SE Avocat
    mars 2008 En cours Albert Depuis[32] SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 280 habitants[Note 8], en augmentation de 5,66 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    136112109123121121138134105
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    93102114123133134143150163
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    184159143150134113138124126
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    127169130172186182208201300
    2018 - - - - - - - -
    280--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin (XIIe siècle), est appelée « chapelle aux lierres », car elle en est recouverte. Elle est inscrite au titre des monuments historiques[37]. Ce sanctuaire possède un clocher dont le toit est « en bâtière », ce qui signifie que son toit a deux versants opposés, les deux côtés formant pignon. Ce genre de disposition architecturale est fréquent en Basse-Normandie, mais ne se rencontre pas en Haute-Normandie.

    Cricquebœuf et la littérature

    L'écrivain et humoriste Alphonse Allais, originaire de Honfleur, notait[38] « En revennant de Villerville ou en y allant, ne pas manquer de visiter l'hôtel de ville de Cricquebœuf. Ce monument, par son style et ses dimensions, rappelle à s'y tromper le tombeau de famille de M. Thiers au Père-Lachaise. »

    Personnalités liées à la commune

    • Francia Séguy (1914-2013 à Cricquebœuf), actrice.
    • Charles-Albert Walhain (1877-1936), sculpteur et artiste peintre, a habité le clos des Renards[réf. nécessaire].
    • Yves Mirande (1876-1957), dramaturge, scénariste et réalisateur, le clos des Renards[réf. nécessaire].
    • Jane Mayer dite Jane Marnac (1892-1976), actrice et cantatrice, a habité Le clos des Renards[39].
    • Marcelle Jeanniot (1879-1965), comédienne, fille de l'artiste peintre Pierre Georges Jeanniot et épouse de l'acteur Charles Dullin, a habité le clos des Renards[réf. nécessaire].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Cricquebœuf et Saint-Gatien-des-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Gatien des B - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Cricquebœuf et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes ..., Volume 2, Librairie Droz, Genève 1991. p. 1014 / 18272.
    29. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 97
    30. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 64
    31. « Jean-Gaston Moore a été maire durant 43 ans », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. Réélection 2014 : « Cricquebœuf (14113) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Chapelle aux Lierre », notice no PA00111264, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Alphonse Allais, Les Pensées, éditions Le Cherche midi, p. 137.
    39. « Droit à une commission pour l'intermédiaire chargé de la vente d'un immeuble », Revue juridique et fiscale de l'entreprise, , p. 370 (lire en ligne)
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