Brens (Tarn)

Brens est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Brens.

Brens

Place Principale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Sylvie Garcia
2020-2026
Code postal 81600
Code commune 81038
Démographie
Gentilé Brensols
Population
municipale
2 313 hab. (2018 )
Densité 101 hab./km2
Population
agglomération
18 794 hab. (2015)
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 25″ nord, 1° 54′ 40″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 196 m
Superficie 22,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gaillac
(banlieue)
Aire d'attraction Gaillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gaillac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Brens
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Brens
Géolocalisation sur la carte : France
Brens
Géolocalisation sur la carte : France
Brens
Liens
Site web www.ville-brens.fr

    La commune est connue pour la présence d'un camp d'enfermement utilisé comme centre d'accueil pour réfugiés espagnols (d'octobre 1939 à novembre 1940), de centre d'hébergement pour réfugiés juifs étrangers (de novembre 1940 à mars 1941), de camp de concentration pour femmes (de 1942 à 1944) et de camp pour « collabos » (en décembre 1944).

    Brens a obtenu le label Village étape en 2014.

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine de Gaillac située dans son unité urbaine, au sud-est de Gaillac en rive gauche du Tarn.

    Communes limitrophes

    Brens est limitrophe de six autres communes.

    Carte de la commune de Brens et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Brens[1]
    Gaillac Rivières
    Lagrave
    Montans Técou Cadalen

    Relief et géologie

    Commune de Brens est établie sur la première terrasse du Tarn en rive gauche.

    La superficie de la commune est de 2 279 hectares ; son altitude varie de 103 à 196 mètres[2].

    Hydrographie

    Le territoire de la commune se situe à la confluence du Tarn et du ruisseau de Saudronne ainsi que du Candou elle est aussi arrosée par le ruisseau de Vieulac.

    Voies de communication et transports

    Accès par l'A68, ainsi que par le train en de gare de Gaillac desservie par les TER Occitanie.

    La commune est également desservie par des lignes régulières du réseau régional liO : la ligne 704 la relie à Castres et à Gaillac ; la ligne 710 la relie à Lavaur et à Gaillac ; la ligne 712 la relie à Albi et à Gaillac.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 743 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montans », sur la commune de Montans, mise en service en 1992[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 753,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 15 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[12] à 13,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Brens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gaillac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 18 708 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), cultures permanentes (9,3 %), zones urbanisées (4,2 %), eaux continentales[Note 5] (3,8 %), forêts (1,9 %), mines, décharges et chantiers (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Centre d'accueil pour réfugiés espagnols (octobre 1939 - novembre 1940)

    Le , le préfet du Tarn réquisitionne un terrain aux portes de Gaillac situé sur la commune de Brens pour en faire un « centre d’accueil pour réfugiés ». Vingt baraques sont construites. À partir du , le camp accueille près de mille réfugiés, Belges, Espagnols et Polonais fuyant la zone occupée. Durant l'été 1940, le camp – utilisé aussi par le centre de démobilisation de Gaillac – se vide.

    Centre d'hébergement pour réfugiés juifs étrangers (novembre 1940 - mars 1941)

    En novembre 1940, la préfecture de la Haute-Garonne et le Comité juif de bienfaisance de Toulouse prennent l’initiative conjointe de transformer le camp en « centre d'hébergement pour réfugiés juifs étrangers » pour loger une partie des juifs, sans ressources, qui ont fui l'avance nazie et se sont réfugiés à Toulouse. Le camp héberge 1 600 personnes, dont 400 enfants, près de la moitié d'origine polonaise.

    À partir de janvier 1941, la libre circulation à l'extérieur est interdite et début mars, les juifs sont transférés aux camps de Noé et du Récébédou, d'où la plupart partiront pour Drancy puis Auschwitz.

    Camp de concentration pour femmes (1942-1944)

    Le , la direction de la sûreté nationale fait savoir que Brens a été retenue comme « camp de concentration pour femmes ». Le , arrivent par camion, depuis la gare de Gaillac, les 320 femmes et les 26 enfants du camp de Rieucros.

    C’est une population cosmopolite, constituée à 75 % d’étrangères, comportant une quinzaine de nationalités. Il s’agit de militantes communistes, de syndicalistes, de réfugiées « suspectes » (en majorité, juives allemandes et polonaises), d’Espagnoles révoltées du camp d'Argelès, de prostituées et de droit commun (les prostituées occupant un baraquement à part). Une des occupations dans le camp est de fabriquer des brosses et des balais[23].

    La réputation, faite par Vichy, d'être un « camp de prostituées » a persisté jusqu'à nos jours. En réalité, les prisonnières politiques sont nombreuses, et seront majoritaires après septembre 1943 avec l'afflux important de Résistantes et la décision du maréchal Pétain de faire libérer les prostituées.

    Le camp est fermé le . Les 150 prisonnières sont transférées au camp de Gurs d'où elles ne tardent pas à s'évader.

    Camp pour « collabos »

    Le , le camp de Brens reprend sa fonction carcérale en hébergeant 273 collaborateurs tarnais. En juillet 1945, c'est à nouveau un camp « féminin » (267 femmes, 118 enfants) avec des conditions matérielles qui ne sont guère meilleures que pendant la période précédente. Le camp se vide peu à peu de ses occupantes fin 1945 avant d’être brièvement converti en camp de vacances, puis récupéré par son propriétaire.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix neuf[24],[25].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie depuis le de Gaillac Graulhet Agglo ancienne communauté d'agglomération du Rabastinois - Tarn et Dadou - Vère Grésigne et Pays Salvagnacois et du canton de Gaillac et elle faisait partie jusqu'au de la communauté de communes Tarn et Dadou.

    Liste des maires

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1896 février 1907 Norbert Pigot    
    février 1907 juillet 1923 Louis Déléris    
    juillet 1923 mai 1929 Joseph Villa    
    mai 1929 mai 1935 François Prat    
    mai 1935 octobre 1944 Évariste Gauzes    
    octobre 1944 mai 1945 Louis Trinques    
    mai 1945 mars 1959 Pierre Almaric    
    mars 1959 mars 1977 Joseph Cransac    
    mars 1977 mars 1983 Marcel Fontanilles DVG  
    mars 1983 mars 1989 Pierre Fabre    
    mars 1989 juillet 2020 Michel Terral PS Agent de maîtrise
    juillet 2020 En cours Sylvie Garcia   Infirmière libérale
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2018, la commune comptait 2 313 habitants[Note 6], en augmentation de 2,8 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8391 0001 0141 0611 2081 2001 2431 3061 314
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2831 2621 2141 2251 2651 2581 2181 1561 176
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1321 1231 1039951 0069929751 0521 063
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0871 2741 4171 3941 3641 5981 9622 2012 296
    2018 - - - - - - - -
    2 313--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[30] 1975[30] 1982[30] 1990[30] 1999[30] 2006[31] 2009[32] 2013[33]
    Rang de la commune dans le département 34 35 40 43 41 34 31 30
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Enseignement

    Brens fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par l'école maternelle Françoise-Dolto et l'école primaire Marcel-Carrier[34].

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Tarn et Dadou[35] et du syndicat de traitement départemental TRIFYL.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Eugène de Brens.
    • Chapelle Saint-Eugène de Brens.
    • Château de Brens
    • La tour XIIIe siècle, la chapelle du cimetière est datée de 972, le pont de la Tuile est médiéval à une seule arche, l'église du XIIIe et XIVe siècle.
    • Pigeonnier daté de 1848 et réhabilité en 2008. Il est situé sur la route de Cadalen.

    Personnalités liées à la commune

    Lors de la seconde guerre mondiale Esther Granek et sa famille se retrouvent dans un camp de concentration situé à Brens.

    Héraldique

    Les armes de Brens se blasonnent ainsi : De gueules à la lettre B capitale d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (de) Mechtild Gilzmer : Fraueninternierungslager in Südfrankreich. Rieucros und Brens 1939 - 1944. Orlanda, Berlin 1994 (ISBN 3929823101)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Montans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Brens et Montans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météofrance Montans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Brens et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Gaillac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. La Seconde Guerre mondiale dans le département du Tarn dir.Sylvie Desachy Archives départementales 2001 p. 158 (ISBN 2-86081-010-2).
    24. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    25. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. http://www.ville-brens.fr/Les-ecoles.html
    35. http://www.ville-brens.fr/Dechets-menagers.html
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