Ars (Charente)

Ars, appelé aussi localement Ars en Saintonge[1], est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Ars.

Ars

Mairie et église d'Ars.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Dominique Simon André Burtin
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16018
Démographie
Gentilé Arsois
Population
municipale
714 hab. (2018 )
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 38″ nord, 0° 22′ 52″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 58 m
Superficie 11,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Ars
Géolocalisation sur la carte : Charente
Ars
Géolocalisation sur la carte : France
Ars
Géolocalisation sur la carte : France
Ars
Liens
Site web arsensaintonge.fr

    Ses habitants sont appelés les Arsois et les Arsoises[2].

    Géographie

    Ars est située en Petite Champagne, cru classé du vignoble d'appellation Cognac.

    Localisation et accès

    Ars est à l'extrême ouest du département de la Charente à km au sud-ouest de Cognac et limitrophe de la Charente-Maritime. La commune est sur la rive gauche du .

    Ars est à l'écart des axes routiers, entre la route départementale 732 Cognac-Pons et la 731 reliant Cognac à Barbezieux.

    Le bourg est desservi par la D 147. La D 47 passe au sud et la D 400 à l'ouest[3].

    Ars est à 42 km d'Angoulême, la préfecture, et 14 km d'Archiac et de Pons[4].

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER en direction d'Angoulême, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreux hameaux et fermes, qui sont concentrés principalement autour du bourg et sur la rive gauche du . Du nord au sud, on trouve le Port de Jappe, chez Boursac, la Pierrière, le Moulin Vieux, chez Ferrand, chez Drouet, chez Dexmier, Bonbonnet, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, comme toute cette partie de la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac, c'est une zone calcaire datant du Crétacé supérieur avec cuestas.

    Le Santonien occupe une petite partie nord de la commune. La partie sud-ouest, plus haute, est occupée par le Campanien, calcaire plus crayeux, qui donne les paysages de Champagne dans cette partie des Charentes.

    La vallée du qui occupe une grande partie orientale de la commune est occupée par des alluvions du Quaternaire. On distingue les alluvions récentes de la partie inondable, et les alluvions anciennes constituées en terrasses et issues des glaciations (Würm pour la plus basse, et Riss pour la plus haute), et où le bourg est construit[5],[6],[7].

    La commune est occupée en grande partie par la vallée du et est située sur sa rive gauche. La moitié occidentale est formée par un plateau qui monte en pente douce vers le sud-ouest. Le point culminant de la commune est à une altitude de 58 m, situé sur la limite occidentale à Nougeret. Le point le plus bas est à m, situé le long du Né en limite nord. Le bourg est à environ 12 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune d'Ars est dans une zone de marais de la vallée de affluent rive gauche du fleuve Charente qui le rejoint juste en aval de Cognac. Le Né est canalisé en aval du bourg. Le Biget, petit affluent du Né en rive gauche, borde la commune au sud. Le cours principal du Né en amont du bourg s'appelle le Biau du Milieu[3].

    Climat

    Comme les trois quarts sud et ouest du département, la région de Cognac a un climat océanique aquitain.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,1
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Ars est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,9 %), terres arables (26,7 %), forêts (13,7 %), prairies (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), zones urbanisées (6,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes non datées sont Arcubus[15], Arcs[16].

    Le nom vient probablement du latin arcus ou arca (arche, pont)[17]. Une arche indique généralement le voisinage d'un pont en pierre, Ars étant sur le Né[18].

    Histoire

    Les nécropoles et sanctuaires à fossés circulaires de Chez Dexmier et la Dauphinerie et quadrangulaire du chemin de la Borderie attestent d'une occupation protohistorique.

    Il existe une nécropole du VIe siècle sur 600 m2 près de Bonbonnet.

    La voie romaine dite chemin Boisné de Saintes à Périgueux passait le à gué au lieu-dit Port de Jappe sur une chaussée bétonnée[19]. Elle a été découverte et détruite lors de travaux de calibrage de la rivière.

    La terre d'Ars fut apportée au début du XIVe siècle à la famille de Brémond d'Ars par le mariage de Jeanne d'Ars, dame d'Ars et de Balanzac, avec Guillaume Bremond. Le château d'Ars est resté dans cette famille jusqu'à la fin du XIXe siècle[20].

    Le , les représentants d'Ars à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont J. Gueslin et Maurice Pauc[21].

    Administration

    La mairie.

    La commune d'Ars a été créée en 1793. Elle faisait partie du département de la Charente du district de Cognac et du canton de Salles. En 1801, elle est de l'arrondissement et du canton de Cognac et passe en 1973 dans le canton Cognac-sud[22].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2014 Marie-Paule Guilloton SE Mère au foyer
    2014 2020 Hélène Tournadre SE Artisane d'art - feutrière
    2020 En cours Dominique Simon André Burtin    

    La fiscalité est d'un taux de 16,58 % sur le bâti, 51,67 % sur le non bâti, et 7,75 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    Ars fait partie de la communauté de communes de Cognac qui prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2018, la commune comptait 714 habitants[Note 3], en diminution de 2,86 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    550569575635735704711712727
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    733707626562557485482473519
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    528514508437506505408404404
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    417482639750746727725722735
    2018 - - - - - - - -
    714--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Ars en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,6 
    6,1 
    75 à 89 ans
    7,4 
    14,2 
    60 à 74 ans
    13,2 
    28,7 
    45 à 59 ans
    24,5 
    20,6 
    30 à 44 ans
    22,3 
    10,6 
    15 à 29 ans
    10,2 
    19,8 
    0 à 14 ans
    21,8 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    La commune d'Ars a retrouvé, à la fin du XXe siècle, grâce à une politique volontariste, son niveau de population du milieu du XIXe siècle. Cette population occupe des logements individuels dont 218 sont propriétaires, 40 sont locataires et 17 hébergés à titre gratuit. De plus il y a sur la commune cinq résidences secondaires, trois logements occasionnels et 12 logements vacants.

    En 2009, la population active est de 377 personnes avec un taux de chômage de 8,5 % (le chômage est pour 2/3 celui de femmes). Les actifs salariés le sont du tertiaire pour 152, de l'industrie pour 108, de l'agriculture pour 48 et de la construction pour 12.

    Économie

    Agriculture

    La principale activité est la viticulture, souvent dans des propriétés associant agriculture et viticulture. La commune est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Petite Champagne[28].

    Plusieurs producteurs assurent la commercialisation et la vente directe de pineau et de cognac.

    Une coopérative à silo est située au lieu-dit le Buisson.

    Commerces

    Des commerces de proximité sont présents, boulangerie-pâtisserie, salon de coiffure, institut de beauté, ainsi qu'un artisan maçon.

    Sont aussi présents un restaurant et un gîte rural.

    Une zone artisanale est implantée à l'ouest de son territoire. Elle comporte une usine de produits cuisinés asiatiques, un maçon et une manufacture d'éléments aéronautiques gonflables. L'agrandissement de la zone pour une vingtaine de lots supplémentaires a été réalisé en 2008.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Ars et Gimeux. Ars accueille l'école élémentaire et Gimeux l'école primaire[29].

    Santé

    Il y a un cabinet médical et une pharmacie et un masseur-kinésithérapeute.

    Autres services

    Ars a gardé son agence postale.

    Le centre de la SPA du Cognaçais est sur la commune d'Ars.

    Culture

    La bibliothèque municipale est située place de la mairie.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Église.
    Monument aux morts.

    L'église Saint-Maclou d'Ars est en partie du XIIe siècle et en partie du XVIe siècle, munie à la fois d'un clocher et d'un campanier. Sa cloche est gravée « 1596 »[21].

    L'ancien presbytère du XVIIe siècle, auquel on accède par un portail crénelé et qui possède une tour polygonale, est devenu la mairie.

    Patrimoine civil

    Le château date du XVIIe siècle. C'est l'un des berceaux de la famille de Brémond d'Ars[30]

    Le moulin nommé moulin de la Veuve-Garland est un moulin à vent datant de la fin du XVIIIe siècle[31].

    Ars compte deux moulins : le moulin vieux et le moulin neuf, ou moulin Foucaud[réf. nécessaire].

    Patrimoine environnemental

    La vallée du , classée Natura 2000 en sa totalité, forme ici une zone de marais, le marais d'Ars-Gimeux. Les animaux remarquables présents dans le Né sont la lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le triton crêté (Triturus cristatus), des invertébrés remarquables comme la cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), la gomphe à cercoïdes fourchus (Gomphus graslinii) et la rosalie des Alpes (Rosalia alpina), mais surtout la loutre d'Europe (Lutra lutra) et le vison d'Europe (Mustela lutreola) [32].

    Personnalités liées à la commune

    • En 1651, Marie-Guillemette de Verdelin, enfermée dans le château en assurait la défense, tandis que son mari Jean-Louis de Brémond d'Ars défendait Cognac assiégée par les frondeurs et le prince de Condé[20]. C'est elle aussi qui fit creuser un canal pour assécher le marais d'Ars.
    • Dominique Dupuy, né le 25 août 1957 à Ars, pilote automobile français qui a participé principalement à des compétitions de Grand tourisme, en remportant le Championnat de France FFSA GT ou les 24 Heures de Daytona.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site de la commune
    2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Pons », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Cognac, Charente (16), 30 m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 462
    16. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1865, p.374
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 24.
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 228
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 59-60
    21. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, Abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Evolution et structure de la population à Ars en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    29. Site de l'inspection d'académie de la Charente
    30. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 3
    31. « moulin de la Veuve-Garland », notice no IA00059107, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. Natura 2000, vallée du Né et ses principaux affluents

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de la Charente
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.