Alba-la-Romaine

Alba-la-Romaine est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes. Son origine remonte à l'Antiquité, dont elle a gardé des vestiges que l'on peut découvrir aujourd'hui sur le site archéologique du village.

Pour les articles homonymes, voir Alba.

Alba-la-Romaine

Le château d'Alba-la-Romaine.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Privas
Intercommunalité Communauté de communes Ardèche Rhône Coiron
Maire
Mandat
Pierre Laulagnet
2020-2026
Code postal 07400
Code commune 07005
Démographie
Gentilé Albains, Albaines
Population
municipale
1 452 hab. (2018 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 20″ nord, 4° 35′ 56″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 554 m
Superficie 30,46 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Berg-Helvie
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Alba-la-Romaine
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Alba-la-Romaine
Géolocalisation sur la carte : France
Alba-la-Romaine
Géolocalisation sur la carte : France
Alba-la-Romaine
Liens
Site web http://www.alba-la-romaine.fr/

    Les habitants sont appelés les Albains[1].

    Géographie

    Située entre Aubenas et Montélimar, on peut y découvrir des vestiges de la ville romaine et un bourg médiéval.

    Hydrographie

    La ville est traversée par l'Escoutay.

    Communes limitrophes

    Carte de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Alba-la-Romaine est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,8 %), forêts (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), zones urbanisées (1,4 %), prairies (0,9 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Carte d'un commerçant indiquant qu'il habite Aps
    historique des dénominations

    À l'époque romaine, la ville, capitale des Helviens, se nomme Alba Helviorum ; le nom évolue en Alpibus (ablatif pluriel de Alps) en latin vulgaire pour devenir Aps au Moyen Âge (perte du l).

    Le nom historique d'Alba lui est restitué en 1904. La dénomination actuelle d'Alba-la-Romaine a été officialisée par décret du (publié au Journal officiel le ) et a pris effet le .

    étymologie

    Alba est un nom d'origine préceltique[9] apparenté à *Alp-[10] et désignant une colline, place forte ou ville[9]. Cette racine se retrouve dans différents noms de lieux ou de rivières comme : Albanie, Albi, Albion, L'Albenc, Alba> Aube, Aubenas[10]… Ce nom désigne généralement un lieu placé soit sur une montagne, soit au pied des montagnes, ce qui pourrait être le cas pour « Alba des Helviens »[11]. Mais la ville actuelle peut aussi avoir tiré son nom d'un oppidum voisin, probable sur le plateau de Chaulène.

    Histoire

    La cité d'Alba-la-Romaine fut fondée sous l'Empire romain comme le pont sur l'Escoutay qui date du IIIe siècle. Elle portait alors le nom de « Alba Helviorum ».
    Elle fut la capitale des Helviens, dont le territoire l'Helvie correspond au sud du département de l'Ardèche, et fut siège épiscopal dans le courant du IVe siècle. Le nom d'Alba n'a pourtant pas l'origine latine qu'on pourrait croire (alba signifiant « la blanche » en latin)[12] ; son origine est plus ancienne[13].

    Le nom des évêques d'Alba nous est connu grâce à un document rédigé en 950 par l'évêque de Viviers Thomas II : la "Charta Vetus": il s'agit de Januarius, Septimius, Maspicianus, Melanus et Auxonius. L'existence d'un évêque Avolus relève des traditions populaires (Yves Esquieu). On attribua par erreur aux Vandales et à leur chef Chrocus la destruction d'Alba Helvorium au Ve siècle.
    L'évêque Avolus est mis à mort, son successeur l'évêque Auxionus s'établit au bourg fortifié de Viviers qui donnera au diocèse son nom de Vivarais. Yves Esquieu[14] donne une date de transfert autour de 475, ce transfert aurait donc été plutôt le fait de Promotus, un successeur de l'évêque Auxonius.

    Du Moyen Âge jusqu'en 1904, elle porta le nom d'Aps (famille de propriétaires locaux).

    En 1829-1820, des instructions données par le préfet permirent de recenser les antiquités du territoire de la commune d'Aps[15].Cette mission fut confié à Honoré Flaugergues.

    Albin Mazon et Jos Jullien attachèrent aussi leur nom aux fouilles de ces lieux.

    La dénomination actuelle a été officialisée par décret du (publié au Journal officiel le ), et a pris effet le . La dénomination précédente était Alba.

    Contre le mur du cimetière juif dans le quartier nord de Bonn (Allemagne) se trouve un relief de la pierre tombale du premier habitant de Bonn nommément connu, un légionnaire romain venu en 35 apr. J.-C. de Alba Helviorium (aujourd’hui Alba-la-Romaine). L’inscription tombale, traduite du latin, signifie : « Ici repose Publius Clodius, fils de Plubius, de la tribu Voltinia, né à Alba, soldat de la 1re légion, 48 ans, décédé après 25 ans de service. »[16].

    Héraldique

    Les armes d'Alba-la-Romaine se blasonnent ainsi :
    Deux écus accolés:

    • D'argent à la tour d'azur.
    • De gueules à la croix d'argent.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1871 1874 Simon Rieu    
    1874 1875 Henri Pélegrin    
    1875      
    1876 Simon Rieu    

    (décès)
    Camille Rieu Républicain Propriétaire
    Ludovic Rieu   Propriétaire
    Ferdinand Laulagnet   Cultivateur
    Jules Rieu Républicain Propriétaire
    Conseiller d'arrondissement
    1914 Émile Pélegrin Libéral Employé au chemin de fer à Viviers
    1914 Alphonse Vernet Libéral  

    (décès)
    Jules Rieu Radical-socialiste Propriétaire
    Ancien conseiller d'arrondissement
    1944 Franck Delarbre Radical-socialiste Archéologue
    1944 Louis Chaussignand PCF Président du Comité de Libération
    Camille Rieu MRP Agriculteur
    2000
    (démission)
    Rolland Berneau DVD Ingénieur
    Président du Sie-Fay
    2000 Pierre Maurin DVG Retraité Basaltine
    André Volle UMP puis LR Retraité Transport
    En cours
    (au [17])
    Pierre Laulagnet DVG Retraité

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

    En 2018, la commune comptait 1 452 habitants[Note 2], en augmentation de 3,57 % par rapport à 2013 (Ardèche : +1,94 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8268339051 0171 1521 6131 4381 5631 578
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5381 6071 5921 5781 6201 4911 5101 5091 404
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2641 2181 1579109431 003948787732
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7868718658249901 1351 3381 3991 428
    2018 - - - - - - - -
    1 452--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (26,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (49,9 % contre 48,7 % au niveau national et 49,1 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,9 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 22,8 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 22,4 %) ;
    • 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 20,9 %, 15 à 29 ans = 13,3 %, 30 à 44 ans = 23,7 %, 45 à 59 ans = 16,4 %, plus de 60 ans = 25,7 %).
    Pyramide des âges à Alba-la-Romaine en 2008 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,9 
    8,7 
    75 à 89 ans
    11,2 
    13,3 
    60 à 74 ans
    13,6 
    20,8 
    45 à 59 ans
    16,4 
    22,8 
    30 à 44 ans
    23,7 
    14,1 
    15 à 29 ans
    13,3 
    19,9 
    0 à 14 ans
    20,9 
    Pyramide des âges du département de l'Ardèche en 2008 en pourcentage[23].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,5 
    7,8 
    75 à 89 ans
    11,6 
    15,7 
    60 à 74 ans
    16,0 
    21,7 
    45 à 59 ans
    20,6 
    20,2 
    30 à 44 ans
    19,2 
    15,5 
    15 à 29 ans
    14,2 
    18,7 
    0 à 14 ans
    16,9 

    Festivités et évènements

    • Festival du cirque chaque été depuis 2009 en juillet organisé par « la cascade », pôle national des arts du cirque http://www.lefestivaldalba.org.
    • En 1979, la commune est le lieu du tournage de la série TV Kick, Raoul, la moto, les jeunes et les autres.
    • Vendredi  : un car de la SNCF se renverse faisant un mort et cinq blessés dont un grièvement.
    • Le , la DrômArdTek Family s'y produit lors de son premier événement appelé « PâtéBassParty ».

    Médias

    En 2014, la commune d'Alba-la-Romaine a été récompensée par le label « Ville Internet @ »[24].

    Économie

    Production agricole : vin.

    « À Alba Helvienne de la province de Narbonnaise, a été inventée une vigne perdant sa fleur en un jour et pour cela très robuste. On l'appelle Carbunica et maintenant toute la province la plante ». Ainsi s'exprimait Pline l'Ancien en 65 de notre ère, à propos vraisemblablement de raisins de table, mais ce texte atteste de la présence de la vigne en Helvie à cette époque.

    Le terroir - Le vignoble est cultivé sur le versant sud du Coiron, les coteaux du mont Juliau et les rives de l'Escoutay. Sur le territoire de la Cave coopérative d'Alba, un travail de cartographie a permis d'identifier différents terroirs dont « la gravette », éboulis de pierres calcaires et du basalte, terres noires d'origine volcanique. D'un climat méditerranéen, le vignoble bénéficie d'un fort ensoleillement garanti par la fraîcheur du mistral.

    La vigne - Les blancs sont composés de chardonnay, viognier, sauvignon, grenache. Les rouges de pinot, syrah, grenache noir, merlot, cabernet sauvignon. La récolte de ces différents cépages s'échelonne sur 4 à 5 semaines, de la fin août à début octobre. Les vignerons sont engagés dans une démarche de production raisonnée, respectueuse de l'environnement.

    Les mercredis de juillet août à 16 h 30 une visite guidée « sous les vignes une ville antique » allie viticulture moderne et antique sous la direction de Sébastien JAILLET (responsable caveau) et les guides mandatés par le Conseil général à qui appartient le site.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village a fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France », mais n'est plus labellisé à ce jour.

    L'antique cité, capitale du peuple des Helviens s'étendait sur 30 hectares. Elle comprend un centre monumental, parure monumentale obligatoire de toute capitale gallo-romaine dans le système administratif et politique de l'Empire romain. Ce centre monumental est composé d'un forum, encore enfoui sous les vignes, d'une basilique, de deux temples, d'une curie, un petit sénat local, et de deux bâtiments énigmatiques de par leur architecture qui ne laisse aucun indice tangible quant à leur fonction. Une hypothèse existe néanmoins: il pourrait s'agit de bâtiments dédiés aux corporations, que l'on sait riches et puissantes à Alba. Un marché couvert (macellum) termine la parure de ce centre monumental.

    Un peu plus loin dans les vignes, le sanctuaire de Bagnols abrite trois temples : un fanum, temple gallo-romain, un temple sur podium et le temple dédié au culte de l'empereur romain. Une magnifique statue d'un empereur non identifié y a été retrouvée. Il s'agit d'un buste sculpté dans du marbre blanc du Pentélique, pesant près de 600 kilos et laissant augurer une statue massive de 2,50 mètres de haut. La tête manque mais pouvait être à l'effigie d'un des grands empereurs, Hadrien ou Trajan. Sur l'épaule gauche, un manteau frangé marque la dignité militaire du personnage. Jambes fléchies, cet empereur déifié est donc représenté dans un corps nu, symbole de la perfection physique et de la force du héros ; il devait probablement tenir un glaive à la main et poser le bras levé[25].

    Enfin, le théâtre. Il s'agit du bâtiment public le mieux conservé sur le site. Lieu de divertissement et de sociabilité par excellence, il a permis également la cohésion de la cité dans le cadre de l'empire. Les gradins (la cavea) permettaient un tri social de la population qui venait dans son intégralité assister aux spectacles présentés. Le mur de scène, autrefois magnifique, surplombe une scène aujourd'hui disparue et qui a la particularité d'avoir été construite sur un ruisseau canalisé, le ruisseau du Massacre. Derrière le mur de scène, se devine une cour rectangulaire, qui donnait lieu à des cérémonies religieuses.

    Personnalités liées à la commune

    Le , le peintre André Lhote avait publié dans le journal Combat un article qui décrit « les rues caillouteuses d'Alba, ses murs en damiers irréguliers, où alternent au petit bonheur les pierres noires et blanches, ce qui donne cette matière admirable, un peu austère, que l'on retrouve tout au long des routes ardéchoises. Les maisons abandonnées y ont encore leur toit, ce qui est miraculeux (…). Voici donc un village qui souhaite impatiemment sa résurrection. Quel est l'artiste, l'intellectuel possédant quelque fond de tiroir, une ou deux dizaines de billets excédentaires qui reculera devant l'œuvre à accomplir : sauver une belle maison ancienne, miraculeusement rescapée de la guerre et du mépris universel, s'assurer de surcroît de nobles vacances en une contrée où fourmillent les plus capricieuses combinaisons d'éléments naturels ? ».

    À partir de 1949, de nombreux artistes français ou étrangers et personnalités s'installent et reconstruisent des maisons d'Alba-la-Romaine, notamment Jean Bertholle, Jean Le Moal, Jeanne Besnard-Fortin, Étienne Hajdu, Eudaldo, Stanley Hayter, Helen Philipps, Honorio García Condoy, Laszlo Szabo, Alejandro Obregón, Ginés Parra, José Palmeiro, Theodore Appleby, Hope Manchester, Roger Weiss, Pat Sanderson White, Roland de Laforcade, Thomas Nix, Kees Van Willigen, Berndt Helleberg, Elisabeth Guggenheim, Alice Braun, François Vercken.

    Compléments

    Bibliographie

    • Grégoire Ayala, « Alba-la-Romaine (Ardèche) : les lampes en terre cuite », revue archéologique de Narbonnaise, 23, 1990, p. 153-212 Lire en ligne.
    • Abbé Pierre Arnaud, Armorial du château d’Alba, Imprimerie Lucien Volle, Privas, 1974
    • Abbé Constant, La ruine d'Albe: éclaircissements sur les origines de l'église de Viviers, Nice, Imprimerie et Librairie du patronage Saint Pierre,
    • Joëlle Dupraz, Christel Fraisse, « Commune 005 - Alba-la-Romaine », Carte archéologique de la Gaule, 2001, p. 97-194 (ISBN 2-87754-069-3)
    • Yves Esquieu, Les anciennes églises d'Alba, IB. 3 rue Rècamier - Lyon Ve, 1970.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. http://www.habitants.fr/habitants_alba-la-romaine_07005.html
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6).
    10. Éric Vial, Les noms de villes et de villages, 1983, Belin, (ISBN 2-7011-0476-9).
    11. Vivarais Ardèche. - Encyclopédies régionales - Éditions Bonneton (Paris) - 1991 (ISBN 2-86253-107-3) p. 17
    12. La racine alb-, bien qu'ancienne, reste vivace à l'époque celtique puis romaine (avec des sens spécialisés) ; cela explique que certains la présentent comme gauloise : (cf. albios, en correspondance avec le mot gallois elffyd < *albiįos 'monde', avec une spécialisation sémantique dans la sphère religieuse ou mythologique : albios désignerait le 'monde lumineux, monde d'en-haut') ; cette racine se retrouve dans différents noms de personnes (exemple : Albio-rix 'Roi du Monde'), de lieux et de rivières, par exemple : Alba (> Aube), Albion (voir aussi Alba) ; d'après Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éditions Errance, coll. « Hespérides », , 3e éd. (1re éd. 2001), 440 p. (ISBN 2877723690), article albos, albios, albanos.
    13. Alba-la-Romaine sur l'Encyclopédie Larousse
    14. Yves Esquieu, La cathédrale Saint-Vincent de Viviers, p. 317-331, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995
    15. http://www.persee.fr/renderPage/crai_0065-0536_1964_num_108_2_11782/crai_0065-0536_1964_num_108_2_T1_0404_0000_710.jpg
    16. Voir en image CIL 13, 08056. Cf. G. Bauchhenss, Militärische Grabdenkmäler. Germania Inferior. Bonn und Umgebung, CSIR Deutschland III.1 (Bonn 1978), 2 ; Klaus Polak et Nadine Martin, Bonn, CityGuide, 2e éd., p. 155, Reise Know-How Verlag 2010, Bielefeld (Allemagne) (ISBN 978-3-8317-1983-9)
    17. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Évolution et structure de la population à Alba-la-Romaine en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « Résultats du recensement de la population de l'Ardèche en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Les Villes Internet 2014 », sur le site officiel de l’association « Ville Internet » (consulté le ).
    25. Claire Bommelaer, article du Figaro, cahier n°3 du 24 mai 2016.
    26. Notice no IA00047937, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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