Sainte-Marguerite-d'Elle

Sainte-Marguerite-d'Elle est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 772 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Marguerite.

« Baynes » redirige ici. Pour les autres significations, voir Baynes (homonymie).

Sainte-Marguerite-d'Elle

L’église du bourg de Sainte-Marguerite-d’Elle vue depuis le cimetière.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Bayeux
Intercommunalité Communauté de communes Isigny-Omaha Intercom
Maire
Mandat
Érick Dorand
2020-2026
Code postal 14330
Code commune 14614
Démographie
Population
municipale
772 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 29″ nord, 1° 01′ 13″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 85 m
Superficie 20,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Trévières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Sainte-Marguerite-d'Elle
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Sainte-Marguerite-d'Elle
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marguerite-d'Elle
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marguerite-d'Elle

    Géographie

    Localisation

    Sainte-Marguerite-d'Elle est limitrophe de :

    Voies de communication

    La commune est desservie par la route départementale 6 allant vers Saint-Lô, la D 211 vers Isigny-sur-Mer et la D 15 vers Le Molay-Littry. Elle est également desservie par la ligne ferroviaire de Paris à Cherbourg grâce à la gare de Lison qui est limitrophe.

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau important ne passe à Sainte-Marguerite-d'Elle. Seule l'Elle passe à proximité, ce qui a donné son nom à la commune.

    Lieux-dits

    • Balençon ;
    • Baynes ;
    • la Blanchinière ;
    • le Bourg ;
    • le Vieux Courty ;
    • la Commune ;
    • la Fotelaie ;
    • la Haye-Piquenot ;
    • le Moulin l'Évêque ;
    • le Pont de la Pierre ;
    • Quartier de la gare ;
    • le Rachinet ;
    • La rue de l'Église anciennement Cour des Quatre-Nations ;
    • les Vignettes ;
    • le Long Vey.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 840 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Marguerite-d'Elle est une commune rurale[Note 6],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (83,1 %), terres arables (13,1 %), zones urbanisées (3,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Vue d'ensemble

    Le tissu de la commune est assez lâche. On trouve plusieurs noyaux habités séparés par des distances importantes, pouvant facilement atteindre le kilomètre, ces espaces étant occupés par des terrains d'exploitation agricole. Les noyaux principaux se situent au bourg et à Baynes, les autres consistant en des maisons bâties le long des routes.

    Constructions traditionnelles

    La maison traditionnelle existe en deux déclinaisons compatibles entre elles, car les genres peuvent se mélanger.

    • La maison bâtie en pierre : la pierre est assez rouge et présentée sous la forme de moellons plus ou moins aplatis. L'église du bourg est un bon exemple de ce genre de construction.
    • La maison en argile, reprenant la technique du torchis. La base reste cependant en pierre. La brique et la tuile peuvent compléter l'édifice.

    L'immobilier aujourd'hui

    La cité de l'Europe est le premier exemple de véritable urbanisme (social) à Sainte-Marguerite-d'Elle, se présentant sous la forme de maisons individuelles construites en parpaings ou béton. Depuis les années 2000, la destination des parcelles de terrain change progressivement : les pièces de terre à proximité du bourg sont vendues non plus à but d'exploitations agricoles, mais à but de construction, les pavillons modernes se faisant de plus en plus nombreux. Par ailleurs, des logements sociaux ont été bâtis dans le quartier de la gare.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Épiney-Tesson en 1793, l’Épinay-Tesson en 1801, Cartigny-Tesson en 1826 (à cause de sa proximité avec Cartigny-l'Épinay), Sainte-Marguerite-d'Elle en 1846.

    Le nom de la commune provient d'une part du nom de la paroisse et d'autre part de la proximité de la rivière Elle pour la différencier des communes autrement homonymes.

    Un mot celtique *morga, et son dérivé *morgone signifient “bord, limite” “frontière” (de même origine indo-européenne que le latin margo et le gotique marka, qui nommaient aussi une “frontière”). On reconstitue à partir du même *morga un composé gaulois *morgarita, qui aurait désigné le “gué-de-la-limite”, le “passage-de-la-frontière” (Billy, 1998, 161). *ritu désignant un "gué". L’attraction du latin margarita, “perle”, puis du prénom Marguerite, expliquerait la déformation Morg- >Marg- subie par les toponymes issus de ce modèle.

    Beaucoup de Sainte Marguerite (*Morgarita) se situaient et se situent en fait encore aujourd'hui sur ou à proximité de frontières, limites administratives antiques et actuelles matérialisées par des cours d'eau.

    Histoire

    Elle englobe la commune de Baynes depuis 1965, laquelle avait déjà absorbé les communes de Notre-Dame-de-Blagny, la Haye-Piquenot et Rieu en 1831.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Aymar Lefrançois    
        Maurice le François    
        André Barnage    
        Ruffin Giard    
        Bernard Desmeules    
    1995 avril 2014 André Levillain SE  
    avril 2014[21] mai 2018[22] Joël Lepage SE Chef d'entreprise
    juin 2018[23] En cours Érick Dorand[24] SE Chauffeur raboteur

    Services administratifs

    • Hôtel de ville.
    • Bureau de poste.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 772 habitants[Note 7], en augmentation de 1,31 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution démographique de Sainte-Marguerite-d'Elle  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    325257425219720744221222750
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    715734760734711704654645638
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    609603697654682636598614586
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    730890831760758743756757769
    2018 - - - - - - - -
    772--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique de Baynes
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    225195218151125527488
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    490491457453424422447
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    424390383349343341350
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    282294272300338280239
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini[29])
    Évolution démographique de Notre-Dame-de-Blagny
    1793 1800 1806 1821 1831
    12399122108126
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini[30])
    Évolution démographique de La Haye-Piquenot
    1793 1800 1806 1821 1831
    147135183171160
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini[31])
    Évolution démographique de Rieu
    1793 1800 1806 1821 1831
    5171754651
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini[32])

    Enseignement

    • Écoles primaires : une dans le bourg et le groupe inter-communal dans le quartier de la gare.

    Économie

    Centres commerciaux et industries

    • La laiterie Gervais (fermée depuis son transfert au Molay-Littry).
    • Usine Isicrem (c'est là qu'étaient fabriqués les Caramels d'Isigny), rachetée ensuite par Mali, puis par Agrolis toujours en activité.
    • Entreprise Plastoy-Pixi (jouets et figurines en plastique).
    • Une quincaillerie.
    • Une tuilerie (détruite lors des bombardements de la Seconde Guerre mondiale).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La chapelle Notre-Dame-de-la-Route à Sainte-Marguerite-d'Elle.
    • L'église Sainte-Marguerite, dans le bourg.
    • La chapelle Notre-Dame-de-la-Route, à la périphérie de la commune, consacrée le et bâtie grâce au dévouement de l'abbé Villain (curé de la commune de 1943 à 1954) qui organisa des kermesses, vendit des papiers et des chiffons pour récolter des fonds et aux cotisations des fidèles. Elle remplaça une chapelle en bois et tôles construite par les troupes américaines après le Débarquement en 1944.
    • L'église de Baynes.
    • Le manoir de la Rivière, à Baynes, dont le logis et la porte d'entrée sont classés au titre des Monuments historiques depuis le [33].

    Équipements culturels

    • Un cinéma construit grâce à l'abbé Villain, aujourd'hui[Quand ?] fermé.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marcel Levéel "19 ans en 1944", Rails et haies (La double bataille du pays d'Elle et de Lison), les Éditions et rééditions du patrimoine normand, collection Inédits et introuvables, 2004, Marigny
    • Simone Lemière, "La guerre", journal intime d'une jeune femme normande entre 1939 et 1945

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[34].
    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sainte-Marguerite-d'Elle et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sainte-Marguerite-d'Elle et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Sainte-Marguerite-d'Elle (14330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    22. « Sainte-Marguerite-d'Elle. Le maire Joël Lepage démissionne », sur lamanchelibre.fr, La Manche libre (consulté le )
    23. Sainte-Marguerite-d'Elle. Erick Dorand est élu maire
    24. Réélection 2020 : « Municipales à Sainte-Marguerite-d’Elle. Erick Dorand est réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Baynes », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Notre-Dame-de-Blagny », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Haye-Piquenot », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Rieu », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    33. « Manoir de la Rivière, à Baynes », notice no PA00111694, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Sainte-Marguerite-d'Elle sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)
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