Baneuil

Baneuil est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Baneuil

Le village de Baneuil.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Thierry, Joël Deguilhem
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24023
Démographie
Gentilé Baneuillais
Population
municipale
337 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 11″ nord, 0° 41′ 22″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 141 m
Superficie 8,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Baneuil
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Baneuil
Géolocalisation sur la carte : France
Baneuil
Géolocalisation sur la carte : France
Baneuil
Liens
Site web baneuil.fr

    Géographie

    Le canal de Lalinde en amont de la Borie-Basse.

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, la commune de Baneuil est entièrement située en rive droite de la Dordogne qui, longée par le canal de Lalinde, borde la commune au sud.

    L'altitude minimale, 27 mètres, se trouve au sud-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Capraise-de-Lalinde et Varennes. L'altitude maximale avec 141 mètres est localisée au bourg de Baneuil.

    Le bourg se situe, en distances orthodromiques, quatre kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde et seize kilomètres à l'est de Bergerac.

    La principale voie d'accès de la commune est la route départementale 660 (l'ancienne route nationale 660) qui longe le canal de Lalinde.

    Communes limitrophes

    Carte de Baneuil et des communes avoisinantes.

    Baneuil est limitrophe de six autres communes, dont Couze-et-Saint-Front au sud-est, sur moins de 400 mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 874 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 13,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[11].

    Milieux naturels et biodiversité

    Notamment liées à la présence de la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.

    Natura 2000

    La Dordogne à la Borie-Basse.

    Deux zones Natura 2000 sont délimitées sur le territoire de Baneuil :

    • la Dordogne[12], protégée pour différentes espèces de poissons ;

    ZNIEFF

    Ces mêmes coteaux calcaires forment aussi une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I sur laquelle subsistent sur 19 hectares des chênes verts (Quercus ilex)[15],[16].

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du département baignées par la Dordogne, Baneuil est soumise à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Baneuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,2 %), prairies (25,7 %), terres arables (16,8 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 6] (2 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Baneuil[24],[25]. Ce plan concerne également le risque de mouvements de terrain aux abords du canal de Lalinde[25].

    Un plan de prévention des risques (PPR) industriels a été approuvé en 2009 pour des effets thermique, toxique et de surpression concernant l'usine Polyrey implantée à Baneuil[26],[27].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Baneuil proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[28] :

    • les Bailleries
    • Bel-Air
    • Bois de Bittarie
    • Bois de Garaude
    • la Boissière
    • la Borie Basse
    • la Borie Haute
    • la Borie Neuve
    • la Cassenade
    • les Chardoules
    • la Combe du Château
    • la Coste
    • Courgniol
    • Fontenille
    • la Métairie Haute
    • Montaud
    • Port de Couze
    • les Pradasques
    • la Renardière
    • le Terme
    • Tertre de Galibert
    • Thévenis
    • la Tronce.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Banolium au XIIIe siècle[29] et Banolhium en 1472, Baneilh en 1582[29].

    Le nom de la commune se réfère soit à un nom de personnage d'origine germanique Banno, soit au mot gaulois banno, signifiant « corne », suivis du suffixe gaulois -ialo, indiquant une clairière[30],[31]. Baneuil pourrait donc signifier la « clairière de la corne » ou la « clairière de Banno ». D'origine celtique, ce toponyme pourrait se rapprocher du mot gaélique d’Écosse Beann signifiant « sommet, corne, pointe ». À l'origine, Baneuil était sans doute une clairière située sur une hauteur et suffisamment remarquable pour avoir donné son nom à ce lieu (« Baneuil est au sommet d'un coteau dominant la vallée de la Dordogne »[32]).

    En occitan, la commune porte le nom de Banuèlh[31].

    Histoire

    Le territoire communal a été occupé au Paléolithique et au Néolithique[30]. Baneuil est un village ancien comme l'indique son nom d'origine gauloise. La présence d'un dolmen[33] atteste l'occupation très ancienne de cette colline dominée par un vieux donjon datant du XIIe siècle. La construction de l'église remonte à la fin du XIe siècle[30].

    La première mention écrite connue du lieu remonte au XIIIe siècle sous la forme Banolium, suivie deux siècles après, de Banolhium[30].

    Le village se situe sur une très ancienne voie de colline qui suivait sur les hauteurs, la rive droite de la Dordogne.

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village porte le nom de Baneul[34].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Baneuil a, dès 1790, été rattachée au canton de la Linde qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, les districts sont supprimés et le canton de Lalinde (nouvelle orthographe) dépend désormais de l'arrondissement de Bergerac[35].

    Intercommunalité

    En 2002, Baneuil intègre dès sa création la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Cette structure intercommunale fusionne avec quatre autres pour former au 1er janvier 2013 la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[36],[37].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
        Guy Traverse[Note 7]    
      mars 2001 Pierre Ratier    
    mars 2001 mars 2008 Alain Bernard    
    mars 2008 mars 2014 Gérard Porcher SE[38] Retraité de l'Éducation nationale
    mars 2014[39]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Thierry Joël Deguilhem FG[40]  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Baneuil relève[41] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Baneuil se nomment les Baneuillais[42].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2018, la commune comptait 337 habitants[Note 8], en diminution de 4,8 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    206168170180210212217228219
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    221240212205199216211200187
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    187223225223244263250221236
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    280260259262299302353348356
    2018 - - - - - - - -
    337--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2012, Baneuil est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Cause-de-Clérans et Couze-et-Saint-Front au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure la maternelle et le cours préparatoire[46].

    Économie

    Emploi

    En 2015[47], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 164 personnes, soit 46,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a augmenté par rapport à 2010 (seize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte dix-sept établissements[48], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, un dans la construction, et un dans l'industrie[49].

    Entreprises

    Créée en 1956, l'entreprise Polyrey, l'un des principaux employeurs privés du département avec 500 employés à Baneuil en 2016, sur 650 au total[50], est l'une des principales entreprises européennes sur le marché des stratifiés[51].

    Parmi les entreprises ayant leur siège social en Dordogne, tous secteurs confondus, Polyrey (fabrication de produits en caoutchouc et en plastique) se classe en deuxième position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 136 893 k€[52], en première position parmi les entreprises industrielles[53], et également en première position pour le chiffre d'affaires à l'exportation (73 956 k€)[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Décédé en fonctions.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Baneuil et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. FR7200660 - La Dordogne : SIC sur le site de l'INPN, consulté le 9 mars 2012.
    13. [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    14. Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    15. Coteaux xérophiles de la Dordogne en aval de Lalinde sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 9 mars 2012.
    16. Carte de la ZNIEFF 26880000 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 9 mars 2012.
    17. Arrêté préfectoral de la Dordogne no 911909 portant conservation du biotope du saumon, de la Grande Alose "Alosa Alosa", alose Feinte "Alosa fallax", lamproie fluviatile "Lampetra fluviatillis", lamproie Marine "Petromyzon Marinus" constitué par l'ensemble du cours de la Rivière Dordogne dans le Département sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 9 mars 2012.
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    59. « Canal de Lalinde (écluse de la Borie-Basse) », notice no PA24000001, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2010.
    60. « Église de Baneuil », notice no PA00082335, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2010.
    61. Jean Secret, « L'église de Baneuil », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1975, tome 102, p. 157-162 (lire en ligne)
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