Brantes

Brantes est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Brantes (homonymie).

Brantes

Brantes.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Vaison Ventoux
Maire
Mandat
Roland Ruegg
2020-2026
Code postal 84390
Code commune 84021
Démographie
Gentilé Brantulois, Brantuloises
Population
municipale
88 hab. (2018 [1])
Densité 3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 39″ nord, 5° 20′ 03″ est
Altitude 546 m
Min. 425 m
Max. 1 900 m
Superficie 28,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vaison-la-Romaine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Brantes
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Brantes
Géolocalisation sur la carte : France
Brantes
Géolocalisation sur la carte : France
Brantes

    Géographie

    Localisation

    Le village de Brantes est un village perché entre le mont Ventoux au sud et la Drôme au nord.

    Voies routières

    • Deux routes traversent la commune sur un axe est-ouest : la route départementale 41 au nord du village, sur la hauteur, et la route départementale 40 au sud, en contrebas en bordure du Toulourenc. Entre les deux, permettant d'atteindre le bourg, la route départementale 136.
    • La commune de Brantes est traversée par plusieurs sentiers de grande randonnée, les GR 4, GR 9 et GR 91[2], et sert de point de départ pour de nombreuses randonnées sur sentiers balisés.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Géologie et relief

    Géologie

    Le mont Ventoux est constitué de calcaires urgoniens blanchâtres massifs, d'âge crétacé inférieur, et très clairs (d'où l'impression d'un sommet enneigé). Son importante élévation vient de la compression due à la formation de la chaîne pyrénéo-provençale, aujourd'hui disparue. Cette compression a bombé et fait chevaucher les roches de la montagne sur les terrains plus au nord, durant le crétacé supérieur et le début du tertiaire.

    La vallée du Toulourenc, quant à elle, a un sol du quaternaire composé de dépôts fluviatiles, colluvions et éboulis.

    Reliefs

    Le village est perché entre 500 et 600 mètres d'altitude avec au-dessus la barre du Charles (836 mètres) puis plus au nord la montagne de Geine (1 267 mètres).

    Au sud, une vallée plus ou moins large où coule le Toulourenc (d'où le nom de « vallée du Toulourenc ») puis par delà la vallée du Toulourenc, le versant septentrional du mont Ventoux et le col des Tempêtes (1 829 mètres). Le mont Ventoux est classé « Réserve de Biosphère » par l'UNESCO depuis 1994.

    Végétation

    Le versant nord (ubac) du mont ventoux est moins ensoleillé. Ses pentes sont abruptes, faites d'éboulis et de falaises majestueuses et sa flore y est médioeuropéenne et non plus méditerranéenne. Parmi les végétations dominantes du versant nord[4], on trouve des chênes verts jusqu'à 620 mètres d'altitude puis des noyers de 620 à 800 mètres. De la garrigue aux herbes aromatiques comme le thym et la lavande vraie entre 800 et 910 mètres d'altitude. Ensuite, des hêtres de 910 à 1 380 mètres et des pins à crochets (sous-espèce de pins de montagne) jusqu'à 1 720 mètres d'altitude. Enfin, le secteur alpin au-dessus de 1 720 mètres d'altitude[5].

    Sur les pentes de la barre du Charles et de la montagne de Geine, bois de chênes et pins.

    Quelques champs au cœur de la vallée.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Pont roman sur le Toulourenc.

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

    • La commune est arrosée par le Toulourenc, affluent de l'Ouvèze, au bas du village. Le pont qui l'enjambe, dit pont romain est un pont roman du XIIIe siècle[7],
    • ruisseau de derboux,
    • ravin du raïs,
    • torrents de la combe de la mure, du bourboulet, riaille,
    • vallats du revestet, du tombereau,
    • sur le territoire de la commune se trouve la source de la Fontnouvelle.

    La station d’épuration de Brantes se rejette dans le Maldaric, affluent du Toulourenc[8].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[9].

    Histoire

    Extrait de la carte de Jacques de Chieze (1627) montrant Brantes au pied du mont Ventaux.

    Cité en 1163 sous le nom de « Brantule » et en 1254 sous « de Brantulis »[10]. Seigneurie des Baux depuis le XIIe siècle, Le , à Brantes, au pied du Ventoux, en présence de son épouse Alix des Baux, Odon de Villars fit donation à son neveu Philippe de Lévis des fiefs de Brantes, Plaisians et leurs dépendances, des seigneuries de Saint-Marcel, Roquefort, le Castellet, Cassis et Port-Miou, dépendantes de la baronnie d’Aubagne, ainsi que de La Fare-les-Oliviers, et Éguilles. Son neveu, en contrepartie, devait lui servir de caution vis-à-vis de Raymond de Turenne dans l’observation d’un accord passé entre le vicomte, lui et son épouse Alix. En cas de non-respect de la part d’Alix et d’Odon, ces derniers devraient payer 50 000 florins à Raymond de Turenne[11],[12].

    Ce fief fut acquis par la Révérende Chambre Apostolique en 1320 et entre dans le Comtat Venaissin en 1320.

    Après être passé dans les mains de plusieurs familles, Laurens, puis de Vincens, en 1697, le marquisat est acheté par Pierre du Blanc, seigneur de Buisson[10],[13].

    Durant les guerres de Religion, les protestants occupent le village[10].

    Fin du XXe siècle, des passionnés se mettent en tête de restaurer le village.

    François et Claude Morénas, qui ont été à l'initiative du balisage d'un nombre incalculable de sentiers de grandes randonnées, ont dit toute leur émotion en découvrant ce village :

    « Le village en camaïeu confond ses toits patinés et ses façades grisées avec les rochers sur lesquels il se cramponne. Tout en escalier et en terrasses d'éboulis où s'accrochent les amandiers tordus, genévriers, genêts et ronces et de maigres prairies, tout ce qui pourrait, malgré la pauvreté du sol et la sécheresse, devenir droit, beau et vigoureux, a été grignoté par les chèvres. »

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi[14] :

    D'azur à deux palmes d'or, accostées de deux fleurs de lis du même et accompagnées en chef d'une croisette ancrée d'argent et en pointe d'un croissant du même. [15]

    créé en 1980 en reprenant les armoiries des familles Laurens et du Blanc

    Toponymie

    La commune est appelée Brantas en occitan.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Georgette Bernad    
    mars 2008 En cours Roland Ruegg SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2017

    Mairie de Brantes.

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[16] :

    • total des produits de fonctionnement : 90 000 , soit 1 113  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 106 000 , soit 1 305  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 65 000 , soit 798  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 53 000 , soit 658  par habitant ;
    • endettement : , soit par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 2,75 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 6,53 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 45,90 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation[17].

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la Communauté de communes Pays Vaison Ventoux, qui fait elle-même partie du syndicat mixte d'aménagement de l'Aygues et du syndicat mixte d'aménagement du bassin de l'Ouvèze (SIABO).

    Urbanisme

    Typologie

    Brantes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Politique environnementale

    La commune est incluse dans la zone de protection Natura 2000 « l'Ouvèze et le Toulourenc », sous l'égide du ministère de l'Écologie, de la DREAL Provence-Alpes-Côte-d'Azur, et du MNHN (Service du Patrimoine Naturel)[27].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2018, la commune comptait 88 habitants[Note 2], en augmentation de 12,82 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320355440448491440442470471
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    410381376385394321325319284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    26526624120016713914311496
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1009085856365808384
    2018 - - - - - - - -
    88--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Habitat

    Habitat perché

    Brantes, village perché.
    Vue sur le Toulourenc.

    Ce type d'habitat est considéré comme typiquement provençal, il est surtout typiquement méditerranéen. Ces villages sis sur leur « acropole rocheuse », qui ont gardé leur aspect médiéval, forment par l'orientation des façades de leurs maisons - vers la vallée ou la voie de communication - un véritable front de fortification[32].

    Fernand Benoit souligne leur origine quelquefois préhistorique en signalant que Cicéron, à propos des Ligures qui peuplaient la région, les dénomme castellani, c'est-à-dire habitants des castellas (Brutus, LXXIII, 256)[32].

    Ces villages perchés se trouvent dans essentiellement dans les zones collinaires dont le terroir est pauvre en alluvions et où l'eau est rare. Ce qui est le cas général en Provence sauf dans la basse vallée du Rhône et dans celle de la Durance, où les terres alluvionaires abondent et surtout où l'eau est facilement accessible pour chaque propriété grâce à un puits creusé dans la cour de la maison[33].

    De plus, ce groupement en communauté refermée sur elle-même correspond à des régions de petites propriétés, où les seules terres fertiles se situent au fond de quelques vallons, et ce regroupement a facilité l'existence d'un artisanat rural indispensable aux villageois (charron, forgeron, etc.). À contrario, l'habitat dispersé implique de grands domaines qui tendent à vivre en autarcie. D'où la loi émise par Fernand Benoit « La misère groupe l'habitat, l'aisance le disperse »[33].

    Économie

    Un très petit village vivant d'un peu de tourisme (une chambre d'hôtes) dont des artisans qui fabriquent des santons et des poteries (faïencerie), d'élevage ovin (agneau du Ventoux) et de fabrique de fromages, de fabrication de miel, quelques vergers d'amandiers, culture de la lavande et plantes aromatiques.

    Commerce

    L'Auberge de Brantes, qui porte le label Bistrot de pays[34],[35], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ». Un café librairie et une librairie.

    Vie locale

    La communauté de communes de la Vallée du Toulourenc se charge de la collecte et du traitement des déchets des ménages et déchets assimilés.

    Enseignement

    L'école.

    Établissements d'enseignements[36] :

    • Le village de Brantes possède une école, située en bordure du vieux village[37],
    • Collèges à Buis-les-Baronnies, Sault,
    • Lycées à Vaison-la-Romaine, Nyons.

    Sports

    Pas d'équipement collectif particulier hormis les chemins de randonnées et les aménagements divers aux abords du Toulourenc.

    Sports pratiqués : randonnées pédestres.

    Autres activités : chasse, pêche.

    Santé

    Pas de pharmacie ni d'équipement particulier de santé.

    Professionnels et établissements de santé[38] :

    • Médecins à Buis-les-Baronnies, Bédoin,
    • Pharmacies à Montbrun-les-Bains, Buis-les-Baronnies, Bédoin,
    • Hôpitaux à Buis-les-Baronnies, Vaison-la-Romaine.

    Cultes

    C'est un village de tradition catholique (église paroissiale Saint-Sidoine, chapelles Notre-Dame-de-Piété et Saint-Jean-Baptiste et cimetière, chapelle Saint-Roch) malgré une prise du bourg par les protestants lors des guerres de Religion. Il dépend du diocèse d'Avignon[39].

    Lieux et monuments

    Brantes est un village aux ruelles en calades, aux passages voûtés, aux portes anciennes et aux vieilles maisons de pierre. Il est construit en nid d'aigle sur les contreforts de la montagne.

    Patrimoine religieux :

    • Église paroissiale Saint-Sidoine de 1684, avec décor intérieur en trompe-l'œil[40].
    • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié des pénitents blancs[41], chapelle du début du XVIIIe siècle maintenant utilisée comme point info et pour présenter les nombreux travaux réalisés par l'association locale pour la restauration du site.
    • Chapelle Saint-Roch[42].
    • Chapelle Saint-Jean-Baptiste (XIIe).
    • Oratoires du Sacré-Cœur, de Saint-Joseph et Saint-Gens (XIXe).
    • Monument aux morts[43].

    Autres patrimoines :

    • Vestiges d'un château féodal[44] des seigneurs des Baux : pans de murs et deux citernes.
    • Ancien lavoir.
    • Pont à une arche, style « romain », du XIIIe siècle[45].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

      Références

      1. « Recensement 2010 », INSEE.
      2. 91 De Saint-Nizier-du-Moucherotte (près de Grenoble) à Fontaine-de-Vaucluse (près de Cavaillon) - Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère) - Fontaine-de-Vaucluse (Vaucluse) ; 91b Bédoin au sommet du mont Ventoux via le mont Serein
      3. Trans Vaucluse Pays de Vaison, Vallée du Toulourenc
      4. Jacques Galas, Les pays du Ventoux, page 32
      5. La réserve de biosphère du mont Ventoux
      6. L'eau dans la commune
      7. Brantes, sur le site vaison-ventoux-tourisme.com
      8. Caractéristiques et contraintes du bassin versant du Toulourenc
      9. Table climatique
      10. « Brantes sur le site du Quid »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
      11. Robert Bailly, Dictionnaire des commuines de Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1985, p. 101.
      12. Louis Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des Baux, Marseille, 1882, Charte 1692.
      13. Un peu d’histoire
      14. Vallée du Toulourenc : Brantes, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
      15. Armorial des Communes de Vaucluse (Conseil Général du Vaucluse).
      16. Les comptes de la commune
      17. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
      18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      23. État d'avancement des plans locaux d'urbanise (PLU), et cartes communales
      24. Avis TACITE de l'autorité environnementale : Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Brantes
      25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      27. Responsabble Natura 2000
      28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      32. Fernand Benoit, op. cit., p. 43.
      33. Fernand Benoit, op. cit., p. 44.
      34. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
      35. Fédération nationale des bistrots de pays
      36. Établissements d'enseignements
      37. École maternelle et élémentaire
      38. Professionnels et établissements de santé
      39. Secteur Pays de Sault (Sault de Vaucluse)
      40. Patrimoine religieux
      41. Chapelles des temps modernes : Brantes
      42. Chapelle Saint-Roch
      43. Conflits commémorés : Guerre 1914-1918
      44. Ancien château
      45. Pont roman sur le Toulourenc
      46. Suppléant devenu député le 8/8/1963 au décès de Pierre Augier

      Pour approfondir

      Bibliographie

      • Sophie Bentin, Brantes, un village provençal en terre papale - des origines à la Révolution Française, Société des amis de Brantes éditeur, 2016, 181 p. (ISBN 978-2-9554987-0-5).
      • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, (1re éd. 1857), 400 p. (lire en ligne)
      • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
        Brantes, p. 195

      Articles connexes

      Liens externes

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