Chamarande (camp école)

Le parc du château de Chamarande fut le centre de formation des Scouts de France durant une trentaine d'années et ce lieu a marqué l'ensemble du scoutisme en France. Le cham est un stage de formation des responsables des scouts de France puis des Scouts et Guides de France. Un responsable ayant fait ce stage est dit chamarandais. C'est aujourd'hui la première étape du cursus de formation BAFD des Scouts et Guides de France.

Pour les articles homonymes, voir Chamarande (homonymie).

Histoire d'un camp-école

Suite au camp de La Croix St Ouen du 30 juillet au réunissant les chefs des trois grandes associations de scoutisme français de l'époque (EDF, EUF et SDF), les chefs des Scouts de France (sous l'impulsion du père Sevin) comprennent l'importance de la formation et décident de se mettre à la recherche de leur propre centre de formation.

Les Scouts de France cherchent un lieu central en France, proche de Paris. Grâce aux relations du chanoine Cornette (aumônier général), le docteur Laurent Amodru, propriétaire du château de Chamarande et de son parc de 92 hectares, autorise les Scouts de France à utiliser son domaine pour le premier camp national de 1922. Ils occuperont de 20 à 30 hectares suivant les périodes.[1]

La commune de Chamarande se situe dans l'Essonne dans la vallée de la Juine, non loin de Paris avec une gare toute proche, c'est un lieu idéal pour rallier le mouvement assez jeune et florissant du scoutisme. De Paris on prenait le train à la gare d'Orsay (musée d'Orsay aujourd'hui), la gare de Chamarande est toute proche du château, les communications étaient donc aisées. De plus, la commune de Chamarande était réputée dès les années 1930 pour ses sites d'escalade, la beauté réelle du site mais aussi l'originalité de la méthode venue de Gilwell tout cela accrut l'aura du camp. Tout proches, le château et parc de Gillevoisin pouvaient accueillir des troupes en surnombre pour un rallye, un camp d'été ou un weekend campé. C'est à Gillevoisin, lieu proche mais distinct de Chamarande, que naquit le jeu d'Escarmador.

Le Père Sevin, rentré de Gilwell Park avec son diplôme de Deputy Camp Chief (DCC) lui permettant d'encadrer des camp-écoles de chefs éclaireurs, tient le premier camp-école SDF de Chamarande à Pâques 1923. Ce n'est que le premier d'une longue lignée : formations pour chefs éclaireurs, cheftaines et chefs louveteaux, commissaires et aumôniers se succèdent jusqu'à la guerre.

Le camp national de 1922

Du 31 juillet au se tient le premier camp national qui réunit à Chamarande 600 garçons pendant toute une semaine. Il y a même une trentaine de louveteaux. C'est l'occasion de confronter les méthodes, les tenues et les techniques encore très variées. Ce camp représente un pas supplémentaire vers l'unité du scoutisme catholique en France, mais ce n'est pas un camp de formation.

Les troupes suivantes étaient représentées : Groupe SDF 1re Aix-en-Provence - Gérard Tenque, 1re Amiens, 2e Amiens, 3e Amiens, 4e Amiens, Amiens (louveteaux), Asnières, Condé-sur-Escaut, Colmar, Groupe SGDF Compiègne - Dominique Savio, Groupe SDF 1re Cuts, Groupe SGDF Le Creusot - Saint Eugène, Croix, Groupe SGDF 1re Dijon - St Louis, Gournay-en-Bray, 1re Le Havre, Île-Saint-Denis, La Neuville-de-Raon-l’Étape, 1°Haguenau, 2e Lille, 3e Lille, 4e Lille, 5° Lille, 7e Lille, 8e Lille avec louveteaux, Guides et scouts de Monaco, Montluçon, Morangis (louveteaux), Mouscron (troupe honoraire SDF), Neuilly-Saint-Front, 1re Nice, 2e Nice, 3e Nice, Noisy-le-Sec, 1re Paris, 2e Paris, 3e Paris, 4e Paris, 5e Paris (avec louveteaux), 6e Paris (avec louveteaux), 8e Paris, 10e Paris (scouts-marins), 11e Paris, 12e Paris, 14e Paris, Pontarlier, Pont-à-Mousson, 1re Roubaix, Saint-Aubin-sur-Mer (louveteaux), Saint-Mihiel, Groupe SGDF de Saint-Quentin, 1re Strasbourg, 2e Strasbourg, Tillières-sur-Avre, Verneuil-sur-Avre, Versailles, ainsi que quelques troupes étrangères : 2e Anvers (Belgique), 1re Louvain (Belgique), Copenhague (Danemark) et Oxford (Angleterre). Le Nord (Flandre), la Picardie et la région parisienne sont donc fortement présentes.

Les unités étaient regroupées en 4 clans (Bayard, Duguesclin, Roland, Maud'huy). Étienne Van Hoof, commissaire international de Belgique dirigeait en personne un des clans du 1er camp national SDF. D'autres chefs anversois, Francis de Decker, Edmond de Gruben et Antoine Cols ou Koltz, encadraient également. On voit que le scoutisme belge, plus mûr, joua un rôle important dans le lancement des SDF.

Le premier camp d'avril 1923

Officiellement dénommé Centre national d'entrainement, il eut lieu du samedi saint au lundi de Quasimodo, soit pendant presque huit jours. Suivant l'exemple de Gilwell les 22 chefs venus de la France entière furent répartis dans 4 patrouilles : les Coucous, les Corbeaux et les Coqs et les Ramiers. Une partie du parc avait été aménagée pour reproduire la physionomie de Gilwell : même disposition semi-circulaire, dispersion des patrouilles avec chacune sa cuisine et sa popote-abri, même lieu de feu de camp servant aussi de lieu d'instruction. Le Mestre de camp était le Père Sevin et ses deux assistants, Paul Coze, chef de la 1re Paris et Michel Blanchon, chef de la 8e Paris (troupe Ernest Psichari). Les impétrants furent visités par le général Guyot de Salins et le chanoine Cornette. Le jeune scoutisme alsacien était bien représenté.

En octobre 1934 le cardinal Verdier visite le camp et prononce une allocution sur l' "Âme du Scoutisme", il s'agit de rassurer le mouvement après l'éviction[pourquoi ?] du Père Sevin.

La fin du scoutisme à Chamarande

Pendant la guerre, dès 1940, le château et le parc sont investis par les forces allemandes. Les Scouts de France ne retrouvent leur camp-école qu'en 1947.

En 1948, Mme André-Thome décède et les héritiers ne tiennent plus à laisser les Scouts de France utiliser la propriété, l'ensemble du domaine sera vendu.

Après la guerre Michel Menu avait dirigé plusieurs camps destinés aux chefs éclaireurs au château de Pont-Chevron dans le Loiret mais des cours de cheftaines, d'aumoniers ou de commissaires ainsi que des assemblées générales se tenaient à Chamarande. Lors de l'assemblée générale de 1951, tenue au domaine, il est décidé d'acheter un camp national afin de remplacer Chamarande : ce sera Jambville.

Chamarande fut clos officiellement par une messe d'action de grâce célébrée par le Père Forestier à la mémoire du Père Sevin le samedi du week-end des ACDL les 2, 3 et 4 novembre 1951, le colonel Wilson de passage à Paris se joignit à la cérémonie. Lors de la dernière veillée du samedi un historique des 30 ans de scoutisme à Chamarande y fut évoqué. Les 6 et 7 octobre 1951 les Chamarandais d'Ile de France y firent un dernier week-end d'adieu et les ACPrL une réunion le 1er novembre.

Site de Chamarande

Visite

Le parc se visite librement tous les jours mais le scoutisme n'y a laissé que peu quelques traces visibles.

Lieux typiques

Certains de ces lieux étaient inspirés des installations du modèle britannique de Gilwell Park.

  • Le mât tripode ou sémaphore.
  • La chapelle du Dolmen
  • Le feu de camp
  • L'oratoire
  • Le lavabo et le trackodrome
  • La tanière
  • La bergerie qui abritaient les cheftaines.
  • Le kraal
  • La torche des dix vertus
  • Le manoir
  • La Kasbah

Vue aérienne et localisation

Vie, méthode et organisation

Encadrement

Dans le langage courant de l'époque, un chef qui partait suivre le camp-école dit qu'il fait son "Cham". Breveté, il devenait "Chamarandais" et membre de la 1re Chamarande.

Les scoutmestres étaient instruits par des formateurs ayant suivi une formation de 3e degré. Ces formateurs portaient la badge de bois (deux buchettes), le foulard rose à tartan Mac Laren de Gilwell et une bague de cuir rond à deux torons (à la place des bagues de cuir carré à trois torons).

Pour former les formateurs de scoutmestres et être à la tête du camp national de formation, il fallait être Deputy Camp Chief (DCC) de Gilwell en Angleterre : on devenait alors "Mestre de Camp". Les DCC portaient le foulard de Gilwell, la bague à deux torons et quatre buchettes.

Le gardien du camp de Chamarande était Roland Pierre. Durant les sessions, il était assisté dans sa tâche d'une patrouille de service : les lévriers. La patrouille des Lévriers portait le foulard noir et était composée exceptionnellement de Chevaliers de France. Une chanson a d'ailleurs été écrite sur cette célèbre patrouille : les Foulards noirs.

Les Mestres de camp successifs furent le Père Jacques Sevin, Pierre de Montjamont, Henry Dhavernas et Pierre Delsuc. La maîtrise avait une composition classique. Ainsi lors du 16e cours du 18 au le Père Jacques Sevin était assisté de Georges Tisserand (en 1er) et Robert Harant (en 2e). On retrouvait un intendant-matériel, un intendant-ravitaillement et des monteurs ainsi que les Lévriers.

Organisation des camps nationaux d'entrainement

Chaque Camp national d'entrainement SdF durait de 7 à 10 jours et comportait une alternance d'exposés théoriques, de travaux pratiques variés, de commentaires et de quelques conférences. Il semble qu'au début le programme de Gilwell Park ait été suivi scrupuleusement, notamment pour la partie pratique. Pour le cours de scoutmestre elle était formée de quatre domaines, soient à peu près :

  1. cérémonial et campisme ;
  2. travaux des champs, pionnierisme, travail du bois ;
  3. installations, science de la nature et jeux scouts ;
  4. empreintes, pistes, trackodrome.

Les chefs ou cheftaines stagiaires étaient répartis en patrouilles et ils (ré)apprenaient les éléments essentiels de la méthode scoute (animation, campisme, techniques, cérémonial) par le concret, en le faisant comme leurs futurs scouts. Les points essentiels étaient commentés après l'exercice et repris le soir avec prise de notes recommandée. D'où l'intérêt du carnet ou cahier de Chamarande que devait détenir chaque chef formé. Cet épais cahier avec couverture imprimée servait à prendre des notes. À la fin du stage pratique, les stagiaires recevaient un sujet écrit d'épreuve théorique à rendre quelques mois après. Il pouvait y avoir de 15 à 40 participants. De façon générale pour la branche moyenne, le fil était Éclaireurs de BP avec les ajustements des divers commissaires successifs.

L'oralité était un principe de ces cours. Ainsi un avertissement en tête de cahier précisait :

« En recevant ce cahier on s'engage à ne pas le communiquer aux chefs et scouts qui n'ont pas encore suivi le cours pratique. L'enseignement de Chamarande doit rester un enseignement ORAL et non livresque et des notes personnelles sont toujours déformables. "Cham". »

Bien sûr, les participants étaient massivement français ou venus des colonies mais on trouvait aussi des chefs autrichiens, égyptiens, luxembourgeois, belges, un lituanien et aussi quelques anglais ou américain. On forma également quelques cheftaines polonaises.

Les autres camps

Sous l'impulsion du père Sevin, commissaire national à la formation, se mirent en place progressivement des sessions par branche ou fonction :

  • Camp national d’entraînement pour les chefs éclaireurs (en fait le prototype des autres, voir plus haut) ;
  • cours de perfectionnement, scoutisme, art dramatique, chant chorale ;
  • Maîtrise ;
  • Louvetisme ;
  • Route ;
  • Commissaires ;
  • ACDL-ACPrL ;
  • Aumôniers.

Le premier camp de Louvetisme s'ouvrit le avec le concours de Vera Barclay. Des louvetiers et des cheftaines y participaient et cette mixité nécessita une lettre d’autorisation de l'archevêché de Paris.

Avec la rapide expansion du scoutisme en France et l'harmonisation de la méthode, les SDF (et aussi les EDF et EUF à Cappy) utilisèrent les CEP camps-écoles préparatoires qui, organisé par chaque province ou région, permettait une décentralisation de la formation. Les instructeurs de ces CEP étaient eux-mêmes formés à Chamarande.

En 1927, le père Sevin inaugura le premier cours pour les commissaires qui reçut l'approbation de Baden-Powell.

Chansons et imaginaires liés à Chamarande

Le père Sevin a écrit les paroles de plusieurs chants liés au camp et à son imaginaire. Toute cette section est tirée du livre : Les Chansons des Scouts de France[2].

1.Les chefs brevetés de Chamarande appelés chamarandais apprenaient une chanson secrète lors de leur camp-école tandis qu'ils formaient la 1re Chamarande.

2. Notre-Dame de Chamarande.

Également on a parlé du cycle de Chamarande pour un ensemble de chants liés à ce thème:

  • Chamarande ! Chamarande ! (ne figurent dans l'édition de 1932 que le refrain et les 2 premiers couplets, et moins encore dans l'édition de 1936 : "Le reste de la chanson s'apprend au Camp-École. On a noté l'air ici, afin d'en éviter les transformations.")
  • Chanson de la Meute (La Meute de Cham) (1925) souvenirs des premières assistantes du Camp-École, miss Vera Barclay et Cheftaine Louise de Grangeneuve.
  • Au Camp de Chamarande (1930) sur l'air de A la claire fontaine
  • Les Foulards noirs. Dédié à l'équipe fondée en 1930, pour le service du Camp-École durant toute l'année. Elle ne comprenait que des Chevaliers de France.
  • La Bûche de Chamarande (1923) sur l'air de Le Dernière bûche de Théodore Botrel. L'emblème du Camp-École est une bûche au cœur de laquelle est plantée une hachette.
  • Connaissez-vous la source (1929) Dédié au 9e Cours de Louvetisme de juillet 1929
  • Bonsoir, Chamarande, sur l'air de Bonsoir, petits frères de l'abbé Brice
  • Prière du soir de la troupe, sur l'air de Bonsoir, petits frères de l'abbé Brice - édition de 1936
  • Bonsoir à Valloires, sur l'air de Bonsoir, petits frères de l'abbé Brice - édition de 1936
  • Notre-Dame de Chamarande (1931)

Mais un imaginaire moins connu était présent lors des veillées ou pour certaines activités, l'indianisme. Il existait une tribu des Chamandaraks habillée complètement en peau rouge et qui disposait d'un tipi, d'un canoë, d'un mât-totem. On totemisa donc et le père Sevin se transforma en Renard noir. Puis tout cela disparu, au moins en apparence.

Autres évènements SDF

Pendant toute la période 1922-1951, il y eut bien entendu à Chamarande des rallyes de provinces ou de districts, des camps de louveteaux.

Un chef, Bernard Naudin, témoigne : "Quand nous sommes revenus pour un camp-école scout à Chamarande en 1947, il nous semblait qu’il manquait quelque chose. Nous avons réalisé qu’il n’y avait plus de moustiques : les américains avait mis du DDT dans tous les étangs mais il n’y avait plus de poissons non plus'."

C'est là que le 1er juin 1946 se marie Michel Rigal qui sera bientôt une figure centrale des SDF. L'assemblée générale des 10 et 11 juillet 1948, s'y tient , le projet des "Raiders" est en route.

Chamarande après les Scouts de France

En 1950, le premier rassemblement des chorales A Cœur Joie, alors proches des SDF, a lieu à Chamarande, avant de devenir le Festival des choralies à Vaison-la-Romaine. Du 13 au 23 aout 1951 l'association organisa un "camp de spécialité" destiné aux Meneurs de chant, tous étaient en uniforme ou du moins portaient le foulard.

Le château du XVIIe siècle et son parc ont été inscrits aux monuments historiques le puis classé le .

En 1957, le dernier propriétaire privé est Auguste Mione, directeur d'une grande entreprise de travaux publics, avant le rachat du domaine, en 1978, par le conseil général de l'Essonne.

En 2000 A Cœur Joie y fête son cinquantenaire bien que l'association n'ait plus de lien avec le scoutisme.

Les Scouts unitaires de France

Chamarande et la force morale que comportent ce nom vont jouer un rôle dans la crise qui voit naître les Scouts unitaires de France. De fait le bureau et les statuts de la nouvelle association sont déposés en préfecture le 6 avril 1971, la première assemblée générale se tient les 30 et dans l'ancienne propriété SDF de Chamarande, louée pour l'occasion. C'est un symbole, le lieu où ont été formées des générations de chefs-scouts depuis le père Sevin, un enracinement et une filiation directe qui sont clairement exprimés par ce choix.

Fin mars 1992 ils peuvent encore y organiser leurs Journées Nationales.

La mission Chamarande

En 1993 - 1994, une Mission Chamarande fut chargée par le Conseil Général de l'Essonne de faire revivre ce lieu devenu domaine départemental et de lui trouver une affectation. Elle était animée par Michel Denieul, un chartiste. Avec l'appui de diverses personnalités locales, d'anciens responsables de mouvements issus du scoutisme catholique tentèrent de faire restaurer le Manoir pour y créer un petit musée de "l'identité scoute".

Citons Bernard Mantienne, Yann Cotten et Bertrand Chanzy mais cela n'a pas pu aboutir, notamment en raison de difficultés politiques internes au Département. En 2017 à part une salle Roland Pierre, il n'y reste plus trace du scoutisme.

Les Scouts catholiques de France

En 1992, les Scouts catholiques de France y organisèrent leur camp école annuel (CEP / BAFA).

Les festivités du centenaire du scoutisme

Pour les festivités en Essonne du centenaire du scoutisme, c'est naturellement le site de Chamarande qui a été retenu. C'est sur une initiative de Pascal Monet que le 1er mai 2007 tous les scouts de l'Essonne : Éclaireuses et éclaireurs israélites de France, Scouts musulmans de France, Scouts et guides de France, Guides et scouts d'Europe et Scouts unitaires de France se sont retrouvés pour une journée de rencontres et de jeux sur la même pelouse que nos anciens.[3]

Les festivités du centenaire du scoutisme catholique

En juillet 2020, le Château de Chamarande accueille une exposition sur les origines du scoutisme à Chamarande. Suite au confinement, l'inauguration à donc été retardée[4].

Autres activités

Certains artistes invités par le Département de l'Essonne et en résidence à Chamarande réalisent parfois des œuvres dont l'inspiration évoque des activités scoutes. On a pu voir ainsi le fauteuil du mestre de camp mais aussi un pont suspendu[5].

Bibliographie sur le Camp-École

  • Chamarande, Château-Gontier, Spes, 1934.
  • Georges Tisserand, Le Père Jacques Sevin, fondateur, Château-Gontier, Spes, 1965.

Voir aussi

Liens externes

Liens internes

Notes et références

Dans sa forme du , cet article est tiré de l'article de scoutopedia, sous licence GFDL.
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