Bor-et-Bar

Bor-et-Bar (Vòrs e Bar en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Barois.

Pour les articles homonymes, voir Bar.

Bor-et-Bar

Mairie de Bor-et-Bar
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Ouest Aveyron Communauté
Maire
Mandat
Dominique Guy
2020-2026
Code postal 12270
Code commune 12029
Démographie
Gentilé Barois
Population
municipale
198 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 21″ nord, 2° 04′ 35″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 528 m
Superficie 12,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Aveyron et Tarn
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Bor-et-Bar
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Bor-et-Bar
Géolocalisation sur la carte : France
Bor-et-Bar
Géolocalisation sur la carte : France
Bor-et-Bar
Liens
Site web boretbar.fr

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Bor-et-Bar se trouve à l'ouest du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Ségala[1].

    Elle se situe à 64 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 26 km de Villefranche-de-Rouergue[3], sous-préfecture, et à 25 km de Rieupeyroux[4], bureau centralisateur du canton d'Aveyron et Tarn dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Villefranche-de-Rouergue[5].

    Les communes les plus proches sont[6] : Saint-André-de-Najac (2,8 km), Montirat (3,9 km), Saint-Christophe (4,7 km), Jouqueviel (5,0 km), La Fouillade (5,5 km), Lunac (6,1 km), Lescure-Jaoul (7,4 km), Najac (8,5 km), Mirandol-Bourgnounac (8,9 km).

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Bor-et-Bar.

    La commune est drainée par le Viaur, la Serène, le ruisseau de Cave, le ruisseau de Féneyrols, le ruisseau de Frayssinet, le ruisseau de la Bertrandie, le ruisseau de la Grave, le ruisseau de Planèzes, le ruisseau du Mas del Riou et par divers petits cours d'eau[8].

    Le Viaur prend sa source à 1200 m d’altitude dans la région naturelle du Lévézou qui présente un relief vallonné, dans la commune de Vézins-de-Lévézou pour confluer, après avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron à 400 m d’altitude à Lacroix-Barrez, après avoir arrosé 30 communes[9].

    La Serène, d'une longueur totale de 32,2 km, prend sa source dans la commune de Le Bas Ségala et se jette dans l'Aveyron à Saint-André-de-Najac, après avoir arrosé 8 communes[10].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[11].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[12],[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[14],[15].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 946 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    La commune bénéficie d’un « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. La température moyenne annuelle est élevée, avec des jours de froid en nombre réduit et des jours chauds compris entre 15 et 23 par an[16].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[17]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[16]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[18]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Albi le Sequestre, qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau de la commune[19], où la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[24]. Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[25].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Bor-et-Bar comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[26], la « basse vallée du Viaur » (3 509 ha)[27] , et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[26], la « vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 73 communes dont 61 aveyronnaises, 9 dans le Tarn et 3 en Tarn-et-Garonne[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Bor-et-Bar est une commune rurale[Note 5],[29]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Bor-et-Bar.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,5 %), forêts (33,2 %), prairies (30,2 %)[34].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment Communauté de communes du Grand Villefranchois, dont la commune est membre[35].

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[36].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bor-et-Bar est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[37],[38].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité moyenne[39].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[40],[41].

    Risques technologiques

    Sur le département de l’Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[42].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Bor-et-Bar est classée à risque moyen à élevé[43].

    Histoire

    Bor

    En 1259, la seigneurie de Bor appartenait en indivision à Raymond-Bernard de Najac, à Guéraud de Combelles, et à Bernard, bourgeois.

    Bar

    L'ancien château de Bar ne subsiste près de la rivière qu'à l'état de ruine avec une tour ronde et quelques vestiges. Il appartient en 1171 à l'évêque d'Albi, et on voit qu'en 1285 il avait été inféodé à Bernard de Bar, chevalier, qui est cautionné par le roi Philippe III le Hardi représenté par son sénéchal. Par la suite, Ardit dit Lardit de Bar est nommé sénéchal de Rouergue et châtelain de Najac le 3 août 1461 par le roi Louis XI. Cette famille reste seigneur de Bar jusqu'en 1614, époque où elle ne subsiste que par une fille qui l'apporte à la famille del Salès. En 1686, le château est loué et toujours habité. Il passe ensuite successivement dans les familles de La Roque-Bouillac, de Pomeyrols-Jalenques, puis de Roquefeuil-Cahuzac qui le vendent en 1749 aux sieurs Courrège et Fricou.

    Le château de Bar a été attaqué et pris au moins deux fois, de 1361 à 1364 par les Anglais, en 1436 par Rodrique de Villandrado, mercenaire espagnol au service du roi, devenu chef de routiers.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Bor-et-Bar est membre de la communauté de communes du Grand Villefranchois[44], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villefranche-de-Rouergue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[45].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[44]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aveyron et Tarn pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[44], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[46].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Bor-et-Bar, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[47] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[48]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[49] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 73,58 %[50]. Dominique Guy, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [51].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[52]. Un siège est attribué à la commune au sein de la Ouest Aveyron Communauté[53].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Claude Couronne    
    mars 2008 mars 2014 Claude Couronne   Retraité
    mars 2014 En cours Dominique Guy[54],[55]   Ancien agriculteur exploitant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].

    En 2018, la commune comptait 198 habitants[Note 6], en augmentation de 3,13 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    808853839868952941973994996
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    1 0421 0731 023940840776793694621
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    562572530485409348315285241
    1990 1999 2004 2009 2014 2018 - - -
    206203194182195198---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les ruines du château de Bar.
    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Bor.
    • Église Notre-Dame de Bar.
    • Chapelle du couvent des Dominicaines de Bor.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur https://geo.data.gouv.fr/ (consulté le )
    2. « Distance entre "Bor-et-Bar" et "Rodez" », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre "Bor-et-Bar" et "Villefranche-de-Rouergue" », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Distance entre "Bor-et-Bar" et "Rieupeyroux" », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Métadonnées de la commune de Bor-et-Bar », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Bor-et-Bar », sur https://www.villorama.com (consulté le ).
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Bor-et-Bar », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « le Viaur »
    10. Sandre, « la Serène »
    11. « Les outils de gestion de la rivière », sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le )
    12. « SAGE du Viaur - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    13. « SAGE du bassin du Viaur - synthèse de l'état des lieux », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    14. « Le syndicat mixte du bassin versant du Viaur reconnu EPAGE du bassin du Viau », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    15. « EPAGE du bassin du Viaur - actions sur le terrain », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    17. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    18. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    20. « Station météorologique de Albi le Sequestre - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Bernard Vidal), Najac : La Folhada, Lunac, Montelhs, Sant-Vensa, Sent-Andriu, Vòrs e Bar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Najac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 389 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-46-7, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF38977008)

    Article connexe

    Liens externes

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