Céré-la-Ronde

Céré-la-Ronde est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Céré.

Céré-la-Ronde

Château de Montpoupon.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes de Bléré Val de Cher
Maire
Mandat
Jacques Duvivier
2020-2026
Code postal 37460
Code commune 37046
Démographie
Gentilé Céréens
Population
municipale
448 hab. (2018 )
Densité 9,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 41″ nord, 1° 11′ 27″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 187 m
Superficie 49,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bléré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Céré-la-Ronde
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Céré-la-Ronde
Géolocalisation sur la carte : France
Céré-la-Ronde
Géolocalisation sur la carte : France
Céré-la-Ronde
Liens
Site web www.cere-la-ronde.fr

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    Sur le plateau entre Cher et Indre, la commune de Céré-la-Ronde fait partie de la micro-région naturelle de la Gâtine de Loches. Le bourg est situé à 10 km au sud de Montrichard Val de Cher (Loir-et-Cher)[1]. La commune est rattachée à la zone d'emploi de Loches, au bassin de vie de Montrichard Val de Cher et au canton de Bléré[I 1].

    Les communes limitrophes de Céré-la-Ronde sont Le Liège, Luzillé, Épeigné-les-Bois (présence d'un quadripoint), Saint-Georges-sur-Cher, Faverolles-sur-Cher, Saint-Julien-de-Chédon, Angé, Pouillé, Mareuil-sur-Cher (ces six communes sont situées dans le Loir-et-Cher), Orbigny et Genillé.

    Géologie et relief

    Le sous-sol de Céré-la-Ronde est constitué de calcaire du Turonien, notamment le tuffeau blanc dit « pierre de Bourré » (c3b) ou jaune (c3c) qui affleure au flanc des vallées. Il est recouvert par une épaisse couche d'argiles à silex (c4-6S) datant du Sénonien. Très localement, des sables détritiques de l'Éocène (eC) se superposent aux argiles. Une grande partie du territoire est recouverte d'une couche de limon éolien des plateaux quaternaire (LP). Un anticlinal affecte tout cet ensemble d'ouest en est. C'est à ce niveau, sous le toit des formations triasiques, à environ 900 m de profondeur, que sont ménagées des poches de stockage de gaz naturel[2],[3].

    Le territoire de la commune possède le point culminant du département d'Indre-et-Loire : le Signal de la Ronde à 187 mètres d'altitude. Situé à 4 km au nord-est du village sur la crête de l'anticlinal, il se trouve sur la frontière avec le département de Loir-et-Cher. Le reste du plateau se trouve fréquemment à une altitude de plus de 140 m, alors que l'altitude minimale relevée est de 85 m dans le vallon d'un cours d'eau[3].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Céré-la-Ronde.

    Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 31,76 km, comprend un cours d'eau notable, le Chézelles (7,233 km), et divers petits cours d'eau dont l'Aiguevives (1,036 km) et le Senelles (0,454 km)[4],[5].

    Le Chézelles, également dénommé localement « l'Aigremont », d'une longueur totale de 16,8 km, prend sa source dans la commune dans le bois du Châtelier et se jette dans le Cher à Saint-Georges-sur-Cher (Loir-et-Cher), après avoir traversé 4 communes[6]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[7]. Sur le plan piscicole, le Chézelles est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[8].

    Neuf zones humides[Note 2] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau de l'Aigremont », « l'étang d'Aiguevives », « l'étang de la Naudière », « l'étang de la Coterie », « l'étang de la Verdure », « les étangs de la Ronde », « les étangs du Chêne blanc », « l'étang de la Chopine » et « l'étang des Marteaux »[9],[10].

    Climat

    La commune du Céré-la-Ronde est soumise, comme l'ensemble des communes d'Indre-et-Loire, à un climat tempéré océanique dit dégradé[11], caractérisé par des températures clémentes, même en hiver. Aucun mois n'est véritablement sec, les précipitations mensuelles moyennes étant toujours supérieures à 40 mm. En outre, les légers reliefs boisés de l'est (crête de l'anticlinal) semblent suffisants pour créer un obstacle aux masses d'air atlantiques, conférant à cette partie de l'Indre-et-Loire une pluviométrie un peu plus importante que celle enregistrée dans le reste de la Touraine[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Céré-la-Ronde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,3 %), terres arables (41,6 %), prairies (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones urbanisées (0,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), eaux continentales[Note 4] (0,5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Morphologie urbaine

    L'habitat communal est très dispersé autour d'un bourg à la structure lâche, avec de nombreux hameaux ou fermes isolées dont certains sont progressivement délaissés. Cet éparpillement est dû à la nature argileuse des sols qui rendait autrefois les transports difficiles sur des chemins peu praticables[3].

    Risques industriels

    Une zone de stockage souterrain de gaz d'une capacité maximale de 1,2 million de m3 se trouve en grande partie sur la commune, à plus de 900 m de profondeur, dans des terrains du Trias[20]. Elle est classée risque Seveso seuil haut. Une grande partie orientale du territoire communal est ainsi concerné par un plan de prévention des risques technologiques (PPRT) pour des risques de « combustion » (en cas d'incendie) et/ou de « surpression » (en cas d'explosion) liés à la présence de cette entreprise[21] et la plupart des 26 puits descendant dans la poche de gaz se trouvent dans le massif de la Ronde, la zone de stockage s'étendant au sous-sol de cinq communes[22].

    Voies de communication et transports

    La principale voie de communication est l'axe nord-sud de Montrichard à Orbigny puis Écueillé passant par le chef-lieu communal, constitué de la D 281 au nord du bourg et de la D 81 au sud. Il est complété par un ensemble de voies rayonnantes à partir du bourg qui desservent les écarts.

    La commune n'est pas directement desservie par un réseau de transports en commun. Il faut gagner Genillé pour accéder à la ligne TC du réseau Rémi pour l'Indre-et-Loire qui permet d'aller à Loches et au-delà à Descartes, ou Montrichard, tête de la ligne C du même réseau vers Amboise et Tours[23]. Il est également possible de rejoindre Saint-Georges-sur-Cher où la ligne 6 du réseau Rémi pour le Loir-et-Cher permet d'aller à Blois[24].

    Toponymie

    L'origine du toponyme « Céré » est très incertaine. Elle pourrait provenir de l'anthroponyme gaulois Cerata selon Xavier Delamarre ou de l'anthroponyme latin Cerus et du suffixe -ate pour Ernest Nègre. « La Ronde » est le nom d'une ferme sur le territoire communal[25]. Ce toponyme complète en 1936 le nom de la commune.

    Histoire

    Des fouilles à la Pyramide, dans le massif de la Ronde ont mis au jour des vestiges d'occupation au Paléolithique moyen et supérieur (le Magdalénien est bien représenté[26]) et au néolithique[27]. Plusieurs toponymes (les Forges, le Carrefour des Forges, la Fournerie) évoquent des activités sidérurgiques non datées, mais probablement très anciennes[28].

    Grégoire de Tours rapporte qu'Euphrône, son prédécesseur à l'évêché de Tours, fonde vers 560 une église à Céré[29] qui a alors le statut de vicus[30] mais c'est une église construite à partir du XIIe siècle qui est présente sur la commune. Les défrichements sont probablement en cours en 1246 puisqu'à cette date un document mentionne de « nouvelles terres »[31]. Vers 1300, l'église, qui relève de l'archevêque de Tours, est reléguée à l'écart du bourg médiéval[32].

    C'est en 1854 que l'archevêque de Tours Mgr François-Nicolas-Madeleine Morlot crée au château de la Ronde une colonie agricole où dix-huit orphelins, en quelques années, défrichent et rendent cultivables une soixantaine d'hectares de landes et de bruyères[33].

    La Première Guerre mondiale fait 51 victimes dans les rangs des soldats de Céré-la-Ronde[34]. Début , le maquis noir du « capitaine » Lecoz enlève et séquestre pour quelques jours, contre rançon, les châtelains de Montpoupon. Il s'installe du 6 au au château de Razay alors inoccupé, qu'il pille, ainsi que plusieurs demeures des environs. Il investit ensuite, pour trois jours, le château du Grand-Biard[35]. Dans les années 1980, des études et des forages exploratoires sont réalisés pour évaluer la capacité du sous-sol à stocker du gaz naturel[3]. Ces travaux aboutissent en 1993 à la création du stockage en nappe aquifère de la Ronde[20].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jean Touchelet    
    mars 2008 mars 2014 Patrice Lécureuil    
    mars 2014 En cours Jacques Duvivier SE Avocat
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Céré-la-Ronde sont les « Céréens »[25].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 448 habitants[Note 5], en diminution de 0,88 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    824854845895926917940964990
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9959949751 0211 0521 0851 1271 1481 134
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1351 1061 082975977889804734746
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    662640571481435437408446450
    2018 - - - - - - - -
    448--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune de Céré-la-Ronde est intégrée à un regroupement pédagogique intercommunal comprenant également Genillé et Le Liège. Les écoles maternelle et élémentaire se trouvent sur Céré et Genillé[40].

    La carte scolaire départementale prévoit la scolarisation des étudiants de Céré-la-Ronde dans le collège de Montrésor et le lycée de Loches[41].

    Santé et services d'urgence

    Aucun médecin généraliste n'est installé à Céré-la-Ronde en 2017. Les praticiens les plus proches exercent à Montrichard Val de Cher. Le centre hospitalier le plus proche est celui de Saint-Aignan-sur-Cher : ancien hôpital local, il ne dispose pas de services d'urgence[42].

    Économie

    Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Céré-la-Ronde selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[I 2] :

    Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2015.
    Total  % 0
    salarié
    1 à 9
    salariés
    10 à 19
    salariés
    20 à 49
    salariés
    50 salariés
    ou plus
    Ensemble 54 100,0 39 14 0 1 0
    Agriculture, sylviculture et pêche 19 29,6 10 6 0 0 0
    Industrie 7 13,0 4 3 0 0 0
    Construction 1 1,9 0 1 0 0 0
    Commerce, transports, services divers 26 48,1 23 2 0 1 0
    dont commerce et réparation automobile 5 9,3 5 0 0 0 0
    Administration publique, enseignement, santé, action sociale 4 7,4 2 2 0 0 0
    Champ : ensemble des activités.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin.

    Le château de Montpoupon, classé aux monuments historiques[43], abrite un musée de la vénerie[44]. Le logis fortifié du XIIe siècle est remanié au XVe siècle et agrandi un siècle plus tard[45].

    Le château du Grand-Biard est construit dans le style néo-Louis XIII en pierre de taille et briques. Il existait au XIVe siècle, sur le domaine, une chapelle disparue depuis qui dépendait de l'abbaye de Beaugerais[46].

    L'église dédiée à saint Martin est également classée[47]. Ses fondations datent partiellement du XIIe siècle, tout comme son clocher intégralement construit en pierre. Les autres parties de l'édifice sont attribuables au XVIe siècle. Le plan de l'édifice traduit cette chronologie ; les premières travées de la nef correspondant à l'église romane ; les deux suivantes, plus étroites mais pourvues de bas-côtés, sont construites sur les fondations du XVIe siècle. Le chœur de l'église abrite des stalles, certaines du XVe, les autres du XVIe siècle[48].

    Au sud de l'église, l'ancien presbytère du XVIe siècle fait également l'objet de mesures de protection[49]. Une tourelle d'escalier octogonale prend place à un angle du bâtiment[46].

    Personnalités liées à la commune

    • Le peintre Armand Langlois et sa famille ont vécu de 1977 à 1991 près du château de Montpoupon, au Moulin du Parc où ils avaient ouvert un petit musée de l'Imaginaire.
    • Au printemps 1985, lors d’un rassemblement local pour la protection de la nature, la petite ville reçoit la visite impromptue d'Huguette Bouchardeau, alors toute nouvelle ministre de l’environnement[50].

    Traditions

    • Une Foire aux chèvres se déroule chaque année le dernier dimanche d'octobre.

    Blasonnement

    Les armoiries de Céré-la-Ronde se blasonnent ainsi :

    Écartelé en sautoir : au 1er d'or au chêne coupé de sinople, aux 2e et 3e de gueules à la chèvre cabrée d’argent, les deux chèvres adossées, au 4e d'or au manteau de saint Martin de gueules partagé en deux par une épée haute de sable.

    Voir aussi

    • Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, CLD, , 967 p. (ISBN 978-2-85443-136-0).
    • Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. 1, Paris, Flohic, , 1406 p. (ISBN 2-84234-115-5).
    • Élisabeth Lorans, Le Lochois du Haut Moyen Âge au XIIIe siècle : territoires, habitats et paysages, Tours, Publications de l'Université de Tours, , 289 p. (ISBN 2-86906-092-0).
    • Robert Ranjard, La Touraine archéologique : guide du touriste en Indre-et-Loire, Mayenne, Imprimerie de la Manutention, (réimpr. 1986), 3e éd., 733 p. (ISBN 2-85554-017-8), p. 670-671.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    2. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Site de l'Insee :
    • Autres références :
    1. « Orthodromie entre Céré-la-Ronde et Montrichard », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte géologique de la France au 1/50 000 - Saint-Aignan » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ).
    3. Couderc 1987, p. 231.
    4. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    5. « Carte hydrologique de Céré-la-Ronde », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Fiche Sandre - le Chézelles », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    8. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    10. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    11. « Les climats du monde », sur le site de l'encyclopédie Larousse (consulté le ).
    12. Pierre Leveel, Histoire de Touraine et d'Indre-et-Loire, Chambray-lès-Tours, CLD, , 991 p. (ISBN 978-2-85443-157-5), p. 20.
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. « Céré-la-Ronde », sur le site de Storengy (consulté le ).
    21. « Arrêté préfectoral relatif à l'information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs dans la commune de Céré-la-Ronde » [PDF], sur le site des services de l'État en Indre-et-Loire (consulté le ).
    22. I. Roullet, « Storengy : 20 bougies sur une poche de gaz », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
    23. « Plan du réseau 37 » [PDF], sur le site du Réseau de mobilité interurbaine (consulté le ).
    24. « Plan du réseau 41 » [PDF], sur le site du Réseau de mobilité interurbaine (consulté le ).
    25. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 70-71.
    26. Flohic 2001, p. 208.
    27. Jean-Jacques Cleyet-Merle et J. Lété, « Contribution à l'étude du Paléolithique moyen et supérieur de la vallée du Cher : la station de la Pyramide à Céré-la-Ronde », Bulletin de la Société préhistorique française, t. LXXXII, no 6, , p. 181-189 (DOI 10.3406/bspf.1985.8684).
    28. Gérard Cordier, « Toponymie paléosidérurgique de la Touraine », Norois, , p. 430 (DOI 10.3406/noroi.1983.4132).
    29. Couderc 1987, p. 233.
    30. Lorans 1996, p. 58.
    31. Lorans 1996, p. 163.
    32. Lorans 1996, p. 206.
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    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Ivan Rouillet, « Ruralité : la quadrature du cercle passe par l’école », La Nouvelle-République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
    41. « Zones de recrutement des collèges et des lycées - département d'Indre-et-Loire » [PDF], sur le site de l'académie d'Orléans-Tours (consulté le ), p. 22.
    42. « Trouver un établissement - Loir-et-Cher », sur L'hôpital, un site de la Fédération hospitalière de France (consulté le ).
    43. Notice no PA00097620, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Le musée », sur le site du château de Montpoupon (consulté le ).
    45. Flohic 2001, p. 209.
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    48. Ranjard 1949, p. 239.
    49. Notice no PA00097622, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Fête de la nature à Céré-la-Ronde », sur Mémoire, sur ciclic.fr (consulté le ).
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