Biol

Biol est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Biol

Vue générale sur le Bas Biol en mars 2019
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Vals du Dauphiné
Maire
Mandat
Patrick Belmont
2020-2026
Code postal 38690
Code commune 38044
Démographie
Gentilé Biolois
Population
municipale
1 436 hab. (2018 )
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 33″ nord, 5° 23′ 10″ est
Altitude Min. 438 m
Max. 691 m
Superficie 15,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Grand-Lemps
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Biol
Géolocalisation sur la carte : Isère
Biol
Géolocalisation sur la carte : France
Biol
Géolocalisation sur la carte : France
Biol
Liens
Site web http://www.biol.fr/

    La commune de Biol est adhérente à la communauté de communes Les Vals du Dauphiné depuis le .

    Les habitants sont dénommés les Biolois[1].

    Géographie

    Situation et description

    Plan de Biol et des communes limitrophes

    Biol est positionné au milieu des « Terres froides », une région naturelle de France située dans le nord du département de l'Isère.

    La commune est située à environ 50 kilomètres de Lyon 40 kilomètres de Grenoble et 40 kilomètres de Chambéry. Elle donc située à égale distance des grandes villes même si elle est à l'écart des grandes voies de circulation. Le lac de Paladru se situe à 12 km et Saint pierre de Chartreuse à 45 km. Biol est également situé à 15 km de Bourgoin-Jallieu et à 15 km de la Tour-du-Pin.

    Il s'agit d'une petite commune essentiellement rurale à l'écart des grandes voies de circulation, même si l'autoroute Lyon-Grenoble passe à proximité d'un bourg central de taille très modeste mais sans le desservir directement.

    Géologie

    Les moraines des glaciers de l'époque quaternaire déposées sur un bloc molassique ont donné à cette partie au nord-ouest du département de l'Isère un paysage de collines ondulées connues sous le nom de « Terres Froides »[2]. Certains spécialistes centrent cette ensemble molassique autour de Biol, Châbons et Bizonnes voire le lac de Paladru.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le ruisseau de l'Hien à Biol en mars 2019

    La commune est bordée dans sa partie orientale par le ruisseau de l'Hien, affluent de la Bourbre et d'une longueur de 17,2 km[3].

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de l'Isère.

    Située dans la région naturelle des Terres froides où règnerait une sorte de micro climat, la commune de Biol présente généralement un climat plus froid que dans la plaine de Bièvre située plus au sud ou celle de Bourgoin, plus au nord. Il n'est donc pas rare en hiver de trouver de la neige dans le secteur de cette commune alors que le reste du Nord-Isère en est dénué. Même si le terme de « Terre froides » ne relève que d'une simple appellation locale pas forcément en rapport avec le froid, on peut cependant constater que durant la période hivernale, il fait assez froid à Biol en raison de l'altitude et de la présence de zones marécageuses.

    En effet, le terme « Terres froides » se rapportait plutôt à des terres difficilement cultivables car chargées de glaise. Les précipitations annuelles moyennes sont d'environ 1 000 mm à Biol le bas et 1 200 mm à Biol le haut. Le cumul moyen de précipitations neigeuses est d'environ 210 cm avec un record en 2013 de 380 cm sur l'année. À Biol, la neige apparaît en moyenne fin novembre et disparaît mi-mars. La température moyenne annuelle est de 8,1 °C. En janvier, la température moyenne s'abaisse à −2,1 °C et en juillet, elle est de 20,2 °C. Au milieu de l'hiver, il y a en moyenne 50 cm de neige au sol. Malgré un froid intense en hiver, ce dernier est entrecoupé de redoux fréquents. Le record de froid atteint −33,2 °C en janvier 1991, proche des −36,7 °C à Mouthe et le record de chaleur s'élève à 37,3 °C en juillet 2014.

    Routes principales

    L'autoroute A48 qui relie l'agglomération Lyonnaise à celle de Grenoble traverse la partie nord-est du territoire communal, au niveau des marais de l'Hien. La sortie d'autoroute la plus proche (A43) est celle qui dessert l'agglomération de La Tour-du-Pin

    Le territoire communal est traversé par une seule route départementale, la RD520 qui correspond à l'ancien tracé de la RN520 qui autrefois reliait la ville de Bourgoin-Jallieu par Les Éparres à la commune des Échelles en Savoie. Cette route a été déclassée lors de la réforme de 1972.

    Urbanisme

    Typologie

    Biol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].

    Le territoire de la commune comprend deux agglomérations séparées de quelques kilomètres, le Haut-Biol qui domine la vallée de l'Hien et le Bas-Biol qui se situe le long de la RD520. Le territoire comprend également de nombreux hameaux plus ou moins densément peuplé. L'habitat se présente essentiellement sous la forme d'habitations individuelles (villas et maisons rurales) et de corps de ferme très souvent réaménagés en simple habitations. Il existe encore de nombreuses zones agricoles ainsi que quelques zones boisées.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42 %), terres arables (19,4 %), forêts (18,1 %), prairies (12,1 %), zones urbanisées (8,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Hameaux, Lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Biol, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[11].

    • les Leschères
    • Charamalet
    • la Boussière
    • le Perret
    • le Rapoux
    • le Guillaud
    • la Picardière
    • les Blaches
    • Caletière
    • Jacolin
    • Mure
    • les Galières
    • Blassin
    • les Azimets
    • les Arendeaux
    • Maison Marceau
    • Haut Biol
    • Chez Boiton
    • Lebiessis
    • le Fayard
    • les Moulins
    • le Bonin
    • Barracas
    • Ribaillère
    • le Ferrand
    • la Combe
    • le Picot
    • Bas Biol
    • Saint-Romain
    • le Foulu
    • le Pressoir
    • les Brotteaux

    Risques sismiques

    La totalité du territoire de la commune de Biol est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais non loin de la zone n°4, située plus à l'est[12].

    Terminologie des zones sismiques
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Toponymie

    Au cours de la période médiévale, on trouve les premières formes du nom : Biollio (XIIIe siècle), Bioyl (XIVe siècle) ou encore Biolum (XVe siècle)[13].

    Le nom de Biol est à rapprocher de La Biolle en Savoie, ainsi que des nombreux hameaux ou lieux-dits de la région : Biollay, Biolley, Biollat, Biollex, Biollet, des termes dialectaux désignant un endroit planté de bouleaux tandis que Biol et La Biolle désignent l'arbre lui-même, du latin "betulla" d'origine gauloise[13],[14],[15].

    Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Biol pourrait dériver du gaulois « bilia » qui désigne un tronc d'arbre terme qui évoque le mot français « billot »[16].

    Histoire

    Territoire des Allobroges
    La halle et l'église de Biol 1908

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Antiquité

    Le secteur actuel de la commune de Biol se situe à l'ouest du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.

    Moyen Âge et Temps Modernes

    Aux XVIe et XVIIe siècles, la famille noble Alleman détenait la seigneurie de Montmartin dont dépendait le château. Ils étaient également seigneurs de Champier (au sud-ouest de Biol) et du marquisat de Vaux (au nord de Biol).

    Certaines maisons de Biol ont appartenu au marquisat de Virieu (au sud de Biol), aux XVIe et XVIIe siècles.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le conseil municipal de Biol est composé d'un maire, de trois adjoints au maire et de onze conseillers municipaux (neuf hommes et six femmes). Deux de ses membres représentent la commune au conseil de la communauté de communes Les Vals du Dauphiné[17].

    En 2019, le conseil municipal gère dix commissions, toutes présidées par le maire de la commune.

    En mars 2019, le maire Jean-Claude Archer démissionne et c'est Patrick Belmont (ancien 1er adjoint de la commune) qui est élu maire.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Henri Banchet    
        Gaston Armanet    
        Jacques Banchet    
    juin 1995 2001 Edmond Drevet    
    juin 2008 Jean-Claude Archer UMP-LR Retraité
    En cours Patrick Belmont    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

    En 2018, la commune comptait 1 436 habitants[Note 2], en augmentation de 2,21 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0701 1921 4401 2991 5341 4351 4541 5681 468
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3721 3171 2571 2481 2851 3051 2701 1551 116
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0481 004955914889909878866865
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    8568107749721 0251 2031 2871 3431 400
    2018 - - - - - - - -
    1 436--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    École publique élémentaire Général Brocard (Haut-Biol)

    Située dans l'académie de Grenoble, la commune de Biol compte trois écoles[22] :

    • l'école publique élémentaire Saint-Exupéry (Bas-Biol) qui comprend les sections de maternelle et les premières classes d'école primaire
    • l'école publique élémentaire Général Brocard (Haut-Biol) qui comprend généralement les classes de cours moyens, voire d'autres classes d'école primaire selon les effectifs.
    • l'école privée Saint Dominique Savio

    Vie associative

    Il existe plusieurs associations à Biol. Parmi celles-ci on peut citer le sou des écoles, le club de football, le club de basket, la chorale le club de patois et les Conscrits.

    Les conscrits de Biol organisent traditionnellement la vogue, sorte de fête patronale, de Biol-le-Bas en octobre, la tournée des brioches la veille du Jour de l'An, une soirée disco en janvier, la vogue de Biol-le-Haut en avril, la matinée crêpes début mai, ainsi qu'une soirée dansante en juin.

    Médias

    Presse régionale

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Culte catholique

    La communauté catholique et l'église de Biol (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Sainte-Anne qui est, elle-même, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[23].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de Biol en mars 2019

    Monuments religieux

    • L'église Saint-Jean-Baptiste du XIXe siècle
    • La chapelle Saint-Paul au Haut-Biol, construite par les habitants de la commune pour remplacer l'ancienne église du hameau détruite au XVIIe siècle[24].

    Autres bâtiments

    Halle de Biol en mars 2019
    • Les halles communales en centre-ville
    • Quelques maisons anciennes à grand toit dauphinois
    • Château ruiné de Montmartin. Il n'en reste absolument rien, sinon un joli point de vue et un chemin appelé chemin de l'Allée (qui menait au château).

    Langue régionale

    Carte linguistique du Dauphiné : Le dauphinois est un dialecte arpitan parlé dans le nord du Dauphiné

    Historiquement, au niveau linguistique, le territoire de Biol, ainsi que l'ensemble du pays des Terres froides, se situe au nord-ouest de l'agglomération grenobloise et au sud-est de l'agglomération lyonnaise et donc dans la partie centrale du domaine linguistique des patois dauphinois, laquelle appartient au domaine de la langues dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens.

    L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône. .

    Personnalités liées à la commune

    général d’aviation. Il commanda l’escadrille des Cigognes en 1915 puis en 1916 (groupe de combat) et recruta entre autres Guynemer, dont la devise était : « faire face ». Il eut également un rôle politique en faveur de l’armée et de l’aéronautique.
    • Maurice Saborin (3/6/1933 à Biol)
    haut fonctionnaire, préfet depuis 1982 : Cantal, Guadeloupe, Meuse (trésorier-payeur-général) et Finistère depuis 1988-1992, préfet directeur des moyens gouvernementaux, des plans et de la sécurité au secrétariat général de la défense nationale (Premier ministre)1992-1994.

    Sites naturels

    Cigogne dans le ciel de la vallée de l'Hien en été

    Biol est situé sur le passage des cigognes lors de leur migration. Un élevage de cigognes est situé à Blassin, dans les marais. Certaines cigognes vivent à proximité de cette cage tout au long de l'année[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Biol possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 5 juillet 2019
    2. Jean-Paul Bravard, « Le coteau de Saint-Savin et Saint-Chef, « Terres Froides » du Bas-Dauphiné. Pour la délimitation et la préservation d'unités paysagères remarquables », Revue de géographie de Lyon, vol. 56, no 4, , p. 411–421 (DOI 10.3406/geoca.1981.3962, lire en ligne, consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - l'hien (V1720500) » (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Site géoportail, page des cartes IGN
    12. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    13. Henry Suter, « Biol », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
    14. Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, vol. 6, no 6_2, (lire en ligne), pp. 138-137.
    15. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 452..
    16. André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 42
    17. Site de la mairie de Biol, page sur les membres du conseil municipal de Biol, consulté le 28 février 2019
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. Site de la commune de Biol, page sur les écoles de la commune, consulté le 3 mars 2019
    23. Site de messe-infos, page sur la paroisse Sainte-Anne, consulté le 27 février 2019
    24. site du journal le dauphiné, page "La chapelle Saint-Paul, un lieu chargé d’histoire", consulté le 28 février 2019

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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