Comines-Warneton

Comines-Warneton [kɔmin waʁnətɔ̃] (en néerlandais Komen-Waasten, en picard Comène-Warneuton) est une ville francophone à facilités linguistiques de Belgique située en Wallonie picarde dans la province de Hainaut, Comines-Warneton est un ancien territoire du Comté de Flandre.

Comines-Warneton
(nl) Komen-Waasten

L'église Saint-Chrysole.

Héraldique

Drapeau
Administration
Pays Belgique
Région  Région wallonne
Communauté  Communauté française
Province  Province de Hainaut
Arrondissement Tournai-Mouscron
Bourgmestre Alice Leeuwerck (MR)
(Ensemble)
Majorité Ensemble (MR)
Ecolo
MCI
Sièges
Action
Ensemble
Ecolo
MCI
PS
25
11
7
4
2
1
Section Code postal
Comines-Warneton
Comines
Houthem
Ploegsteert
Le Bizet
Bas-Warneton
Warneton
7780
7780
7781
7782
7783
7784
7784
Code INS 57097
Zone téléphonique 056
Démographie
Gentilé Cominois(e) ou
Comino-Warnetonois(e)
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
18 063 ()
48,87 %
51,13 %
296 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
21,56 %
60,26 %
18,19 %
Étrangers 23,73 % ()
Taux de chômage 13,30 % (octobre 2013)
Revenu annuel moyen 11 125 €/hab. (2011)
Géographie
Coordonnées 50° 46′ 06,7″ nord, 2° 59′ 57,5″ est
Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers
61,09 km2 (2005)
77,98 %
3,15 %
16,50 %
2,37 %
Localisation

Situation de la ville dans l'arrondissement de Tournai-Mouscron et la province de Hainaut
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Comines-Warneton
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Comines-Warneton
Liens
Site officiel villedecomines-warneton.be

    La commune de Comines-Warneton résulte de la fusion des communes de Comines, de Warneton, de Bas-Warneton, de Ploegsteert et d'Houthem en 1977.

    Elle dispose d'un statut de commune à facilités linguistiques pour sa minorité néerlandophone, comme c'est le cas pour plusieurs communes belges[1]. Comines-Warneton est également une commune à particularité. En effet, lors des dernières élections communales, étant donné qu'aucun parti néerlandophone ne s'est présenté, le collège échevinal est composé d'échevins de l'opposition. Ainsi en 2008, le collège communal est composé du bourgmestre et de trois échevins CdH, d'un échevin MR et d'un échevin PS-Ecolo.

    Elle est dans l'arrondissement de Tournai-Mouscron, mais a la spécificité territoriale d'être enclavée entre la France et la Région flamande. Cette exclave wallonne est séparée du reste du Hainaut par une vingtaine de kilomètres.

    Comines-Warneton ne doit pas être confondue avec ses voisines limitrophes et homonymes situées en France, Comines et Warneton (Département du Nord).

    Communes limitrophes

    Histoire

    Un arrêté du comité de salut du , réglemente le statut administratif de la Belgique. Comines fera partie du canton judiciaire de Ypres et du département de la Lys[2] avant d'être transférée (à l'exception du hameau flamand de Kruiseyck cédé à Wervicq) de la province de Flandre-Occidentale à celle de Hainaut en 1963. Depuis cette date ses habitants néerlandophones minoritaires bénéficient de facilités administratives.

    Résultats des recensements linguistiques (Total pour la commune de Comines-Warneton)

    Langues connues

    Année uniq. NL

    Nombre

    NL & FR

    Nombre

    uniq. FR

    Nombre

    FR & D

    Nombre

    uniq. D

    Nombre

    D & NL

    Nombre

    NL & F & D

    Nombre

    Aucune

    Nombre

    uniq. NL

    Part

    NL & FR

    Part

    uniq. FR

    Part

    FR & D

    Part

    uniq. D

    Part

    D & NL

    Part

    NL& FR & D

    Part

    1846 701 9 944 0 6,6 % 93,4 % 0,0 %
    1866 1 630 1 028 8 186 0 1 0 0 1 15,0 % 9,5 % 75,5 % 0,0 % 0,0 % 0,0 % 0,0 %
    1880 1 679 1 551 8 468 1 0 0 0 0 14,4 % 13,3 % 72,4 % 0,0 % 0,0 % 0,0 % 0,0 %
    1890 1 121 4 889 8 067 4 1 0 1 0 8,0 % 34,7 % 57,3 % 0,0 % 0,0 % 0,0 % 0,0 %
    1900 1 828 5 460 8 172 10 0 0 9 928 11,8 % 35,3 % 52,8 % 0,1 % 0,0 % 0,0 % 0,1 %
    1910 2 922 5 897 8 444 9 0 0 0 960 16,9 % 34,1 % 48,9 % 0,1 % 0,0 % 0,0 % 0,0 %
    1920 1 288 2 510 5 620 1 0 0 5 362 13,7 % 26,6 % 59,6 % 0,0 % 0,0 % 0,0 % 0,1 %
    1930 1 568 5 210 10 495 0 0 2 19 721 9,1 % 30,1 % 60,7 % 0,0 % 0,0 % 0,0 % 0,1 %
    1947 1 172 7 244 9 002 12 2 6 132 680 6,7 % 41,2 % 51,2 % 0,1 % 0,0 % 0,0 % 0,8 %

    Langue exclusivement ou le plus fréquemment parlée.

    Année NL

    Nombre

    FR

    Nombre

    D

    Nombre

    NL

    Part

    FR

    Part

    D

    Part

    1910 5 134 12 138 0 29,7 % 70,3 % 0,0 %
    1920 2 064 7 360 0 21,9 % 78,1 % 0,0 %
    1930 3 517 13 752 0 20,4 % 79,6 % 0,0 %
    1947 2 747 14 750 19 14,3 % 85,5 % 0,1 %

    En 1962, les travaux de la commission ont abouti à la loi sur la fixation de la frontière linguistique proposée par le ministre de l'Intérieur, Arthur Gilson, selon laquelle Mouscron et Comines-Warneton seraient officiellement francophones avec facilités linguistiques pour la communauté néerlandophone, mais resteraient une partie de la province néerlandophone de Flandre-Occidentale. La même solution a été proposée pour les municipalités de Fourons où les municipalités resteraient une partie de la province de la province francophone de Liège mais deviendraient des municipalités néerlandophones avec des facilités pour les francophones. [3],[4]

    Après un débat acharné au Parlement, cette proposition de loi a été approuvée, mais sous réserve de l'amendement selon lequel Comines-Warneton et Mouscron feraient partie de la province francophone du Hainaut et Fourons ferait partie de la province néerlandophone du Limbourg. Cet amendement a été introduit par l'homme politique socialiste Wallon et ancien bourgmestre de Liège Paul Gruselin qui voulait transférer les villes flamandes à majorité francophone Comines-Warneton et Mouscron à la province wallonne du Hainaut et a proposé de transférer la région de Fourons à la province néerlandophone du Limbourg à titre de compensation[5],[4].

    Pour comprendre cette réaction spontanée des socialistes liégeois et mouscronnois, il faut tenir compte du fait que les 75 000 habitants de Mouscron-Comines apportaient un siège de député tandis que les 4 000 habitants des Fourons étaient loin d'en valoir autant[4] et que l'on peut déduire des résultats des recensements linguistiques que la région comino-warnetonoise devenait lentement bilingue.

    Ce passage de la Province de Flandre-Occidentale au Hainaut a été mal accueilli par de nombreux habitants à Comines-Warneton et Mouscron où une grande majorité souhaite rester avec la Province de Flandre-Occidentale [6] ou à tout le moins devenir une nouvelle province francophone avec la ville de Tournai , le Tournaisis, parce qu'ils s'identifient comme des Flamands francisés, ayant partagé une histoire avec les autres régions de l'ancien Comté de Flandre et se sentant culturellement plus proches de la Flandre française que la Province de Hainaut[7]. Tout comme une majorité des Fourounais voulaient rester à Liège en raison de la dépendance de la région vis-à-vis de Liège. Les francophones des Fourons, en particulier, font campagne pour que la région revienne à la province de Liège[4].

    En 1963 les communes de Comines-Warneton a été rattachée à la Province de Hainaut (à l'exception du hameau flamand de Kruiseyck cédé à Wervicq) à la suite de la fixation définitive de la frontière linguistique en Belgique cette même année.

    Le « Taalkoffer » et « Les Sorcières de Comines »

    Comines-Warneton est apparu dans les médias belges au début des années 1980 à l'occasion de la fondation d'une école flamande. En 1974, un certain nombre de parents de la minorité flamande de la commune avaient demandé à pouvoir mettre en place un enseignement néerlandophone[8]. Le 31 juillet 1979, 45 parents ont remis à la mairie de Comines-Warneton une liste de signatures demandant la création d'une école néerlandophone sur la base de leurs installations garanties par la Constitution[9]. Bien que le ministre de l'Éducation de la communauté francophone ait donné son autorisation pour l'école, le conseil municipal a refusé de reconnaître la pétition des parents[8] au motif que, selon eux, la demande n'était pas réglementaire. En décembre 1979 le Conseil d'État reconnaît que la liste de pétition pour l'école flamande est effectivement légale et valable. L'école peut être fondée[8]. C'est finalement le conseil des ministres restreint qui a pris la décision, le 27 août 1980, de créer une école primaire néerlandophone[9].

    Malgré l'intimidation des parents et l'opposition du côté officiel, l'école a été créée en 1980. Des francophones avaient alors manifesté contre sa création[10]. Lors de l'ouverture de l'école le et les jours suivants, les parents et leurs enfants ont dû marcher sur des tringles d'heure de pointe entre les jurons francophones afin d'atteindre les salles de classe. C’est même allé très loin : saluts hitlériens, excréments dans les boîtes aux lettres[10], Des images de ce phénomène ont été diffusées à la télévision belge francophone dans le reportage « Les sorcières de Comines »[11] du 8 mai 1981[12]. Cette émission de la RTBF suscite une grande indignation en Belgique et apporte un certain calme dans les esprits. [8] L'école fait partie du Centre culturel flamand Robrecht van Kassel et est subventionnée par la Communauté flamande car la Communauté française le refuse malgré une obligation légale[13],[14],[15],[9].

    À l'origine, en raison de la décision du cabinet du noyau, l'école flamande était provisoirement installée dans le Rijksatheneum. En octobre 1981, le ministre wallon Philippe Busquin a décidé seul que ce bâtiment devait être abandonné[9].

    Par nécessité, les classes ont ensuite été logées dans le Centre de rencontre du Cominois flamand "Huize Robrecht van Kassel" (Maison Robrecht de Kassel). Cette situation intenable a duré jusqu'au début de l'année scolaire 1983-1984. Ensuite, le bâtiment scolaire actuel, qui a été construit dans le jardin de ce centre avec le soutien financier d'amis de Flandre et des Pays-Bas, pourrait être occupé[9].

    En 2008, la Communauté française refuse toujours de financer l'école néerlandophone, alors qu'elle y est obligée par la Constitution belge. C'est pourquoi la Communauté flamande finance et inspecte encore cette école[16], qui s'appelle « De Taalkoffer » (c'est-à-dire la Valise linguistique). Tous les cours y sont donnés en néerlandais, à des élèves issus pour la plupart de familles francophones de Wallonie picarde et de Flandre française.

    Après la fixation de la frontière linguistique

    En 1988, Comines a participé à la solution intervenue à Fourons, où certaines dispositions dites de pacification communautaire ont été prises[17], le fait que (pour la première fois et contrairement à ce qui est souvent dit à tort de la frontière linguistique en 1963), en "échange" de l'entrée d'un échevin de l'opposition dans le Collège échevinal des Fourons, la même disposition a été prise pour Comines, soulevant une grande colère dans l'opinion locale. Une publication comme « Le Vrai Canton » qui se proclamait Wallon Toudi é tout inti (« Wallon, toujours et entièrement ») a illustré ce combat wallon.

    Environ 7 à 8 % des habitants ont actuellement une carte d'identité néerlandophone.

    Armoiries

    Le blason de Comines-Warneton est l’ancien blason de Comines accordé en 1842, confirmé après la fusion.
    Blasonnement : D'or à une clef de sable posée en pal, le panneton en chef et à dextre, accompagnée de huit roses de gueules, trois à dextre, trois à senestre, une en chef et une en pointe[18]
    • Délibération communale : 6 octobre 1978
    • Arrêté de l'exécutif de la communauté : 15 juillet 2003

    Politique

    Conseil communal de 2018

    Conseil communal de Comines suite aux élections communales de 2018.
    Parti % +/- Sièges +/- Collège
    Action 40 9,53
    9  /  25
    2 Non
    Ensemble 24,93 Nv
    7  /  25
    Nv Oui
    Ecolo 17,59 Nv
    4  /  25
    Nv Oui
    MCI 10,51 Nv
    2  /  25
    Nv Oui
    PS 6,97 Nv
    1  /  25
    Nv Non
    Total 100 25 13

    Démographie

    Elle comptait, au , 18 071 habitants (8 827 hommes et 9 244 femmes)[19], soit une densité de 295,81 hab./km2 pour une superficie de 6 109 ha.

    Les chiffres des années 1846, 1900 et 1947 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

    • Source : DGS - Remarque: 1806 jusqu'à 1970=recensement; depuis 1971=nombre d'habitants chaque 1er janvier[20]

    Personnalités liées à la ville

    À voir

    • La Société d'Histoire de Comines-Warneton et de la région. Créée en 1959 sous le titre « Histoire et Folklore », elle devient la SHCWR en 1976. Depuis 1971, elle publie annuellement un volume de Mémoires de la Société d’Histoire de Comines-Warneton et de la Région. En juin 1980 le Centre de Documentation, le Musée d’Histoire et le Musée d’Archéologie sont officiellement ouverts au public.
    • Les bois du Gheer et de la Hutte : le plus grand espace vert entre Lille et la côte ;
    • Le circuit, pour course automobile, type speedway, de Warneton construit en 1980 ;
    • L'église Saint-Pierre-et-Paul de Warneton, dont les origines remontent au VIIe siècle, fut reconstruite après la Première Guerre mondiale en style romano-byzantin. Elle est souvent appelée Cathédrale de la Lys, de par ses dimensions imposantes. Elle abrite dans sa crypte 2 tombeaux du XIVe siècle, dont celui de Robert de Cassel (fils du comte de Flandre) ;
    • L'église Saint-Chrysole, dont les origines remontent à 1825, mais qui fut reconstruite en 1922 à la suite de sa destruction par les combats de la Première Guerre mondiale. À ne pas confondre avec sa voisine française, l'église Saint-Chrysole de Comines ;
    • L'hôtel de ville ;
    • Ice Mountain : complexe ludique principalement connu pour sa piste de ski intérieure, mais qui dispose aussi d'une aire dédiée au paintball et d'un simulateur de chute libre ;
    • Le Mémorial britannique de Ploegsteert: monument rendant hommage aux 11 447 soldats morts pendant la Première Guerre mondiale et qui n'ont pas reçu de sépulture. Près du mémorial, de nombreux cimetières britanniques jalonnent la campagne cominoise ;
    • Le Moulin Soete de Ten Brielen : un des seuls moulins sur pivot avec trois étages : il moud toujours le blé pour en faire de la farine ;
    • Le Musée de la Rubanerie : musée unique en Europe, avec ses 30 métiers à tisser en fonction. Ce musée rend hommage au passé textile de la région. Les visites sont guidées par des passionnés, anciens rubaniers ;
    • Le Musée de la Brasserie de Warneton (ouvert pour les groupes constitués) ;
    • Le Musée de la menuiserie d'autrefois de Ploegsteert : collection de vieux outils de menuiserie ;
    • Le Musée du téléphone de Warneton: collection de téléphones depuis les tout premiers jusqu'aux téléphones portables ;
    • Le Musée du Blockhaus Pionnier de Comines : ancien blockhaus de la Première Guerre mondiale, composé de trois salles à visiter ;
    • Le patrimoine immobilier classé ;
    Réserve Naturelle Ornithologique de Ploegsteert
    • La Réserve Naturelle Ornithologique de Ploegsteert ;
    • Le centre d'interprétation Plugstreet, situé à Ploegsteert, consacré à l'Histoire de la région durant la Première Guerre mondiale.

    Folklore

    • Fête des Marmousets : 3e week-end du mois de juillet.
    • Fête des moissons : 2e week-end du mois de septembre.
    • Fête des Mountches : le premier samedi du mois de décembre avec participation de Saint Nicolas.
    • Fête de la Brique : Dimanche de la Pentecôte au Bizet. Cortège traditionnel mettant à l'honneur les « briquetteux ».
    • Fête des Louches: Deuxième dimanche d'octobre. Cortège historique franco-belge, suivi du spectaculaire jet des louches du haut du beffroi de Comines France.
    • Fête de la bière: Troisième week-end de septembre, sous le marché couvert de Comines.

    Festivités

    • Comines Ville Ouverte: Troisième week-end de septembre, les années paires : portes ouvertes, monuments et sites. Expositions, animations.
    • Art/Terre: Biennale Internationale d'art plastique. Avec Comines Ville Ouverte
    • Festival ''J'Veux du Soleil'' : Dernier vendredi de juin à Houthem : des concerts qui décoiffent
    • Semi-Marathon du Souvenir 14-18: le 11 novembre à 11 h à Ploegsteert.
    • Last Post : Chaque premier vendredi du mois à 19 h, devant le Mémorial de Ploegsteert. Sonnerie aux morts de la Grande Guerre.

    Transports

    Jumelages

    Galerie de photographies

    Notes et références

    1. « Communes à facilités », sur www.axl.cefan.ulaval.ca (consulté le )
    2. Jacques Pijcke, Mouscron, neuf siècles d'histoire, 2e édition remaniée, 1965
    3. « Facilités: Gilson aux côtés des maïeurs rebelles En 1962-63, les Flamands ne parlaient pas de facilités temporaires Les Fourons, c'était pas moi! André Cools l'a reconnu... », sur Le Soir (consulté le )
    4. « Communautaire - Il y a quarante ans, la Belgique se réveillait divisée en deux par un « mur de betteraves » L'unique frontière sans douane La victoire du droit du sol La légende de la trahison socialiste », sur lesoir.be, (consulté le )
    5. « Chambre des représentants de Belgique - Session du 1er juillet 1987 - plenum.be », sur sites.google.com (consulté le )
    6. Documents parlementaires, Chambre des représentants de Belgique 1961-1962, nr. 194/7 (PDF) p 5 (FR et NL)
    7. Documents parlementaires, Chambre des représentants de Belgique 1961-1962, nr. 194/7 (PDF) p 23 (FR et NL)
    8. (nl) « Historiek », sur www.detaalkoffer.be (consulté le )
    9. (nl) DBNL, « Neerlandia. Jaargang 94 · dbnl », sur DBNL (consulté le )
    10. La Libre.be, « Comines et ses vieux démons », sur LaLibre.be, (consulté le )
    11. (en) « André Dartevelle », sur BELA (consulté le )
    12. (nl-BE) « 29.09.1979 STOP! », sur De Standaard (consulté le )
    13. Communautaire storm rises, de Het Nieuwsblad, 28 février 2002
    14. be/news/belgium/vlaams-schooltje-komen-will-subsidize french community/article-1194677911586.htm Flemish schooltje Komen wants subsidies French community, de Knack, 10 novembre 2008
    15. Comines et ses vieux démons, de La Dernière Heure, 18 novembre 2008
    16. « Een koffer vol problemen », sur Site-Knack-NL, (consulté le )
    17. Les élections communales et provinciales 2006
    18. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 249
    19. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
    20. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/population-bevolking-20190101.pdf

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Francis De Simpel et Dominique Loridan, Un champ de bataille, Ploegsteert et Warneton 1914-1918 : Histoire et archéologie, Agence Wallonne du patrimoine, coll. « Carnets du patrimoine » (no 123), , 52 p. (ISBN 978-2-87522-133-9)

    Article connexe

    Liens externes

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