Albert Éloy-Vincent

Albert Éloy-Vincent est un journaliste et peintre français.

Biographie

Né à Montpellier[1] le 20 décembre 1868[2], Louis Albert Vincent, dit Albert Éloy-Vincent[3], embrasse une carrière de peintre[1].

Professeur et directeur de l'École des beaux-arts de Nîmes^[Quand ?], ainsi que conservateur du musée des beaux-arts de Nîmes, Eloy-Vincent est une véritable « figure » de la « vie littéraire et artistique nîmoise »[1]. Membre fondateur de l'École antique de Nîmes en 1920, et membre de l'Académie de Nîmes en 1917[4], qu'il préside en 1927, il est également membre de la société occitaniste Nemausa.

Il meurt le 30 novembre 1945[2] à Nîmes[1].

Je passe mon anatomie : billevesée en VI scènes, Montpellier, Delord-Boehm, 1899 (notice BnF n^o FRBNF30398774).
La Chatte borgne : déclaration des droits de la bête, Nîmes, Fabre, 1922 (notice BnF n^o FRBNF35286856).
Le Silence, condition de l'art, Nîmes, La Laborieuse, 1923 (notice BnF n^o FRBNF32075273).
À pas lents sous les platanes de la préfecture, Nîmes, Salles, 1929 (notice BnF n^o FRBNF32075270).
Armand Coussens, peintre graveur (1881-1935), Paris, Horizons de France, 1936 (notice BnF n^o FRBNF31525804).

« Vincent (Eloy, Louis) », dans Ivan Gaussen (préf. André Chamson), Poètes et prosateurs du Gard en langue d'oc : depuis les troubadours jusqu'à nos jours, Paris, Les Belles Lettres, coll. « Amis de la langue d'oc », 1962 (notice BnF n^o FRBNF33021783), p. 103.
Catherine Bernié-Boissard, Michel Boissard et Serge Velay, « Eloy-Vincent », dans Petit dictionnaire des écrivains du Gard, Nîmes, Alcide, 2009 (ISBN 978-2-917743-07-2), p. 97.
Raymond Huard, Eloy-Vincent. Peintre, journaliste et écrivain, Montpellier 1868-Nîmes 1945, Brignon, Les Editions de la Fenestrelle, 2019.

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