Casteil

Casteil (prononcé en français : [castɛj] ) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Casteil
Castell de Vernet

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Olivier Chauveau
2020-2026
Code postal 66820
Code commune 66043
Démographie
Gentilé Casteillais
Population
municipale
137 hab. (2018 )
Densité 4,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 31′ 55″ nord, 2° 23′ 39″ est
Altitude Min. 697 m
Max. 2 721 m
Superficie 29,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Casteil
Castell de Vernet
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Casteil
Castell de Vernet
Géolocalisation sur la carte : France
Casteil
Castell de Vernet
Géolocalisation sur la carte : France
Casteil
Castell de Vernet

    Ses habitants sont appelés les Casteillais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Casteil se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 45 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 10 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 24 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Vernet-les-Bains (2,1 km), Sahorre (2,6 km), Fillols (3,6 km), Corneilla-de-Conflent (4,1 km), Fuilla (4,3 km), Py (5,2 km), Taurinya (6,1 km), Escaro (6,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Casteil fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 778 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Codalet », sur la commune de Codalet, mise en service en 1969[14]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 609,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 45 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie [23]. Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[24],[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[27].

    • le « massif du Canigou », d'une superficie de 11 746 ha, culmine à 2 784 mètres à l'extrémité orientale de la chaîne des Pyrénées. Il recèle de nombreuses espèces endémiques pyrénéennes dont certaines atteignent leur limite orientale et présente une gamme variée d'habitats naturels d'intérêt communautaire liés à l'étagement de la végétation[28] et au titre de la directive oiseaux[27]
    • le « canigou-conques de La Preste », d'une superficie de 20 224 ha, abrite une avifaune de montagne riche et diversifiée, tant au niveau des rapaces que des passereaux et des galliformes. Elle est également fréquentée régulièrement par deux couples de Gypaètes barbus et, en été, par un nombre conséquent de Vautours fauves en provenance du territoire espagnol[29].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[30] :

    • le « Flanc nord du massif du Canigou » (3 540 ha), couvrant 5 communes du département[31] ;
    • le « Haut Vallespir du pic de Costabonne au Pla Guillem » (3 249 ha), couvrant 2 communes du département[32] ;
    • la « Haute vallée du Cady » (1 021 ha), couvrant 2 communes du département[33] ;
    • la « vallée de la Llipodère » (545 ha)[34] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[30] :

    • « le Vallespir » (47 344 ha), couvrant 18 communes du département[35] ;
    • le « massif du Canigou » (19 263 ha), couvrant 15 communes du département[36].

    Urbanisme

    Typologie

    Casteil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[37],[38],[39]. La commune est en outre hors attraction des villes[40],[41].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (26,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[42].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La ligne 521 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Castell de Vernet[43]. Le toponyme Casteil vient de la présence du château seigneurial, dont il ne reste aujourd'hui que quelques vestiges à proximité de l'église Saint-Martin-le-Vieux.

    Histoire

    Façade de l'église paroissiale.

    Sous l’Ancien Régime, Casteil est un fief des seigneurs Vernet du IXe siècle jusqu'au XIIe siècle, date à laquelle ils s'installèrent au sommet du village de Vernet-les-Bains.

    La communauté dépend de l'abbaye Saint-Martin du Canigou conjointement avec Vernet-les-Bains pendant plusieurs siècles.

    Le village s'est développé au pied de l'emplacement du premier château, autour d'un oratoire créé au XVe siècle et devenu église paroissiale au XVIIIe siècle, après l'abandon de l'église Saint-Martin-le-Vieux.

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Casteil est incluse dans le canton de Vernet puis, en 1793, rattachée au canton de Corneilla. En 1801, elle rejoint le canton de Prades, qu'elle ne quitte plus par la suite[44],[45].

    À compter des élections départementales de 2015, la commune de Casteil rejoint le nouveau canton du Canigou.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Alain Margail    
    mars 2008   Juliette Cases[46],[47]    
    juin 2020 mars 2026 Olivier Chauveau    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1515 1553 1709 1789
    10 f3 f6 f6 f21 f27 f
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

    En 2018, la commune comptait 137 habitants[Note 8], en augmentation de 2,24 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    109155153149140144167176168
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    180184149151165159159162145
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    126144113919396689776
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    595052102130126125124134
    2018 - - - - - - - -
    137--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[51] 1975[51] 1982[51] 1990[51] 1999[51] 2006[52] 2009[53] 2013[54]
    Rang de la commune dans le département 206 170 202 163 169 167 171 168
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête communale : 11 novembre[55].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 744 [56].

    Entreprises et commerces

    Aujourd'hui la commune est assez prisée en été, car bénéficiant de son cadre entre le Canigou (pour les amateurs de randonnée) et de la station thermale de Vernet-les-Bains. Plusieurs locations sont disponibles sur place, de même qu'un camping.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    La commune est principalement connue pour être celle de l'abbaye Saint-Martin du Canigou, qui est située à environ une demi-heure à une heure de marche par une route cimentée.[réf. nécessaire] Elle est aussi le point de départ de nombreuses excursions dans les massifs environnants (dont le Canigou).

    Église paroissiale Saint-Martin
    Casteil, église Saint-Martin
    Retable du maître-autel.
    Mausolée du comte Guifred.

    L'Église Saint-Martin de Casteil est située au cœur du village actuel, c'était à l'origine un simple oratoire, vraisemblablement établi au XVe siècle. Cet oratoire devint église paroissiale après l'abandon de Saint-Martin-le-Vieux, vers 1658. Cette citation mentionne l'église Sant Marti lo Vell, ce qui signifie que l'actuelle église paroissiale existait déjà.

    La construction actuelle date du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle. Le bâtiment est construit en galets et briques, et comporte une nef unique à chevet-plat voûtée en berceau, dotée d'une chapelle latérale au nord. La tour du clocher a été élevée sur la travée du chœur.

    L'ancien mausolée du comte Guifred, fondateur de l'abbaye Saint-Martin, a été transféré dans l'édifice à la Révolution et intégré au mur sud de la nef. Ce transfert n'a d'ailleurs pas empêché la profanation du tombeau en 1793. En marbre rose de Villefranche, le monument est composé d'une niche surmontée d'un arc brisé. Il est datable du XIVe siècle. À l'intérieur de cette niche, l'inscription funéraire, inscrite sur un bloc brisé en plusieurs morceaux en caractère gothique, a été déposée.

    [réf. nécessaire]

    Église Saint-Martin-le-Vieux (Sant Marti Vell)
    Saint-Martin-le-Vieux.

    L'église est située sur la route reliant Casteil à l'abbaye Saint-Martin, à proximité du château primitif des seigneurs de Vernet. De style roman, ancienne église paroissiale du village, elle a été abandonnée au XVIIe siècle au profit de l'église actuelle. Totalement négligé, l'édifice, qui s'effondra, disparut bientôt presque totalement sous la végétation.

    Lorsqu'on se décida à le dégager et à le restaurer en 1978, il n'en restait plus que les niveaux inférieurs du clocher et de l'église. Il fallut quasiment reconstruire l'édifice, à nef unique charpentée terminée par une abside semi-circulaire voûtée par un cul de four. Deux corps annexes dessinent un faux transept.

    [réf. nécessaire]

    Abbaye Saint-Martin-du-Canigou

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules à saint Martin à cheval partageant son manteau avec un mendiant, le tout d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé Albert Cazes, Le Roussillon Sacré, Revue Conflent, .
    • Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 2-85998-244-2).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Casteil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Casteil et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Casteil et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Casteil et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Casteil », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Codalet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    16. « Station Météo-France Codalet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Casteil et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    25. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Casteil », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR9101475 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « site Natura 2000 FR9110076 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Liste des ZNIEFF de la commune de Casteil », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    32. « ZNIEFF le « Haut Vallespir du pic de Costabonne au Pla Guillem » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF la « Haute vallée du Cady » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF la « vallée de la Llipodère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    41. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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