Aubais

Aubais, est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie

Ne doit pas être confondu avec Aubas.

Aubais

L'entrée du village et le château.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle
Maire
Mandat
Angel Pobo
2020-2026
Code postal 30250
Code commune 30019
Démographie
Gentilé Aubaisiens
Population
municipale
2 843 hab. (2018 )
Densité 241 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 21″ nord, 4° 08′ 55″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 95 m
Superficie 11,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lunel
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aigues-Mortes
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Aubais
Géolocalisation sur la carte : Gard
Aubais
Géolocalisation sur la carte : France
Aubais
Géolocalisation sur la carte : France
Aubais
Liens
Site web aubais.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Aubais est située dans la partie sud-ouest du département du Gard, à la frontière avec le département de l'Hérault.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Aubais, commune du Gard (Canton de Sommières) est à mi-distance entre les deux grands pôles urbains de Nîmes et Montpellier ; et au centre du triangle des villes moyennes de Sommières, Lunel et Calvisson. Son sol calcaire constitue un milieu mixte de garrigues et de plaines alluviales. Les cultures traditionnelles sont principalement la vigne et l’olivier.

    Hydrographie

    Le Vidourle à Aubais.
    le pont submersible sur le Vidourle entre Aubais (30) et Villetelle (34) vu de l'aval

    Le Vidourle marque la frontière sud-ouest de la commune, à la fois avec les communes de Saint-Sériès et Villetelle et le département de l'Hérault.

    Voies de communication et transports


    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 19,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 727 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gallargues Le Montueux », sur la commune de Gallargues-le-Montueux, mise en service en 1985[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15,2 °C et la hauteur de précipitations de 704 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1946 et à 19 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Aubais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lunel, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[16] et 51 540 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Aubais est l'une des 79 communes membres du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,5 %), forêts (22,4 %), cultures permanentes (20,9 %), zones urbanisées (16,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Aubais rappelle le souvenir d'un homme latin, centurion romain nommé Albasius.[réf. nécessaire]

    Aubais est mentionnée sous le nom d'Albais dans le cartulaire de Psalmody en 1095.[réf. nécessaire]

    Ses habitants sont appelés les Aubaisiens.

    Histoire

    Préhistoire

    Les collines de Gallargues et d’Aubais sont les premiers reliefs depuis le rivage de la Méditerranée, en remontant le Vidourle, petit fleuve côtier marquant la limite entre le Gard et l’Hérault. Il est probable que ce fleuve fut une voie naturelle de pénétration. L’étymologie latine alba provient très certainement de la blancheur des falaises de la trouée géologique de la Roque d’Aubais, le point de repère géographique majeur du territoire comme le suggère l’habitat temporaire de l’abri sous roche. C’est dans cette zone que l’on a retrouvé un galet aménagé perdu par un chasseur-cueilleur du Moustérien (50.000/100.000 av J.C). C’est sans doute la plus ancienne trace connue de l’activité humaine à Aubais.

    Bien plus tard, les hommes du Chasséen[22] ont adopté les techniques de l’agriculture. Les archéologues ont reconnu les restes de leurs cabanes et campements sur les coteaux ensoleillés du quartier de Four à chaux[23]. Leurs outils[24] : percuteurs, lames et éclats de silex de Salinelles apparaissent parfois, au milieu de débris de poteries non tournées.

    Depuis, presque sans discontinuer, l’homme imprime sa volonté sur le territoire, et, à qui sait la lire, l’histoire se déroulera en observant le village et son paysage.

    Quelques peuplades ont défriché les meilleures combes fertiles en terre agricole. Leurs villages sont installés sur les pentes sud des hauteurs. Ces hameaux de quelques petites maisons[25], bâtis avec des murs de pierres sèches très épais, couvert d’une toiture végétale, se partagent le territoire : au nord vers le Pioch et vers le mas de la Vieille[26], au sud sur les buttes des Pins et de Saint-Nazaire[27] et à l’ouest vers les rives du Vidourle.[28],[29]

    Ces tribus apparentées à la civilisation de Fontbuisse[30] ont élevé au moins deux menhirs ; les premiers monuments d’Aubais : la « Pierra Plantada »[31],[32] en limite nord de Congéniès et le menhir de la Saint-Jean sur la colline du moulin à vent ; malheureusement, ce dernier est en très mauvais état.

    Du bronze ancien, nous ne connaissons qu’un habitat parsemé de céramiques à cordons impressionnés, de quelques outils en silex, avec un foyer et une structure en coffre ; fouillé lors du passage du gazoduc dans le quartier des Pins.[33]

    Durant l’âge du fer, l’agriculture et l’élevage se développent. On a découvert des pots de stockage en céramique non tournée vers Valcroze.[34] Deux tombes, des tumulus, sont connus depuis longtemps dans le quartier des Pins. Sans doute toujours plus ou moins présents, les hommes ont modelé le paysage à leurs exigences, terrassant les pentes douces, aménageant les ruissellements des eaux.[35]

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Charles de Baschi, marquis d'Aubais, peint par Jean-Baptiste Perronneau en 1746.

    Aubais a été au XIIIe siècle une maison de l'ordre du Temple qui dépendait de la Commanderie templière de Saint-Gilles-du-Gard[36] dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem la commanderie de Saint-Christol au grand prieuré de Saint-Gilles qui détenaient toujours la censive et la directe sur Aubais au XVIIIe siècle. Ils prélevaient sous forme de lod vingt pour cent sur les ventes immobilières et le transport.

    Avant la révolution française, ils possédaient encore une maison et douze terres, le reste ayant été cédé au marquis d'Aubais qui versait une rente à la saint Michel[37].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 mars 1983 Paul Berrus   Médecin
    mars 1983 juin 1995 Maurice Boisson DVG Général
    Conseiller général du canton de Sommières (1991 → 1995)
    juin 1995 mars 2001 Hubert Pesle   Retraité
    Croix de guerre 1939-1945
    mars 2001 23 mai 2020 Pilar Chaleyssin SE-DVD Infirmière aide-opératoire retraitée
    23 mai 2020 En cours Angel Pobo SE Chef de projet chez Total
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2018, la commune comptait 2 843 habitants[Note 5], en augmentation de 12,55 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3781 3081 4761 4861 5141 4371 4561 5311 534
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5261 5591 6291 6811 6181 3771 3121 4171 429
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4741 4301 2311 1161 0761 048953853836
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    8699001 0161 2611 5411 9962 2742 3142 353
    2013 2018 - - - - - - -
    2 5262 843-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Fanfare avant la manifestation taurine dans les arènes temporaires lors de la fête votive.

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Château d'Aubais ( Classé MH (2010)) : Vaste et imposant édifice avec des restes magnifiques d'un monument autrefois majeur[42]. La qualité de son architecture est exceptionnelle, en particulier de l'imposant pavillon central au grand dôme intérieur qui contenait le fameux escalier, dû à l'ingénieur du roi Alexis de la Feuille de Merville et l'architecte nîmois Dardailhon. Le plan des Théâtres présente un intérêt ethnologique de la tradition culturelle de la bouvine en Bas Languedoc, utilisée pour les courses de taureaux.
    • Vaste Mairie-écoles avec horloge
    • Anciennes halles à arcades en pierres du 17e
    • En face ,ancienne borne fontaine en fonte de la fonderie Dollet frères de Nîmes années 1860 sur un modèle proche de celle de Congénies . Cette borne fontaine comportait des éléments décoratifs faisant référence au monde aquatique (poissons) ; elle vient hélas d'être fortement dégradée ...
    • Ancien moulin à vent
    • Menhir du moulin à vent (cassé récemment !)
    • Ancien lavoirs couverts de grandes dimensions
    • Ancienne gare (1872)
    • Nombreuses demeures médiévales dans le village
    • Nombreux mas remarquables
    • Nombreuses capitelles ici appelées cabanes comme en Sommièrois-Vaunage .

    Édifices religieux

    • Église Notre-Dame-et-Saints-Nazaire-et-Celse ; façade 18e avec grand escalier, surmontée d'un clocher abritant la cloche des offices, lui-même surmonté d'un très sobre campanile en fer forgé de forme pyramidale (fréquent dans la région) abritant la cloche de l'horloge. L'église est dédiée à Notre-Dame et aux saints Nazaire et Celse.

    Patrimoine culturel

    Patrimoine naturel

    La Roque d'Aubais

    Le défilé du Vidourle entre deux collines crée des falaises avec une grotte[48], constituant un site d'escalade.

    Personnalités liées à la commune

    Ex libris du marquis d'Aubais.

    Héraldique

    Les armes d'Aubais se blasonnent ainsi :

    De sable à la montagne d'or sommée d'une croisette latine du même et soutenue d'un ruisseau de sinople mouvant de la pointe[50].


    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Gallargues Le Montueux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Aubais et Gallargues-le-Montueux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Gallargues Le Montueux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Aubais et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Lunel », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Jean-Marc ROGER, Bulletin école Antique de Nîmes "La communauté Chasséenne du puech de la fontaine", P.9.
    23. Jean-Marc ROGER, Bulletin de la santé des sciences naturelles de Nîmes "Nouvelles données sur l’architecture domestique au Néolithique et au début de l’âge des métaux dans la région Nîmoise", , Tome 58 / p. 114 et carte p.115..
    24. Mobilier, collection Marignan, au musée de Nîmes, vitrine 13
    25. Jean Paul BRUN, Aigues-Vives et ses environs, , P.8 /. P.9.
    26. Capitaine LOUIS, Le Gard Préhistorique, , P. 126 / 127 / 247 / 298 / 299.
    27. Dr MARIGAN-14, Matériaux pour servir à l’histoire primitive et naturelle de l’homme, , p.189-190.
    28. Dr MARIGNAN-12, Bulletin de la Société d’Etude des Sciences Naturelles de Nîmes, , P. 13.
    29. G.B. ARNAL, La céramique Néolithique dans le Haut- Languedoc, mémoire du centre de recherche archéologique du Haut Languedoc, avec le concours du C.N.R.S., , P. 53.
    30. Mathieu OTT et Jérôme HERNANDEZ, sous la direction de Claude RAYNAUD, Saint-Nazaire-de-Marissargues (Aubais, Gard), Fouille de sauvetage d'urgence, Un gisement chalcolithique.Mars, , p. Vol. 1 Texte ; Atelier d'Archéologie, Plan de l'Olivier, 34 400 Lunel Viel ; p.11.
    31. Ivan PRANISHNIKOFF, « Les gravures du menhir de Congénies » in, La Revue Préhistorique. Annales de Paleonthlogie, , Tome II, p.88-92.
    32. Dr E.MARIGNAN, « Matériaux pour servir l’histoire primitive et naturelle de l’homme », , P. 189-190.
    33. Jean-Jacques DUFRAIGNE, E. GUILLET et F. JALLET. Aubais Transect d'Aubais « de la préhistoire à l'Epoque moderne » , Gard, quartier « Les Pins » (Gazoduc A.M.) ;Néolithique-Calcolithique. Un établissement du début du Bronze Ancien, Jean-Jacques DUFRAIGNE; Bilan Scientifique 1996, Ministère de la culture Préfecture de la Région Languedoc – Roussillon Direction Régionale des Affaires Culturelle, Service Régional de l’Archéologie. p. 64 à 67.
    34. Laure NUNINGER, Doctorante en Archéologie. Vaunage, Vidourlenque et Vistrenque ; Programme de prospection- inventaire (1994-1998). Contribution à la carte archéologique du Languedoc oriental. 22. Garrigue de Valcroze (Aubais, Gard). Rapport de sondage.1998. Université de Franche-Comté. Atelier municipal d’Archéologie, 34400 Lunel-Viel.
    35. William GELIS, Histoires d’Aubais, Aubais, son territoire et sa toponymie, .
    36. Damien Carraz (préf. Alain Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales / 17 », (ISBN 978-2-7297-0781-1, lire en ligne), p. 96, 401
      cf. Liste des commanderies templières dans le Languedoc-Roussillon pour les possessions détaillés de l'ordre du Temple dans le Gard.
      .
    37. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 90-91, lire en ligne sur Gallica
      Visite du 02 décembre 1761 par le frère de Gaillard, commandeur de Valence et Joseph Ferrand, prêtre de l'ordre.
      .
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. Notice no PA30000015, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Notice no IA30000008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Notice no EA30000015, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Chapelle Saint-Nazaire de Marissargues », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    46. Maudet 2010, annexe, p. 84.
    47. Notice no PA30000078, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Grotte de la Roque d'Aubais », sur GrooCenter (consulté le ).
    49. http://www.lr2l.fr/acteur/teisson-janine-aubais.html
    50. Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Baptiste Maudet, Terres de taureaux : les jeux taurins de l'Europe à l'Amérique, Madrid, Casa de Velasquez, , 512 p. (ISBN 978-84-96820-37-1, présentation en ligne)
    • Jean-Baptiste Maudet, Terres de taureaux : les jeux taurins de l'Europe à l'Amérique, Madrid, Casa de Velasquez, , 512 p. (ISBN 978-84-96820-37-1, présentation en ligne), Annexe CD-Rom 112 pages

    Articles connexes

    Liens externes

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