Chambry (Seine-et-Marne)

Chambry est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Chambry.

Chambry

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Meaux
Maire
Mandat
Dominique Delahaye
2020-2026
Code postal 77910
Code commune 77077
Démographie
Gentilé Chambrysiens
Population
municipale
986 hab. (2018 )
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 54″ nord, 2° 53′ 37″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 160 m
Superficie 9,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Claye-Souilly
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Chambry
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Chambry
Géolocalisation sur la carte : France
Chambry
Géolocalisation sur la carte : France
Chambry

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à km au nord de Meaux.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Chambry
    Barcy Étrépilly Varreddes
    Penchard
    Crégy-les-Meaux Meaux Poincy

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    L'altitude varie de 160 mètres pour le point le plus haut à 71 mètres, le bourg se situant à environ 92 mètres d'altitude (mairie)[2].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Chambry.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    • le ruisseau de Mansigny, 6,9 km[3] ;
    • le fossé 01 de Dampleger, 3,6 km[4].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,43 km[5].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,6 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 720 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 46 km à vol d'oiseau[7], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[8] à 11,6 °C pour 1991-2020[9].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Chambry comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[10], les « Bois d'Automne » (67,65 ha), couvrant 2 communes du département[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Chambry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 69 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[17] dont Monument des Quatre-Routes.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91% ), zones urbanisées (4,8% ), forêts (4% ), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[18].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19],[20],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 419 dont 88,4 % de maisons et 10,5 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 94,5 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 79,6 % contre 18,5 % de locataires et 2 % logés gratuitement[22].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars No 22 (MeauxRouvres-en-Multien (Oise)), du rréseau Trandev Pays de l’Ourcq[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Territorium de Camberiaco en 1183[24] ; Chamberi en 1188[25] ; Cambriacum en 1189[26] ; Chamberiacum en 1196[27] ; Chanberie au XIIe siècle[28] ; Camberilliacum en 1207[29] ; Chambery en 1229[30] ; Chambri en 1276[31] ; Chambry au XIIIe siècle[32],[33].

    Du gaulois cambo, « courbe », ce toponyme provient de l'agglutination du nom de personne gaulois cambarios et du suffixe acum qui signifie : la « terre de cambarios - (courbé) ». Il peut s'agir d'une terre où l'on cultive le chanvre.

    Histoire

    Chambry selon tradition locale aurait été un domaine donné par Jules César à l'un de ses légionnaires au Ier siècle av. J.-C..

    La première mention écrite du village date du XIIe siècle.

    Théâtre de violents engagements au cours de la bataille de l'Ourcq (septembre 1914).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie de 1793 à 1962 du canton de Claye-Souilly, année où elle intègre le canton de Meaux. En 1975, ce canton est scindé et Vignely est intégré au canton de Meaux-Nord[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Claye-Souilly

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de Seine-et-Marne.

    Intercommunalité

    Chambry est membre de la communauté d'agglomération du pays de Meaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Claude Bruet[35]    
    2014[36] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Dominique Delahaye   Vice-président de la CA du Pays de Meaux (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[37]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38],[39].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Chambry est assurée par le CA du Pays de Meaux (CAPM) pour la collecte, le transport et la dépollution[40],[41],[42].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. Le CA du Pays de Meaux (CAPM)La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40],[44].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [40],[45],[46].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[47].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

    En 2018, la commune comptait 986 habitants[Note 7], en augmentation de 4,12 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    719718806670712661639631627
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    583588558527521531513517502
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510502490448448506476455518
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    552625673691738841870875880
    2013 2018 - - - - - - -
    947986-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    Chambry est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse[51].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[52]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 50 ha en 1988 à 93 ha en 2010[51]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chambry, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Chambry entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[51],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 12 10 9
    Travail (UTA) 52 20 15
    Surface agricole utilisée (ha) 597 692 838
    Cultures[53]
    Terres labourables (ha) 586 652 819
    Céréales (ha) 345 406 530
    dont blé tendre (ha) 250 313 404
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 51 57 105
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 31 s 64
    Élevage[51]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 545 1 0

    Culture locale et patrimoine

    Monument dit « des Quatre-Routes ».

    Lieux de mémoire de la Grande Guerre

    • Monument dit « des Quatre-Routes » : érigé en 1915 sur ordre du général Galliéni dédié à la mémoire des soldats de l’« Armée de Paris » qui gagnèrent la bataille de l'Ourcq.
    • Nécropole nationale (cimetière militaire français) : rassemble 1 331 corps dont 341 en tombes individuelles et 990 en ossuaires.
    • Cimetière militaire allemand (1918).

    Église Saint-Pierre et Paul

    L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, XVe siècle, endommagée en 1940, inscrite au titre des monuments historiques en 1916 et restaurée après 1944[54]. L'église, primitivement sous le vocable de Notre-Dame-de-l'Assomption, est alors rebaptisée Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Lavoir

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Chambry - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 4 juin 2020 ».
    2. « Chambry » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Mansigny (F6422000) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Dampleger (F6422050) ».
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 25 novembre 2018
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    7. « Orthodromie entre Chambry et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chambry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF les « Bois d'Automne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. [ Site territoires-fr.fr] consulté le 6 février 2020 sous le code commune 77077.
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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    20. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
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    22. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 4 juin 2020
    23. Site Transdev-Pays de l’Ourcq
    24. Archives nationales, LL 1351, fol. 65.
    25. Du Plessis, II, p. 76.
    26. Archives nationales, S 5189, n° 16.
    27. Du Plessis, II, p. 82.
    28. Archives nationales, S 5008, n° 59.
    29. Cart. Fontaines, fol. 78.
    30. Arch. hosp. Meaux, A 6, p. 144.
    31. Archives nationales, S 5186, fol. 5 v°.
    32. Obit. prov. Sens, IV, p. 208.
    33. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 88.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. « Ça coince sur les statuts de l'agglomération de Meaux », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire de Chambry, Claude Bruet, n'exclut pas la possibilité de se présenter au poste de vice-président ».
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    54. Notice no PA00086855, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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