Amécourt

Amécourt est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Ne doit pas être confondu avec Omécourt.

Amécourt

Le château d'Amécourt en 2014.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin Normand
Maire
Mandat
Arnaud Descharles
2020-2026
Code postal 27140
Code commune 27010
Démographie
Gentilé Amécourtois
Population
municipale
166 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 50″ nord, 1° 44′ 07″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 166 m
Superficie 6,01 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gisors
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Amécourt
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Amécourt
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Amécourt
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Amécourt
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Localisation

    Amécourt est une commune du Nord-Est du département de l'Eure, limitrophe de celui de l'Oise et proche de celui de Seine-Maritime. Son territoire occupe une partie de la vallée de l'Epte et s'étend, à l'ouest, sur le plateau environnant. De ce fait, Amécourt appartient à la région naturelle du Vexin normand. L'atlas des paysages de Haute-Normandie la classe même plus précisément au sein de l'unité paysagère de la vallée de l'Epte[1]. À vol d'oiseau, le bourg est à 11,5 km au nord de Gisors[2], à 26 km à l'ouest de Beauvais[3], à 47 km à l'est de Rouen[4] et à 58 km au nord-est d'Évreux[5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 768 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[14] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, dans le département de l'Oise, mise en service en 1944 et à 29 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Amécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,1 %), prairies (20,1 %), forêts (15,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Armercort en 1166[Note 7],[28].

    Histoire

    Certaines découvertes, notamment des pierres taillées, des haches en silex…, sur le plateau de la commune prouvent que la vallée de l’Epte était habitée depuis fort longtemps. La découverte de médailles romaines et de candélabres démontre l’installation des Romains sur l’implantation du village.

    Les origines d'Amécourt dateraient de l'époque du haut Moyen Âge (entre 500 et 750 ap. J.-C.).

    La rivière Epte, qui traverse la commune, est la frontière entre le département de l’Eure et celui de l'Oise. En effet, c’est le traité de Saint-Clair-sur-Epte (911) qui fait de l'Epte la limite de la Normandie. Charles III y concède à Rollon, chef viking, la région comprise entre l'Epte et la mer : la Normandie est née. L’Epte, frontière naturelle devient frontière historique, puisqu’elle délimite encore la Normandie de la Picardie. Ainsi Amécourt est l’un des derniers villages normands.

    D'autre part, ce que l'on appelle aujourd’hui la forêt de Lyons s'étendait jadis jusqu'à l'actuel bois de Gisors (autrefois « Buisson Bleu »). Sept villages de la seigneurie de Mainneville (Amécourt, Hébécourt, Heudicourt, Mainneville, Sancourt, Saint-Denis-le-Ferment et Tierceville) reçoivent la jouissance de la forêt comprise dans leurs limites, contre rente probablement à partir du XIIe siècle. C'est Philippe le Bel, qui reconnaît « officiellement » l’existence de droits aux habitants des « Sept-Villes-de-Bleu », à travers la création d’une première organisation administrative forestière en instituant les charges de « Maîtres et Gardes des Eaux et Forêts », à la suite d'une ordonnance du . Les habitants des Sept-Villes-de-Bleu, forts de leurs droits, défrichent la forêt, font pâturer leurs bétails, utilisent le bois pour la construction et le chauffage et l’élaboration d’outils agricoles. Mais non sans mal, en effet, pendant plus de cinq siècles, les habitants de ces villages ont lutté avec acharnement contre leurs propres seigneurs, mais aussi contre l’administration des Eaux et Forêts, voire contre les rois eux-mêmes, afin de conserver leur privilège. Cette lutte se termine le (le 27 pluviôse de l’an XIII), le Conseil d’État décide de laisser aux paysans la jouissance du terrain. En effet, celui-ci est entièrement défriché, cultivé et change de statut, puisque, de bien commun, il devient propriété privée, selon les idées en vigueur lors de la Révolution.

    Ainsi le coteau du village compte encore quelques parties boisées et des pâtures pour les troupeaux ovins et bovins au plus près de la rivière, tandis que le plateau, sur les hauteurs, est consacré à l’exploitation céréalière.

    •  : arrivée de l'ADSL à Amécourt.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2008 2014 Jacques Bodescot    
    mars 2014 2020 Alain Béal SE Ingénieur
    2020 En cours Arnaud Descharles    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2018, la commune comptait 166 habitants[Note 8], en diminution de 4,6 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    223231225263260237218200229
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    194205188213214199190195171
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    172201189179166180129120129
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    13710587111106145162177167
    2018 - - - - - - - -
    166--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Amécourt compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • l'église Saint-Hélier (XIIe, XVIe et XVIIIe siècles)[33]. La nef a été construite, en partie, au XIIe siècle, le chœur a été reconstruit en 1577 et le portail porte la date 1706. L'édifice comprend notamment des vitraux représentant saint Joseph (1895), saint Maur (1894), saint Jean Évangéliste (1940), la Sainte Vierge (1879) et saint Louis (1879). S'y trouve également une sculpture de sainte Anne en bois du XVe siècle et un confessionnal en bois du XVIIIe siècle[34] ;
    • la chapelle Sainte-Anne ou Saint-Maur (XIXe)[35]. Cette chapelle a été édifiée en 1859 pour M. Dumesnil. Toute en brique, elle est de plan allongé à vaisseau unique. Son toit à longs pans est recouvert d'ardoise et surmonté d'une flèche pyramidale au faîte du toit à l'avant de la nef. Le chevet est de forme polygonal et à trois pans. Enfin, cette chapelle accueille un pèlerinage chaque année à la fin du mois de juillet[36] ;
    • le presbytère (XVIIIe)[37] ;
    • un château du XVIIIe siècle[38]. Les propriétaires successifs ont été les familles de l'Isle, de Fours, de Beauvais, de Harle, Sublet, Dufour de Longuerue, Lefèvre d'Amécourt et Flicoteaux[39] ;
    • le domaine du Pâtis, manoir fortifié reconstruit au début du XVIIIe siècle, situé sur la place du village[40].

    Autres lieux :

    • le lavoir communal, construit en bois avec une couverture en tuiles et alimenté par une source. Il possède un système de vannage qui permet de contrôler le niveau de l’eau ;
    • une statue de la Sainte-Vierge, érigée sur la place du Pâtis.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Cartulaire de St-Denis (« Cartulaire blanc »), t. II, p. 607.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « La vallée de l'Epte », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Distance à vol d'oiseau entre Amécourt et Gisors », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    3. « Distance à vol d'oiseau entre Amécourt et Beauvais », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    4. « Distance à vol d'oiseau entre Amécourt et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    5. « Distance à vol d'oiseau entre Amécourt et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    6. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    7. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Amécourt et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Amécourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. François de Beaurepaire,Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, page 51.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Église Paroissiale Saint-Hélier », notice no IA00017802, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Eglise Saint Helier ».
    35. « Chapelle Saint-Maur », notice no IA00017801, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Chapelle Sainte-Anne ou Saint-Maur », sur Observatoire du patrimoine religieux (consulté le ).
    37. « Presbytère », notice no IA00018522, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Château », notice no IA00017803, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « L'histoire du Château », sur Château d'Amécourt (consulté le ).
    40. « Manoir », notice no IA00017804, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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