Canly

Canly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Canly

La mairie, rue des Écoles.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Lionel Guibon
2020-2026
Code postal 60680
Code commune 60125
Démographie
Population
municipale
771 hab. (2018 )
Densité 96 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 14″ nord, 2° 42′ 32″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 129 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 52e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Canly
Géolocalisation sur la carte : Oise
Canly
Géolocalisation sur la carte : France
Canly
Géolocalisation sur la carte : France
Canly

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le département de l'Oise, dans la plaine d'Estrées, entre Clermont et Compiègne, sur l'itinéraire de l'autoroute A1 et de la LGV Nord, près de leur croisement avec la RN 31 Rouen - Reims.

    Canly est une commune résidentielle à caractère rural, peu industrialisée, en dehors de toute agglomération[1].

    Le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne est éloigné de km[2], et le chef-lieu d'arrondissement de Clermont de 21 km[3]. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 64 km[4], et le chef-lieu de département Beauvais est distant de 46 km[5]. Aucun cours d'eau n'est présent sur le territoire communal.

    Communes limitrophes

    Transports et déplacements

    Le centre du village correspond au carrefour de deux routes départementales : la RD 26 qui est un axe nord-sud, et la RD 10 orientée dans un sens est-ouest. La première établit la connexion avec la RN 31 au nord du territoire communal et avec la voie rapide de la RD 200 au sud de Longueil-Sainte-Marie ; la seconde mène vers la RD 1017 à Sacy-le-Petit, près de Pont-Sainte-Maxence, à l'ouest, et vers la commune voisine de Jonquières à l'est. Quant à la RN 31, elle passe par la limite nord du territoire communal, où elle est interconnectée avec la RD 26. Pour atteindre l'autoroute A1 par son échangeur n° 10 « Compiègne Ouest », il faut d'abord passer par la RN 31 sur laquelle se greffe cet échangeur. Il se situe à cheval sur Canly et la commune voisine d'Arsy.

    L'autoroute A1, grand axe nord-sud, ainsi que la LGV Nord qui lui est parallèle, coupent le territoire communal en deux parties. La moitié ouest est presque exclusivement occupée par des terres agricoles, alors que le village se situe sur la moitié est. Bien que peu accentué, le relief est loin d'être plat. Le point le plus bas à 48 m au-dessus du niveau de la mer se situe sur la RD 26, à l'endroit où elle quitte la commune : le terrain descend vers la moyenne vallée de l'Oise. Le point culminant correspond au sommet de l'une des deux collines surplombant le village à l'est, le Mont Hart atteignant 129 m au-dessus du niveau de la mer. Ces collines sont boisées, et d'autres petites parcelles boisées sont disséminées sur le territoire, mais il n'y a pas de forêt véritable. Vouée au cyclisme et à la randonnée, une voie verte sur une section désaffectée de la ligne d'Ormoy-Villers à Boves vient d'Estrées-Saint-Denis et continue vers les bords de l'Oise.

    Canly ne possède plus de gare sur son territoire, la gare la plus proche, celle de Longueil-Sainte-Marie, étant éloignée de 5,3 km. Elle est desservie par les trains omnibus TER Picardie de la relation n° 12 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent neuf trains dans chacun des deux sens, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 54 min pour Paris et de 13 min pour Compiègne[8]. Sur le plan des transports en commun, Canly est desservi par une ligne d'autocars du réseau du conseil général de l'Oise : la ligne 33B Clermont - Compiègne, à vocation essentiellement scolaire. Elle propose toutefois deux aller-retours pour Compiègne en transport sur réservation pendant les vacances scolaires, du lundi au samedi[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 695 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 44 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[20] à 10,6 °C pour 1981-2010[21], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Canly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,4 %), zones urbanisées (5 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), forêts (3,3 %), prairies (0,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Alain d'Alayer    
    mars 2001 2014 René Bécuwe PS  
    2014 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Lionel Guibon   retraité
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2018, la commune comptait 771 habitants[Note 7], en diminution de 4,1 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    643660700685629590582570540
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    503478502520504514534506523
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    489488489472533557508561562
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    597513535625635683756766800
    2017 2018 - - - - - - -
    782771-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,5 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 15,2 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 23 %, 45 à 59 ans = 28,4 %, plus de 60 ans = 16,3 %) ;
    • 49,5 % de femmes (0 à 14 ans = 22,2 %, 15 à 29 ans = 14 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 19 %).
    Pyramide des âges à Canly en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,0 
    6,2 
    75 à 89 ans
    7,9 
    9,8 
    60 à 74 ans
    11,1 
    28,4 
    45 à 59 ans
    21,6 
    23,0 
    30 à 44 ans
    23,2 
    17,1 
    15 à 29 ans
    14,0 
    15,2 
    0 à 14 ans
    22,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin depuis le sud-ouest.

    Canly ne compte aucun monument historique inscrit ou classé sur son territoire.

    On peut néanmoins mentionner :

    • L'église Saint-Martin, au carrefour au centre du village : elle comporte une nef de deux travées, un chœur rectangulaire au chevet plat, moins large que la nef, un bas-côté nord, un croisillon ou chapelle nord et un clocher central en charpente. La longueur totale à l'extérieur est de 23,8 m, et la hauteur des murs du chœur et de la nef atteint m à m selon les endroits, alors que le faîtage de la nef est à 11 m de hauteur. C'est une église remaniée aux volumes simples, sans caractère, mais conservant d'intéressants vestiges romans. Ils concernent le chœur (sauf son mur septentrional), la partie méridionale de la nef et la partie droite de la façade occidentale. Les murs sont majoritairement en pierre de taille, et selon les endroits en moellons, toujours bien alignés. Le chevet est percée d'un triplet de trois baies plein cintre surbaissées. Chacune est cantonnée de deux colonnes engagées sculptées à même le mur, et arborant des chapiteaux sculptés de feuilles plates. La sacristie cache en grande partie le mur roman au sud du chœur, qui a gardé une baie plein cintre d'origine. Les trois fenêtres du mur sud de la nef sont modernes. La façade occidentale a été ravalée maladroitement de sorte à faire disparaître ses éléments de style romans, et le portail a été refait : bien que d'apparence roman, c'est immédiatement au-dessus de l'arcade de la porte que l'on aperçoit les traces de l'archivolte romane véritable. La petite fenêtre romane au-dessus du portail est d'origine. La voûte de la nef a été remplacée par un plafond, et le plafond horizontal primitif de la nef a été remplacé par une fausse voûte en bois[37],[38].
    • L'ancien jeu d'arc, place du Jeu-d'Arc, à la sortie sud du village vers Longueil-Sainte-Marie.

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la croix processionnaire d'or accostée de deux crosses d'abbé du même, les volutes adossées[39].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pascal Lenoir, « En passant par ...Canly », La revue du pays d'Estrées, Grandfresnoy, Association des Deux Montagnes, no 31, (ISSN 1637-5858)
    • Eugène Joseph Woillez, Archéologie des monuments religieux de l'ancien Beauvoisis pendant la métamorphose romane, Paris, Derache, , 492 p. (lire en ligne), p. C14-C16

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre Canly et Compiègne », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Canly et Clermont (Oise) », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Canly et Paris », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre Canly et Beauvais », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    6. « Communes limitrophes de Canly » sur Géoportail..
    7. « Communes limitrophes de Canly » sur Géoportail..
    8. [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
    9. [PDF] « Horaire de la ligne 33B Creil-Clermont » sur le site « Fiches horaires », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    16. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Canly et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Canly et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. A.C., « Le premier magistrat Lionel Guibon réélu », Oise Hebdo, no 1369, , p. 17 (ISSN 1774-6418) « Lionel Guibon a été réélu maire. En 2014, il avait succédé à René Bécuwe ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Évolution et structure de la population à Canly en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. Eugène Joseph Woillez, Archéologie des monuments religieux de l'ancien Beauvoisis pendant la métamorphose romane, Paris, Derache, , 492 p. (lire en ligne), p. C14-C16.
    38. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 33-34.
    39. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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