Aiguillon (Lot-et-Garonne)

Aiguillon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Aiguillon.

Aiguillon

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas
(siège)
Maire
Mandat
Christian Girardi
2020-2026
Code postal 47190
Code commune 47004
Démographie
Gentilé Aiguillonais
Aiguillonaises
Population
municipale
4 416 hab. (2018 )
Densité 156 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 18′ 01″ nord, 0° 20′ 30″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 168 m
Superficie 28,28 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Aiguillon
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Confluent
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Aiguillon
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Aiguillon
Géolocalisation sur la carte : France
Aiguillon
Géolocalisation sur la carte : France
Aiguillon
Liens
Site web Site de la mairie

    Géographie

    Localisation

    Bastide située dans l'Agenais, en Guyenne, au confluent du Lot et de la Garonne, et non loin du confluent de la Baïse et de la Garonne entre Agen et Tonneins.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 696 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bruch », sur la commune de Bruch, mise en service en 1971[8]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 758,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Aiguillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aiguillon, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 4 692 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), zones urbanisées (10,8 %), cultures permanentes (8 %), eaux continentales[Note 5] (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), forêts (1,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le Duche D'Aiguillon. Geographia Blaviana. - Amsterdam: Johannes Blaeu, 1659.

    En 1345-1346 pendant la guerre de Cent Ans, la ville, alors à la couronne d'Angleterre, est assiégée par le duc Jean de Normandie. Le , sur ordre de Philippe VI il abandonner le siège d'Aiguillon et marche le plus rapidement possible sur Paris afin de défendre la ville et les environs des attaques d'Édouard III.

    Aiguillon n'avait autrefois que le titre de baronnie. Le roi Henri IV par ses lettres données à Blois au mois d'août 1599, registrées au parlement de Paris le , érigea les baronnies d'Aiguillon, Montpezat, Sainte-Livrade et Dolmayrac en duché-pairie en faveur d'Henri de Lorraine, fils aîné de Charles de Lorraine, duc de Mayenne, pair de France, et de ses successeurs et ayants cause. Ce duché et pairie fut éteint par son décès sans enfant, le . Voir Liste des ducs d'Aiguillon

    Le duché d'Aiguillon est recréé à plusieurs reprises en 1634 au bénéfice de Antoine de l'Age et en 1638 pour Marie-Madeleine de Vignerot dans la famille de laquelle il restera jusqu'à la Révolution.

    Héraldique

    Blason
    De gueules aux trois bandes d'or[24].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1799 1807 Simon-Pierre Merle de Massonneau[25]    
    1807 1814 Jean-Antoine Merle de Massonneau    
    1815 1815 Bernard Nugue de Lille    
    1817 1830 Jean-Symphorien Turpin    
    1838 1850 Bernard Nugue de Lille    
    1850 1870 Léonard-Antoine-Saint-Germain Merle de Massonneau    
    1870 1871 Charles Charbouneau    
    1871 1878 Louis Cabrié    
    1878 1885 Charles Charbouneau    
    1885 1889 Jean Buffandeau    
    1889   Ferdinand Grimard    
    1953 1977 Louis Jamet    
    1977 1994 Pierre Espiau PS  
    1994 juin 1995 Bernard Dèche PS  
    juin 1995 mars 2008 Pierre Polivka UDF Inspecteur général de l'Éducation nationale
    mars 2008 2020 Jean-François Sauvaud PS Professeur d'histoire et géographie
    2020 En cours Christian Girardi    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2006[26].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2018, la commune comptait 4 416 habitants[Note 6], en augmentation de 1,94 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 2803 0373 5414 0104 0803 9194 0793 9944 020
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 1733 7813 8763 5773 5963 3703 1603 1193 094
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9882 8862 8112 5972 7482 6442 7783 0023 135
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 4093 7543 8674 1214 1694 2194 3254 2834 367
    2018 - - - - - - - -
    4 416--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Ruines gallo-romaines en 1842
    • Château d'Aiguillon construit par les ducs d'Aiguillon : 2e moitié du XVIIIe siècle, anciennement résidence ducale puis magasin des tabacs au début du XXe siècle, et restauré en 1958 pour devenir le lycée Stendhal[31]. Le château est précédé d'une place encadrée des anciens communs, côté droit en regardant le château, et du pavillon de la Comédie, côté gauche, inauguré en 1780[32].
    • Caves gallo-romaines[33] (privées) : il s'agit de vastes entrepôts gallo-romains appelés horrea et destinés au stockage de marchandises qui devaient transiter par le fleuve la Garonne. Ces caves sont au nombre de trois, deux sont encore accessibles. Elles sont voûtées et construites en opus vittatum alternant des assises de petit appareil et de briques. L'ensemble réalise un vaste monument cubique de 20 mètres de côté et de 12 mètres de hauteur rigidifié dans sa partie ouest par des grands contreforts. Ces caves font partie d'un vaste monument de 80 mètres de longueur dont une partie a servi de substruction au château de Lunac (XIIe siècle)[34]
    • Château de Lunac[35],[36].
    • Mur du Ravelin (fortifications) : le mur du Ravelin est une fortification récente de la ville érigé à l'est du bourg au XVe siècle. Ce mur était destiné à la protection du secteur est, une partie de l'actuel "quartier du Lot", après qu'un des bras du Lot qui passait au bas d'Aiguillon, se fut retiré. Ce mur était flanqué de deux tours à ses extrémités. L'une d'entre elles, à l'extrémité sud du mur, a servi d'assise pour l'édification de la sénéchaussée d'Aiguillon au XVIIe siècle.
    • Musée Raoul-Dastrac[37], ancienne chapelle Notre-Dame-du-Lot, construite dans le deuxième quart du XVIIIe siècle[38]. Sa façade actuelle est la façade refaite au XVIIIe siècle devant l'ancienne église Saint-Félix.
    • Médiathèque du Confluent[39]; 68 rue Gambetta. Un premier corps de bâtiment porte la date de 1590. Un deuxième corps de bâtiment a dû être construit après 1637 quand Richelieu a acheté le duché d'Aiguillon pour sa nièce et y a installé le présidial d'Aiguillon ou parlement de justice.
    • Église Saint-Félix, reconstruite en 1858 dans le style néogothique d'après les plans de l'architecte bordelais Gustave Alaux. L'église a été consacrée en . L'église possède un orgue de Jules Magen, inauguré en . Les vitraux sont réalisés entre 1859 et 1860 par Joseph Villiet[40].
    • Église Saint-Côme, à Saint-Côme, inscrite au titre des monuments historiques en 1925[41],[42].
    • Église Saint-Vincent, dite des Gouts, construite au XVe siècle, restaurée en 1762-1764 par André Mollié[43].
    • Église Sainte-Radegonde[44] reconstruite à partir de 1824. La décoration néo-classique a été terminée en 1829.
    • Église Notre-Dame, dite chapelle de Pélagat[45] se trouvant dans une boucle du Lot avant la confluence. Le site présente des traces de constructions gallo-romaines. L'église a été restaurée en 1875. Le décor peint a été réalisé par le peintre Jean-Bertrand Quérillac (1828-1893).
    • Église du couvent des Carmes. Le couvent des Carmes est devenu la mairie[46], l'église a été transformée en salle de spectacle. La façade avait été reconstruite en 1786. Le couvent des Carmes est transforme en locaux municipaux. Un incendie se déclare dans la mairie en 1922. L'église est restaurée en 1924 suivant les plans de l'architecte Georges Pujol et transformée en salle de spectacle[47].
    • La Tourasse : monument circulaire plein, la pile de La Tourasse était un monument funéraire érigé à proximité d'une nécropole gallo-romaine et certainement au bord de la voie romaine d'Agen à Bordeaux. Ce monument a fait l'objet d'une restauration en 2001, après avoir été libéré d'une construction moderne dans laquelle il était englobé depuis plus d'un siècle. Il figure désormais au sein d'un jardin d'agrément.
    • Gare d'Aiguillon construite pour la compagnie des chemins de fer du Midi par les architectes Georges Bourrières et Léopold Payen[48].
    • Pont Napoléon Ier dont la construction avait été décidé par Napoléon Ier lors de sa visite dans la région en 1808. Il a été construit sous la direction de l'ingénieur des ponts et chaussées Jacques-Samuel de Bourrousse de Laffore entre 1813 et 1827[49],[50].

    Personnalités liées à la commune

    Aiguillon a vu naître le troubadour Lantelmet d'Aiguillon au XIIe siècle, au XIXe siècle les peintres Fernand Sabatté, Raoul Dastrac et le musicien Marc de Ranse, au XXe siècle le peintre Louis Lamarque. Un célèbre écrivain du XXIe siècle, Robert Merle repose au cimetière d'Aiguillon. Une incertitude plane sur le lieu de naissance de Théophile de Viau, poète libertin du XVIIe siècle.

    Divers

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bruch - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Aiguillon et Bruch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bruch - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Aiguillon et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 d'Aiguillon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Armorial de France
    25. Raymond-Louis Alis, Histoire de la ville d'Aiguillon et de ses environs : depuis l'époque gallo-romaine jusqu'à nos jours, Agen, Ferran Frères, , 564 p. (lire en ligne), p. 499-500.
    26. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Aiguillon, consultée le 27 octobre 2017
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Ville d'Aiguillon : Lycée Stendhal, ancien château ducal d'Aiguillon
    32. « Inventaire général : lieu de spectacle dit pavillon de la comédie », notice no IA47000976, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. Ville d'Aiguillon : caves gallo-romaines
    34. Raymond-Louis Alis, Histoire de la ville d'Aiguillon et de ses environs : depuis l'époque gallo-romaine jusqu'à nos jours, plan du château de Lunac et caves gallo-romaines, Ferran frères, Agen, 1895 ( lire en ligne )
    35. « Inventaire général : Château Lunac », notice no IA47000982, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Ville d'Aiguillon : château de Lunac
    37. Ville d'Aiguillon : Musée Raoul Dastrac
    38. « Inventaire général : Chapelle Notre-Dame du Lot, actuellement musée Raoul-Dastrac », notice no IA47000844, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Ville d'Aiguillon : Médiathèque du Confluent, ancien présidial dit parlement d'Aiguillon
    40. « église paroissiale Saint-Félix », notice no IA47000840, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Eglise Saint-Côme », notice no PA00084060, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Côme, prieuré », notice no IA47000970, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Vincent dite église de Gouts », notice no IA47000845, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Ville d'Aiguillon : église paroissiale Sainte-Radegonde
    45. Ville d'Aiguillon : église paroissiale Notre-Dame, dite chapelle de Pélagat
    46. Ville d'Aiguillon : Hôtel de ville
    47. « Inventaire général : couvent de carmes, actuellement hôtel de ville, halle et salle de spectacle », notice no IA47000846, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. Ville d'Aiguillon : gare d'Aiguillon
    49. « Inventaire général : pont sur le Lot dit pont Napoléon Ier », notice no IA47000867, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Ville d'Aiguillon : Pont Napoléon Ier
    51. Aiguillon 47 : Raoul Dastrac
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