Beauquesne

Beauquesne est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Beauquesne

L'école de musique.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Territoire Nord Picardie
Maire
Mandat
François Durieux
2020-2026
Code postal 80600
Code commune 80070
Démographie
Gentilé Beauquesnois
Population
municipale
1 318 hab. (2018 )
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 05′ 07″ nord, 2° 23′ 33″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 164 m
Superficie 20,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Doullens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Beauquesne
Géolocalisation sur la carte : Somme
Beauquesne
Géolocalisation sur la carte : France
Beauquesne
Géolocalisation sur la carte : France
Beauquesne

    Géographie

    Localisation

    Beauquesne est un village picard situé sur la route départementale 23. Cette voie permet de rejoindre la RN 25 qui passe à proximité.

    Il est situé au nord d'Amiens, à 26 km par la route, à l'est d'Abbeville à 45 km et à 10 km.au sud de Doullens

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est composé d'argile tertiaire chargé en silex sur une profondeur qui peut atteindre 12 mètres. On trouve également dans des entonoirs de craie des phosphates et des sables blancs ou rouges. On trouve des fossiles de Belemnites dans les couches du Crétacé[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'un plateau coupé au nord-ouest, au sud et au sud-est par quelques collines. Le point culminant de la commune atteint 162 m[1].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique se trouve à 60 m en dessous du niveau du sol[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominant de nord et de nord-ouest[1].

    Station Météo la plus proche (Abbeville-80)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,6 3,7 5 8,3 10,9 13,1 13,2 10,9 8,4 4,8 2,3 14,1
    Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,1 10,4 13,4 16,9 19,4 21,9 22,2 19,2 15 10,1 6,7 7
    Ensoleillement (h) 70,6 78,5 125 172,2 195,5 209,3 216,9 209,2 158,8 117,4 69,8 56,6 1 679,8
    Précipitations (mm) 63,3 49,3 56,7 52,5 59,4 66 59,1 70,2 65,1 81,7 79,6 79,7 782,7
    Source : « CLIMAT %%% par Météo-France - Normales et relevés sur la station de %%% », sur www.meteofrance.com (consulté le )

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune présente un habitat groupé.

    Voies de communication et transports

    En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 723 (Doullens - Beauquesne - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[2], ainsi que la ligne 725, ligne de marché qui donne accès à Doullens[3].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Beauquesne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,5 %), prairies (11,3 %), zones urbanisées (4,3 %), forêts (1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    On trouve plusieurs formes pour désigner Beauquesne dans les textes anciens : Bellequercus, Belcanœ, Belcaine, Biaukaine et enfin Beauquesne[11]

    Deux étymologies expliquent le nom de Beauquesne (« Bieutchène » en picard). Celles-ci s'accordent néanmoins sur la présence en ce lieu d'un chêne, soit un chêne se distinguant par sa beauté[12], soit un chêne consacré à la divinité gauloise Belenos[13],[a 1].

    Histoire

    Moyen Âge

    Le roi des Francs Charles le Chauve accorda la terre de Beauquesne au comte de Flandre. Au Xe siècle, la terre de Beauquesne passa aux Comtes de Saint-Pol puis dans des circonstances restées obscures, la châtellenie de Beauquesne alla au comte d'Amiens puis au comte de Vermandois puis par Isabelle de Vermandois épouse de Philippe d'Alsace comte de Flandre[11] qui fit construire, au XIIe siècle (vers 1182), un château fort[a 2]. dont subsiste la motte castrale (ruelle du Vieux Château)[14]. Un réseau de muches (souterrains-refuges) a été creusé dès la construction du château[réf. nécessaire].

    A la mort de Philippe d'Alsace, en 1191, le comté d'Amiens et la châtellenie de Beauquesne furent rattachés à la couronne de France. Beauquesne devint le siège d'une prévôté royale à partir du règne de Philippe Auguste[a 3]. Le sceau et le contre-sceau de cette prévôté sont conservés aux Archives nationales

    L'existence d'un échevinage à Beauquesne est attesté en 1202, on ne sait si la commune existait auparavant[11].

    Epoque moderne

    Beauquesne fut incendié en 1553 par le duc de Savoie et en 1595 à pendant les Guerres de religion des combats se déroulèrent entre Doullens et Beauquesne au cours desquels moururent le duc de Villars et le duc de Bouillon. durant les XVIe et XVIIe siècles[14].

    La prévôté royale fut supprimée par un édit de Louis XV en septembre 1748[15].

    Le château fort de Beauquesne fut démantelé sur ordre de Richelieu. A la veille de la Révolution française ses ruines furent vendues[1]. Le site se trouve à l'angle sud-est de l'actuelle place publique.

    Le , les pavés furent retirés des rues de Beauquesne et servirent à regarnir celles de la ville de Doullens[a 4].

    La commune fut en grande partie détruite par un incendie survenu dans la nuit du 27 au 28 prairial an VI (15 au 16 juin 1798).

    XIXe siècle

    La commune de Beauquesne fut desservie de 1889 à 1949 par un chemin de fer secondaire à voie métrique de la Ligne d'Albert à Doullens. Cette ligne de chemin de fer permit le développement de l'extraction de phosphate découvert dans la commune en 1885 et de silex ainsi que le transport de la production de textile, briques, tuiles[16] vers les centres de consommation de Doullens, Albert ou Amiens.

    En 1897, l'activité économique de Beauquesne était assez diversifiée :

    • 150 personnes travaillaient le lin ;
    • 47 travaillaient dans le bâtiment ;
    • 28 travaillaient le cuir ;
    • 25 ouvriers extrayaient le phosphates
    • deux briqueteries employaient 15 ouvriers ;
    • 15 personnes travaillaient dans l'ameublement ;
    • 14 dans l'habillement ;
    • il y avait dans la commune 13 forgerons ;
    • 12 charrons ;
    • 9 personnes travaillaient dans l'alimentation ;
    • 5 dans à l'extraction de silex ;
    • deux moulins à vent fonctionnaient dans la commune[1].

    Première Guerre mondiale

    Tanks et fantassins près de Beauquesne le .

    Le château du Valvion fut, durant la Première Guerre mondiale, le siège de l’État-major anglais commandé par le Maréchal Haig. Situé à une vingtaine de kilomètres du front, il accueillit d’illustres personnages comme le roi Georges V, le président Poincaré ou le général Foch afin de mettre en place une nouvelle stratégie militaire, lors de la constitution du commandement unique des forces alliées confiée à Foch[14],[17].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Doullens[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 14 à 44 communes.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Doullennais, créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[19] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    François Durieux   Vice-président de la CC du Doullennais (2014 → 2016)
    Vice-président de la CC du Territoire Nord Picardie (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[20],[21]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2018, la commune comptait 1 318 habitants[Note 3], en diminution de 3,44 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0462 0322 1912 2622 7052 5902 6512 6842 707
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 8002 8713 0032 6582 6582 2862 2492 4022 115
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0101 8421 6881 4641 3931 3521 3241 2131 240
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 2421 2651 1941 1391 1471 1761 2711 2811 291
    2013 2018 - - - - - - -
    1 3651 318-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • La commune possède une école élémentaire, l'École primaire publique « Les Charmilles ». Depuis 2018, cette école de 7 classes accueille de 170 à 180 élèves. Une nouvelle classe est construite en 2021 pour agrandir la cantine[25].

    Culture à la ferme

    La douzième édition de l’opération « À cour ouverte », organisée par l’association Culture à la ferme, a eu lieu en octobre 2019[27].

    Sports

    Au championnat de France de ballon au poing qui se dispute traditionnellement le 15 août sur le ballodrome d'Amiens situé à La Hotoie, Beauquesne est régulièrement champion de France catégorie Excellence avec des victoires en 2011, 2013, 2014, 2016, 2018 et 2019[28].

    L'Union sportive de Beauquesne, un club de foot-ball, est relancée en 2019[29].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Jean-Baptiste

    L'église Saint Jean-Baptiste possède un clocher gothique à quatre étages du XIIIe siècle inscrit à l'inventaire des monuments historiques[30]. L'église actuelle, construite en briques de style néo-roman début XXe siècle, remplace l'édifice précédent du XIIIe siècle[a 5]. La mosaïque qu'elle renferme, Les anges du sacrifice et de la victoire, a été réalisée par Gustave Riquet.

    Bâtiments de l'ancienne coopérative agricole

    L'ancienne usine textile Deneux Frères, puis Coopérative agricole « le Réveil Agricole de Picardie », rue de la Gare/ 13 porte de Doullens, est mentionnée depuis 1929[31]. Un silo métallique a été construit dans les années 1970.

    Le site de Beauquesne est délaissé par Agro-Picardie, qui regroupe plusieurs coopératives agricoles, il est racheté par la commune en 2005.

    Sur l’ancien site agricole, le hangar a été transformé en salle de sport, tandis que la tour métallique a été aménagée en salle de réunions et d’expositions au rez-de-chaussée, en médiathèque à l’étage[16]

    Musique

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    Fondée en 1869 la fanfare Union et progrès, ancêtre de l'harmonie actuelle réorganisée pour la dernière fois en 1926, comptait alors une vingtaine de musiciens. Elle devient ensuite Musique municipale en 1880 et le restera jusqu'en 1985.

    Juin 1937 : la société musicale de Beauquesne participe à la Fête des archers de Doullens. Présidés par André Thuillier, les trente musiciens dirigés par le chef Henri Strich, y ont exécuté ces trois morceaux Montrevel en fête (pas redoublé de L. Chanel), Émulation (ouverture de L. Canivez) et Lotus Bleu (valse de Francis Popy).

    L'orchestre, portant désormais le nom d'Harmonie, compte à présent[Quand ?] une soixantaine de musiciens[32].

    Créée en 1981, l'école de musique compte aujourd'hui[Quand ?] une centaine d'élèves inscrits.

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Jay (1911-1988), second grand prix de Rome de composition en 1945, et directeur du conservatoire de musique d'Amiens, réside régulièrement à Beauquesne. À ce titre, il y écrit et dédie une pièce pour l'harmonie locale, la messe Lumière et joie créée en décembre 1971[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Les armes de la commune dont l'origine remonte au Moyen Âge ont toujours comporté un chêne, comme en témoigne le sceau de l'échevinage de 1260[33]. Il s'agit d'armes parlantes (quesne signifiant chêne en picard) :

    Blasonnement :

    • parti au premier d'azur chargé d'une demi fleur de lys d'or, au deuxième d'or au chêne ramifié et arraché de sinople[34].

    Ornement extérieur :

    • Croix de guerre 1914-1918 avec palme. Citation à l'ordre de l'Armée du  : « courageuse située dans la zone de combat pendant la guerre, dont les habitants ont supporté sans faiblesse de fréquents bombardements qui l'ont en partie détruite. S'est signalée par une belle ténacité dans le succès de nos armes. »

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Joseph Duchaussoy, Beauquesne, sa commune, son château-fort, sa prévôté royale : Étude historique, Abbeville, C. Paillart, imprimeur-éditeur, , 312 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
    • Père Daire, Histoire de la ville et du doyenné de Doullens, article Beauquêne.
    • Abbé Edouard-Eugène Delgove, Histoire de Doullens, édition Lemer Aîné, Amiens, 1865.
    • Firmin Vignon, 1914-1918. Beauquesne. La Grande Guerre. Notes et souvenirs, 1922.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Ouvrages

    1. p. 7-8.
    2. p. 31 à 42.
    3. p. 52.
    4. p. 256.
    5. p. 70.

    Autres sources

    1. Notice géographique et historique sur la commune de Beauquesne, rédigée par E. Duringer, instituteur, en 1897, Amiens, Archives départementales de la Somme, Lire en ligne
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Les horaires des lignes : Beauquesne », sur https://trans80.hautsdefrance.fr (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Joseph v, Beauquesne, sa commune, son château-fort, sa prévôté royale, Abbeville, C. Paillard, (lire en ligne), p.7.
    12. Carnoy, Albert, « Le chêne dans la toponymie et la linguistique », Revue internationale d'onomastique, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 10, no 2, , p. 81–101 (DOI 10.3406/rio.1958.1615, lire en ligne, consulté le ).
    13. Père Daire, Histoire de la ville et du doyenné de Doullens, article Beauquêne
    14. « Bienvenue à Beauquesne ! », sur https://www.tourisme-territoirenordpicardie.com (consulté le ).
    15. Louis XV, « Édit du Roy, portant suppression de la juridiction des prévôtés d'Amiens, Beauquesne et de Beauvoisis, et réunion à celle du présidial d'Amiens.. », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    16. CRDP Picardie, « Beauquesne, commune de la Somme », Espace et territoires / Communes, Encyclopédie Picardia (consulté le ).
    17. Laurent Penichou, « Beauquesne (80) : le domaine du Valvion, de la Grande Guerre à l'art contemporain : C'est l'histoire d'une rencontre entre un lieu chargé d'histoire et des plasticiens, ou quand l'art contemporain s'invite à la ferme. Notre reporter Christian Mirabaud guide nos pas dans ce lieu imprégné d'histoire », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne [vidéo], consulté le ).
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. « Liste des maires de la Somme », sur le site de la préfecture de la Somme, (consulté le ).
    20. Réélu pour le mandat 2014-2020« Beauquesne  Quand on part du principe que tout est possible, on y arrive » : Sans opposition, François Durieux, le maire de Beauquesne, a été élu à 100 % des voix. Un scénario qui se répète depuis 2001. Nous sommes allés en chercher les raisons », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « François Durieux a été élu le 24 mars pour un 4e mandat. En 2001, 2008 et comme en 2014, sa liste est passée au premier tour ».
    21. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Une nouvelle classe construite à l'école », Courrier picard, , p. 12.
    26. « Site de la MFR de Beauquesne ».
    27. Carole Legris, « Se cultiver à la ferme, c’est possible à Beauquesne ! : La douzième édition de l’opération « À cour ouverte », organisée par l’association Culture à la ferme, est lancée. Jusqu’au 6 octobre, douze artistes présentent leurs créations sur le thème du portrait », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Ballon au poing à Amiens: victoire de Beauquesne-Bouvet : Les finales des championnats de France ont tenu toutes leurs promesses, jeudi », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Une équipe de copains relance l’Union sportive de Beauquesne : Une nouvelle association sportive a été créée, présidée par Guillaume Durieux, pour relancer l’Union sportive de Beauquesne. Les footballeurs ont entamé le championnat en D7 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Église », notice no PA00116090, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Usine textile Deneux Frères, puis Coopérative agricole le Réveil Agricole de Picardie », notice no IA00076465, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. voir le site officiel de l'association www.musiquebeauquesne.fr.
    33. Archives nationales J 385, pièce 32
    34. Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, 1972, F. Paillart p. 21
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