Conches-sur-Gondoire

Conches-sur-Gondoire est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Conches et Gondoire.

Conches-sur-Gondoire

L'église paroissiale et la mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Marne et Gondoire
Maire
Mandat
Martine Daguerre
2020-2026
Code postal 77600
Code commune 77124
Démographie
Gentilé Conchois
Population
municipale
1 756 hab. (2018 )
Densité 1 155 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 21″ nord, 2° 42′ 55″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 111 m
Superficie 1,52 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Lagny-sur-Marne
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Conches-sur-Gondoire
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Conches-sur-Gondoire
Liens
Site web conches-sur-gondoire.fr

    Géographie

    Conches-sur-Gondoire est située entre les villes de Lagny-sur-Marne et Bussy-Saint-Georges. Les vallées de la Gondoire[1] et de la Brosse constituent un espace vert protégé de quelques centaines d'hectares, aujourd'hui en voie d'aménagement et apprécié de la population et qui, à Conches-sur-Gondoire, forme le poumon vert de la petite commune qui grimpe à partir de son ru paressant entre les deux flancs de sa conche. Cependant il nous faut remiser aux neiges d'antan la vision idyllique du poète qui écrivait sur Conches, à l'époque de Lamartine : "Le territoire des environs de l'église ne consiste qu'en vergers, arbres fruitiers et bocages..." (Michelin 1829).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le système hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la Gondoire, longue de 12,11 km[2] qui conflue avec un bras de la Marne.

    Sa longueur linéaire globale sur la commune est de 1,71 km[3].

    Climat

    Conches-sur-Gondoire, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[4],[5],[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Conches-sur-Gondoire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 27 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés[15].

    Occupation des sols

    En 2018[16], le territoire de la commune se répartit[Note 4] en 54,4 % de zones agricoles hétérogènes[Note 5], 40,2 % de zones urbanisées, 5,3 % de terres arables et < 0,5 % de forêts[3],[17].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 697 dont 94,4 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 5,6 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 1,9 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,8 % contre 9,4 % de locataires[18] dont, 1,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,8 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Panneau d'entrée.

    Auparavant, la commune était simplement désignée sous le nom de Conches, appellation encore fréquemment utilisée dans le langage courant. La dénomination actuelle a été officialisée en 1993 [19].

    Conches aurait été, à l'époque des grands bouleversements géologiques, un endroit privilégié où aimaient se rassembler, en concentrations remarquées, de ces petits mollusques des marais appelés buccins aux coquilles en forme de conques, assez communs en Île-de-France, et qui auraient, par la suite, donné leur nom, à notre lieu-dit.
    Le nom de Conches proviendrait de la coquille Saint-Jacques qu'arboraient les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui, empruntant l'ancien Chemin Pavé de Meaux à Paris (aujourd'hui la D 217 bis), ils étaient hébergés sur le passage soit au prieuré de Conches soit à l'auberge ou à la chapelle du Chemin (Guermantes)[réf. nécessaire]. Pour d'autres, ce nom proviendrait de la forme conchoïdale évidente de la petite vallée de la Gondoire qui traverse le relief de la commune et lui prête son nom. Quelques autres, en voie de recherche, vous diront que cette appellation ne serait autre que la traduction d'un ancestral lieu-dit "les Sources" (« Conchas », en vieux langage poétique vernaculaire), illustrant ainsi la présence de très nombreuses sources qui, en raison de la couche argilo-marneuse omniprésente, sourdaient de partout, en ces lieux, bien avant l'habitat, sur les pentes de la conche, les envahissaient et cascadaient vers le ru actuellement dénommé Gondoire, domestiquées par la suite en puits et fontaines presque aussitôt rendus atones par l'installation de l'eau courante dans l'habitat, celles-ci restant cependant toujours présentes dans les circuits souterrains.

    La commune était autrefois homonyme exacte de l’actuelle Conches-en-Ouche (Eure) qui a reçu l’appellation composée à une date inconnue, estimée entre 1882 et 1943.

    Histoire

    Les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui, empruntant l'ancien Chemin Pavé de Meaux à Paris (aujourd'hui la D 217 bis), étaient hébergés sur le passage soit au prieuré Son nom proviendrait de la forme conchoïdale évidente de la petite vallée de la Gondoire qui traverse le relief de la commune et lui prête son nom. Quelques autres, en voie de recherche, vous diront que cette appellation ne serait autre que la traduction d'un ancestral lieu-dit les Sources (« Conchas », en vieux langage poétique vernaculaire), illustrant ainsi la présence de très nombreuses sources qui, en raison de la couche argilo-marneuse omniprésente, sourdaient de partout, en ces lieux, bien avant l'habitat, sur les pentes de la conche, les envahissaient et cascadaient vers le ru actuellement dénommé Gondoire, domestiquées par la suite en puits et fontaines presque aussitôt rendus atones par l'installation de l'eau courante dans l'habitat, celles-ci restant cependant toujours présentes dans les circuits souterrains... Enfin, en dernière projection, quelques imaginations non moins fertiles vous lanceront que ce lieu dénommé Conches aurait été, à l'époque des grands bouleversements géologiques, un endroit privilégié où aimaient se rassembler, en concentrations remarquées, ces petits mollusques des marais appelés buccins aux coquilles en forme de conques, assez communs en Île-de-France, qu'on peut encore trouver dans les lacs des environs et qui auraient, par la suite, donné leur nom, à notre lieu-dit.

    Le village de Conches dont l'église romane restaurée Sainte-Marie se dresse sur le coteau sud, vit sur ses flancs se construire, fin XIe - début XIIe siècle, un prieuré Saint-Jean-Baptiste commandité par l'Abbaye Saint-Pierre de Lagny à la suite d'une faveur de l'évêque de Paris, Geoffroy de Boulogne, oncle de Godefroy de Bouillon et Chancelier de France[20]. La paroisse de Conches passa dès lors, avec celle de Chanteloup-en-Brie, (après celles de Gouvernes et Montévrain mais avant la petite nouvelle (1081) Saint-Thibault-des-Vignes), sous la houlette et l'action des moines de Lagny, qui la transformèrent (l'église notamment). Le cloître et l'essentiel des bâtiments annexes du prieuré furent fort endommagés pendant les guerres civiles du XVIe siècle mais celui-ci survécut jusqu'à la Révolution (Eberhart, Le Pays de Lagny). Des traces en subsistent encore aujourd'hui aux alentours de l'église et notamment un étang quadrangulaire aux rives maçonnées (ce qui aurait pu être un vivier), des soupçons de chapelle dans ce qui pourrait être le bâti initial du prieuré, des tombes, des souterrains, une crypte-cave médiévale (voûtes d'arêtes s'appuyant sur unique pilier central), comme celle de Blandy-les-Tours, sous la Grange, la salle des fêtes de la commune, et quelques bâtiments de ferme dont l'un appartint à Maurice Boitel qui a peint beaucoup de paysages sur ces pentes pendant la seconde moitié du XXe siècle.

    Conches s'embellit au XIXe siècle de la construction d'un château et d'un parc à l'anglaise de 14 hectares (le parc des Cèdres), avec étang circulaire et glacière prévus pour les fêtes. Après avoir appartenu au professeur Gustave Ribaud, le château a été vendu 700 000 francs (environ 107 000 euros) et a été transformé en résidence seniors. Le parc est accessible aux visiteurs. Le Val Guermantes, l'îlot de verdure proche, a été construit vers cette époque, alors que commençait en face à se piqueter de maisons le flanc droit de la Gondoire lequel de nos jours en est constellé. Deux centres hippiques (et un centre de tennis) dévalent la conche. Pendant les années 1960, la maison de Maurice Boitel fut le point de rencontre de beaucoup de peintres, de musiciens et de scientifiques comme Gabriel Deschamps, Pierre Gaillardot, Georges Claude Chavanne, Pierre Dejean, Maurice Faustino-Lafetat, Louis Vuillermoz, Rodolphe Caillaux, Andrée Bordeaux-Le Pecq, Albert Besson, Gustave Ribaud, Daniel du Janerand, Françoise Ardré, Léonard Ginsbourg, etc.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977   René Crestey    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2014   Frédéric Nion UMP  
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 2020 En cours Martine Daguerre    

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Conchois[21]. Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 1 756 habitants.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2018, la commune comptait 1 756 habitants[Note 8], en augmentation de 1,86 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    158182158148160144127120117
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1201321321051101029996113
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1009295108129175188150214
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    3074711 2341 7501 7901 7161 7221 7221 723
    2013 2018 - - - - - - -
    1 7241 756-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 629, représentant 1 704 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 30 480 euros[26].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 216, occupant 737 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,3 % contre un taux de chômage de 5,9 %. Les 20,9 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,6 % de retraités ou préretraités et 3,3 % pour les autres inactifs[27].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 105 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 17 dans la construction, 19 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 25 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 24 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 10 étaient relatifs aux autres activités de services[28].

    En 2019, 17 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 16 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Chevet de l'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption - Cloche de l'église sonnant la demie :

    Événements

    • Brocante en septembre.
    • Fête du centre équestre Le Grand Clos le dernier samedi de juin.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    4. Statistiques 2018 de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
    5. Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. SANDRE, « Fiche cours d'eau - La Gondoire (F6630600) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Gondoire (F6630600) » (consulté le ).
    3. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 22 octobre 2018
    4. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Conches-sur-Gondoire », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Liste des ZNIEFF de la commune de Conches-sur-Gondoire », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Liste des espaces protégés sur la commune de Conches-sur-Gondoire », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Site territoires-fr.fr consulté le 11 mars 2020 sous le code commune 77124.
    16. Site Corine Land Cover Mises à jour.
    17. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
    18. Statistiques officielles de l'Insee, section « Logement » consulté le 2 octobre 2020
    19. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=DD9DFEC5B1A81502FBAC04F51E6DABE4.tpdila13v_1?cidTexte=JORFTEXT000000360989&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000000006980
    20. manuscrit dom Chaugy, bibliothèque Gérard Billy de Lagny-sur-Marne ; Michelin 1829, réédition Amatteis.
    21. habitants.fr, « Seine-et-Marne > Conches-sur-Gondoire (77600) » (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 2 octobre 2020
    27. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 14 mars 2021
    28. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 14 mars 2021
    29. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 14 mars 2021
    30. Notice no PA00086898, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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