Courcy (Marne)

Courcy est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est. Situé à environ 10 km au nord de Reims, le village fut l'objet de très violents combats pendant la Première Guerre mondiale.

Pour les articles homonymes, voir Courcy.

Courcy

La maison commune.
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Reims
Maire
Mandat
Martine Jolly
2020-2026
Code postal 51220
Code commune 51183
Démographie
Gentilé Courcéens, Courcéennes
Population
municipale
1 132 hab. (2018 )
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 26″ nord, 4° 00′ 12″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 161 m
Superficie 15,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourgogne-Fresne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Courcy
Géolocalisation sur la carte : Marne
Courcy
Géolocalisation sur la carte : France
Courcy
Géolocalisation sur la carte : France
Courcy

    Géographie

    Situation

    Situé dans le secteur septentrional du Pays Rémois, entre la Butte de Brimont et la Montagne de Saint-Thierry, le terroir de Courcy est nettement délimité à l’ouest par la route nationale 44 menant de Reims à Laon et, à l’est, par la route départementale 966 allant de Reims à Neufchâtel-sur-Aisne.

    Transports

    La gare de toile du Fresnois.

    Le village est traversé par le canal de l'Aisne à la Marne.

    Du point de vue des transports en commun, il est desservi par la gare de Courcy - Brimont sur la ligne de Reims à Laon.

    En septembre 1901 la gare du Fresnois fut construite par la Compagnie des chemins de fer de l'Est pour la revue de Bétheny le 21 faite devant le président de la République Loubet et le tsar Nicolas II.

    Lieux-dits

    Rocquincourt a longtemps été un village indépendant. Cité comme Cortis Rucunicus en 886[1]. Elle avait une église placée sous le vocable de Pierre, elle était une annexe de celle de Courcy et était à l'écart de toute habitation. Elle fut détruite et ses pierres ont servi à la construction du séminaire de Reims après une ordonnance de l'archevêque de Reims du 22 novembre 1682.

    Urbanisme

    Typologie

    Courcy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), forêts (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), zones urbanisées (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Des fouilles ont mis au jour des tombes gauloises, au lieu-dit les Thomois et au bois Soulains. Mais, historiquement, son origine remonte à l’occupation romaine. Courcy doit son nom au premier propriétaire gallo-romain, Curtius.

    À partir du XIIe siècle, Courcy est sous la dépendance à la fois, du trésorier de l’église de Reims, seigneur de Courcy et de l’abbé de Saint-Thierry.

    Moulin aujourd'hui disparu.

    En 1359, en pleine guerre de Cent Ans, le village de Rocquincourt, situé entre Courcy et Brimont, est complètement ravagé par une chevauchée anglaise. Confinant à Courcy, il en devient un hameau, mais conserve longtemps son nom propre. Un lieu-dit portait encore en 1911 le nom de « Cimetière de Rocquincourt ». Il était situé au-delà de la ligne de chemin de fer de Reims à Laon, à laquelle il confinait, au nord-est de la gare de Courcy, et derrière l’enclos de la Verrerie de l’époque (avant 1914). D’ailleurs, jusqu’au XVIIIe siècle, Courcy porte le nom de Courcy-Rocquincourt.

    Entre 1822 et 1870, La Neuvillette devient elle aussi un hameau de Courcy. C’est durant cette époque que Courcy est de nouveau divisée en deux agglomérations, séparées par la ligne de chemin de fer Reims-Laon et le canal de la Marne à l’Aisne.

    La verrerie et le canal.

    Au nord de ces deux voies, le Baron de Sachs, associé de la maison de Champagne Veuve Clicquot, construit, à l'emplacement de l'ancien cimetière de Rocquincourt, la verrerie et sa cité vers 1870[Note 3]. Elle est d'abord gérée par M. Denis, sous la raison sociale Denis et Cie, puis par Pierre Givelet à partir de 1898, qui avait appris le métier à la verrerie de Loivre. La verrerie de Courcy devient la société en commandite par actions Givelet et Cie dont le président du conseil de surveillance était M. de Sachs[9]. Un important mouvement syndical s'est développé en Champagne entre 1890 et 1900 en liaison avec les verriers de Carmaux (Albi). En 1907, l'usine compte 151 ouvriers[9].

    Au sud, le village proprement dit reste essentiellement agricole. À la veille de la guerre de 1914, l’agglomération compte environ mille habitants, le maire en est monsieur Gacoin, le curé l’abbé Gilimare, et l’instituteur monsieur Lorin. Avec le développement de l'aviation et les Grande Semaine d'aviation de la Champagne une gare de chemin de fer se développe, une école d'aviation de l'entreprise Deperdussin.

    L'école d'aviation Deperdussin.

    Pendant la Grande guerre :

    La 10e brigade de la 5e DI (36e et 129e RI) arrive jusqu'au canal le 13 septembre 1914 au soir. Le 129e, en tête, occupe alors la Verrerie de Courcy, les ponts et le village. Le 17 à 20h00-22h00, le 1er bataillon du 39e RI, stationné à Saint-Thierry, rejoint Courcy où il est à la disposition du commandant de la 10e brigade pour étayer la défense de la rive ouest du canal. Dans la nuit du 17 au 18 septembre, alors que le 1er bataillon du 39e RI passe à l'est du canal pour aller relever le bataillon du 129e RI en place à la Verrerie, les Allemands attaquent. Le résultat est que la Verrerie est perdue, puis les ponts sur le canal, et enfin le village de Courcy. Tout le monde se replie, un peu en désordre sur Saint-Thierry sans être poursuivi par les Allemands. Le village de Courcy est repris par les Français peu de temps après, les Allemands restant sur la rive est du canal. Et le front dans ce petit secteur ne bougera plus jusqu'au 5 octobre 1918.

    Courcy sur une photographie aérienne du 24 avril 1917.
    Le régiment russe entrant dans le village lors de l'offensive Nivelle sur le chemin des Dames.
    Cavaliers de Courcy.

    Situé sur la ligne de feu durant les quatre années de la guerre, le village fut repris alternativement plusieurs fois par chacun des deux belligérants. Notamment le , c’est la première brigade russe du corps expéditionnaire qui reprend le village[10],[11].

    Entièrement détruit lors des combats, le village faillit même ne pas être reconstruit, comme d’autres dans le département de la Marne. C’est grâce à l’opiniâtreté et à l’engagement de monsieur Pierre Givelet (futur maire de Courcy), directeur de la verrerie avant 1914, qui prit l’engagement de reconstruire son usine que le village fut sauvé. La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le .

    Également détruite pendant la Première Guerre mondiale, la verrerie est reconstruite le long du canal vers 1920. M. Émile Charbonneaux devint le nouveau président du Conseil de surveillance. M. Charles de Grandrut n'ayant pas l'intention de reconstruire la verrerie de Loivre. M. Givelet lui racheta le fonds de commerce et les dommages de guerre afférents. La société pris le nom de « Verreries de Courcy et de Loivre réunis - Givelet et Cie ». La cité ouvrière fut reconstruite en premier. Une nouvelle chapelle est construite en 1923, à l'emplacement de la première usine. En 1929, Jacques Givelet, en devint le cogérant avec son père Pierre. À la suite de la crise économique de 1929-1930, l'activité a cessé en 1933. Les machines furent démontées et remontées à la verrerie Charbonneaux à Reims, qui en avait repris l'actif et le passif[9].

    Au milieu des années 1920, la décision est prise de construire une base aérienne pour l’armée de l’air sur le terrain qui comportait déjà des activités aériennes avant la guerre : l'actuelle Base aérienne 112 Reims-Champagne « Commandant Marin la Meslée » qu'on appelait autrefois « base aérienne de Reims-Courcy » quoique construite à cheval sur les communes de Courcy et de Bétheny. Elle est la cible de bombardements et de mitraillage pendant la Seconde Guerre mondiale. Le village dont les habitants avaient été tous évacués le fut entièrement pillé durant cette période.

    L’après-guerre a vu une restructuration et un développement considérable de l’agriculture, activité principale de la commune. À la fin du XXe siècle, le village est particulièrement dynamique avec de nombreuses associations tant sur le plan sportif que culturel.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune, antérieurement membre de la communauté de communes des Deux Coteaux, est membre, depuis le 1er janvier 2014, de la communauté de communes du Nord Champenois.

    En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du 15 décembre 2011[12], cette communauté de communes du Nord Champenois est issue de la fusion, le 1er janvier 2014, de :

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1822 1830 Henri Hériot de Vroil    
    XIXe siècle   Jules Hériot de Vroil    
    avant 1874 après 1879 Démolin[15]    
     ? ~1914 Gacoing    
    avant 1988  ? Paul Obers    
    1989 2001 Christian Desgrippes UMP[16]  
    Les données manquantes sont à compléter.
    2008[17] En cours
    (au 4 juillet 2014)
    Martine Jolly   Réélue pour le mandat 2014-2020[18]

    Jumelages

    Square du jumelage.

    La ville est jumelée avec Werschau en Allemagne.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 1 132 habitants[Note 4], en augmentation de 1,43 % par rapport à 2013 (Marne : −0,45 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    335351303340551589589609601
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    591581608655890792850851978
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9109891 0115589331 0085696311 201
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 2721 2678709751 1871 1501 3971 2881 034
    2018 - - - - - - - -
    1 132--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune compte une école maternelle, une école primaire ainsi que le regroupement pédagogique de Courcy-Brimont.

    Santé

    Courcy accueille une maison médicale regroupant deux médecins, deux infirmières et un kinésithérapeute, ainsi qu'une caserne de sapeurs-pompiers (corps de première intervention).

    Loisirs

    • Terrain football,
    • Courts de tennis,
    • Terrain de pétanque.

    Le village a également été traversé de part en part par le Tour de France 2002, le 9 juillet, lors de l'étape Metz - Reims. À cette occasion, de nombreuses décorations et animations ont été mises en place, notamment un totem de vélos.

    Économie

    De nombreux agriculteurs produisent essentiellement : du blé d'hiver, de l'orge d'hiver et de printemps, des pois protéagineux, de la betterave sucrière, de la luzerne, du colza, du maïs et du tournesol. La commune compte un silo de stockage de grain.

    Sur le territoire de la commune, se trouve également une friche correspondant à l'ancienne base aérienne 112 « Commandant-Marin-la-Meslée », fermée et définitivement délaissée par l'armée le 30 juin 2012. Cette friche fait l'objet du projet "Microville 112[23]", mené conjointement par la Mairie et la SCIC Alliance Sens et Economie[24]. Ce lieu devient ainsi un territoire d'expérimentation qui se veut phare pour l'agglomération et pilote à l'échelle nationale et internationale en matière de co-construction de la ville durable. De nombreux acteurs, locaux ou non, sont associés à cette démarche.

    Certaines parcelles agricoles de la commune pourraient prochainement entrer dans la zone de production du champagne (AOC).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Rocquincourt. Le seigneur était, en 1443, Pierre Toignel, sire de Taissy et de Mont-saint-Pierre ; puis Guillaume Toignel, en 1496, écuyer et seigneur de Contreuve et de Rocquincourt. Puis Nicoals de Bezannes, sieur de Grandpré et Rocquincourt en 1625 avant de passer à Nicole Martin en 1643 qui était l'arrière grand-mère de Jean-Baptiste Colbert. Marie Colbert vendait le château, 16 000 Livres à Louis Lagoille bourgeois de Reims le 25 mars 1698 qui fut ensuite vendu à Joseph-Antoine Béguin le 7 septembre 1731, seigneur de Coucy et Chalons-sur-Vesle. Il passait ensuite dans les mains de Antoine Lespagnol de Villette, puis à M. Ruinart de Brimont qui le donnait en dot à sa fille qui se mariait avec le sieur Hériot de Vroil.
    • Un monument en hommage aux soldats russes, libérateurs de la ville en 1917[25],[11].
    • L'église dédiée à saint Hippolyte ainsi qu'à sainte-Thérèse de l'enfant Jésus.
    • Le monument aux morts est classé à l'inventaire des monuments historiques[26].
    • La verrerie est classée à l'inventaire des monuments historiques[27].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Une lettre du Conseil d'Hygiène et de la Salubité au sous-préfet en 1876 indique que cette verrerie existait déjà depuis plusieurs années. Le dossier déposé à la mairie de Courcy a disparu pendant l'occupation allemande de 1870.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. A. Longnon, Dictionnaire topographique du département de la Marne, p229.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Texte réunis et commentés par Marc André et Michel De Paepe, La verrerie champenoise Charbonneaux -BSN Reims, de 1870 à nos jours, Dié, La Manufacture, .
    10. Robert Clément, « La Brigade Russe à Courcy », Bulletin communal de Courcy, (lire en ligne).
    11. Courcy : Monument aux soldats Russes
    12. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
    13. « Arrêté préfectoral du 29 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération Intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes de la Colline, de la Communauté de communes de la Petite Montagne, de la Communauté de communes des Deux Coteaux et de la Communauté de communes du Massif », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 ter, , p. 18-21 (lire en ligne).
    14. « Avant la fusion des communautés Les derniers vœux de la Colline », L'Union, (lire en ligne).
    15. Almanach Matot-Braine de 1879, p225.
    16. Annuaire des mairies de la Marne, EIP/ Les Editions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 978-2-35258-151-2, lire en ligne), p. 67.
    17. Liste des maires de la Marne au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
    18. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Microville 112 », sur m112.3bnef.com (consulté le ).
    24. (en-US) « Communauté des (co)producteurs d'une économie responsable - AS&E 2020 » (consulté le ).
    25. « Courcy : un nouveau monument aux soldats russes en France », sur Le Courrier de Russie, (consulté le ).
    26. « Monument aux morts à Courcy », notice no IA51000531, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Verrerie à Courcy », notice no IA51000188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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